Moi je suis différent. Je l'ai toujours été. Pour ma mère, c'est comme si j'étais un extraterrestre. Il était ce jour, un gosse qui est censé d'être chapeauté par des parents sympathiques. De cette dyade se singularise un genre féminin, d'où ma mère en faisa partie. Pourquoi cette différence ? Mon éloge porta sur elle. De son non-violence, s'ajouta sa prouesse, disons elle était empêcheuse de toute sorte de l'insécurité qu'exposa parfois l'enfant de son manque d'autonomie. Celle dont appella l'enfant maman, quand il la voyait et traversait une décongélation des joies. C'est avec grande renumeration intrinsèque qui l'exaltera d'avance.
Tout enfant compt compte trop pour elle. J'en étais témoigne. Dans cette circonstance familiale, elle etait la seule qui pouvait passer toute la journée avec ses gosses: accepter leur caprices, les secourir dans toute circonstance...elle est infatigable et infaillible tout le temps elle les avait souvent à ses côtés : matin, midi et soir. Pour combien de temps ? Sa me donnait du confort à vouloir l'être à nouveau. Quelle mère érotique !
Ce qui m'en ouvrait l'esprit, quand je sentais de ma kinesthésie que celle-ci était un prodige pour son enfant. Je disais autant, à quoi d'être un homme si on ne connait pas la valeur d'une mère eu égard de son enfant? La mère dont j'insistais est celle de sa qualité irréprochable, incontestable et inégalable. Ce qui m'avait élucidé c'est quand elle est rattachée à son enfant qu'elle devient moins détester par son mari. Mais je comprenais pourquoi chaque femme qu'elle y ait aumois une motte de pensées d'amour en vers son fils.
De l'enfance, période à laquelle le gosse était profondément et sérieusement protegé, rené, de l'extérieur jusqu'au fouet pulsionnel qui le lie à sa mère. J'osa dire, c'est "la sympathique d'une mère digne." Ce qui me plaisait , ce que même lors des ménages, il est sous ses ailes comme un chiot attaché à laisse. Cette relation mère-enfant ne s'arrêta pas à l'enfance, même la période préadolescente. Ce quand je voiyeais cette période florissante qui réjouit encore la mère à sa pleine sensibilité d'omniprésence. Par exemple: l'amener de l'école, au salon de coiffure.... elle devenait à ce niveau une pavée de beauté pour son enfant. J'étais parfois étonné et d'avoir constaté après la sortie de l'école, les mères se succèdaient dans les rues à la recherche de leurs enfants et elles s'en arrachaient des prénoms afin leurs enfants soient secondés. Toutes ces préoccupations ne consernaient-elles pas les pères ? Ou n'avaient-ils pas des enfants ? Pour ce temps, ils empriffraient aisément l'alcool dans des lieux casernés je n'y étais pas quiet. Au contraire, je penssais qu'un leger retard de la rentrée habituelle, elle partait en toute inquiétude le rechercher du chemin de l'école. Les enfants les aiment bien aussi. Même dans les colonies de vacances, chaque enfant s'en souvenait des câlins de sa mère. Un d'entre eux m'avait dit l'autre jour "à quoi sert de grandire si la société ne peut jamais nous protéger comme notre mère." Ah ! Sur cette parole, chaqu'un de nous en pensa de son enfance. je voyais qu'une petite colère traversait la gorge de cet enfant qui pensait vivre pour devenir une nonne de sa mère. Cette dernière tenait des mots doux, des sourires, des images incessables, d'un parfum à l'odeur mielleuse, des mouvements modestes ; bref, toute la cognition de cet enfant était remplie des informations uniquement émanant de la mère. Ayant constaté avec beaucoup de tacts, ou de convenances, un seul mot chaque matin, le confortait souvent à la longueur de la journée. La mère généralement est un ange qui lui protège de son déplacement quelconque. Une croisade de considération s'installa encore quand, tout le temps la mère veillait à la portion du plat de son fils. Ce dernier me laissait croire que c'était une largesse de sa mère. Ce qui me permettait au fait d'avoir cru qu'elle n'était pas pour lui une simple mère. Je comprenais déjà, pourquoi un des enfants que j'avais connu, était jaloux de leurs voisins qui appelaient parfois sa mère en familiarité. Mais, cela est dû arrivé suite à sa sympathie, à sa qualité de vie sociale : par ce que sa mère mangeait avec arrière pensée qu'elle avait un enfant, qui aura aussi besoin de manger. La contradiction s'aparut lorsqu'il refusa de manger. Je l'avais cru ce jour "la frustration d'un enfant pouvait affecter la mère". Ce qui revenait à dire que le bien-être de l'enfant est lié directement à son fils. Dès lors, j'avoueais , c'est anodin, voire illusoire pour une femme qui ne partage pas son sentiment de joie avec son enfant. A quoi ressemblait une mère digne!
Elle me dit souvent que je suis son seul espoir, et l'enfant n'est jamais eu au prix cadeau. C'est une bénédiction emmanant de Dieu . J'osais croire profondément que sa mère l'aimait et ne m'oubliait jamais. Souvent ses voisines passer la journée avec elle et elles le trouvaient toujours gripper sur sa poitrine ou encore sur son dos ; elles la disaient que sa mère aura besoin un jour qu'il grandisse ! Elle les répondit aussitôt, avec que c'est évident qu'il soit à ses côtés. Quel humanisme ! Certainement, il y avait une maîtresse qui les enseignait à la maternelle, mais je ne penais pas que toutes les femmes doivent aimer autant leurs enfants comme la mère que je predisais.
A l'âge de d'adolescence où commençait progressivement le déclin de cette relation. Cependant, l'emphatie de la mère y ait encore. Un garçon à ce stade, je pensais qu'elle allait l'abandonner dans la poubelle de la société comme le faisaient souvent d'autres femmes : ce n'était plus un garçonnet, moins encore un bébé. Une mère douait des expériences de la vie, l'éduquait avec dernière sagesse pour son insertion sociale: il ne faudra pas que son enfant, devienne un objet des railleries, dans un sens auquel, c'est un goujat. Je craignais trop ce genre des personnes. C'était une mère de modèle qui était venue somptueusement me dire " ce sont des enfants mal éduqués et mal élevés." La mère ci avait raison, si je pouvais rendre sa pensée dichotomique : un enfant éduqué c'est quand il a subit toute sorte d'éducation de base, tandis que celui dit élevé, lorsqu'on le nourrit sans une éducation concrète. Je m'assurais déjà, à travers ce sylogisme de la mère qui était exceptionnelle. Laissez moi vous dire " toute mère n'est pas mère" En ce moment où l'adolescent ne devrait plus dormir ensemble avec elle, de sa chambre différente, la mère dormait à moitié: une nuit, s'il y arrivait des petits gémissements comme bruit, elle vienait le voir pour sa sécurité totale, sans que l'enfant n'entendit ses démarches. Ces bruits, qu'ils soient produits de l'extérieur ou de l'intérieur de la famille. Elle disait souvent dans sa pensée " il eait sa première et dernière chance." ce qui justifiait qu'elle était unique pensive de la valeur de son garçon adolescent.oh! La valeur d'une mère pour un enfant, était grandissante et incomparable. L'humanisme de la mère à l'enfant n'avait pas un prix, elle me l'avait toujours dit. Restez pures les mères.
Tout enfant compt compte trop pour elle. J'en étais témoigne. Dans cette circonstance familiale, elle etait la seule qui pouvait passer toute la journée avec ses gosses: accepter leur caprices, les secourir dans toute circonstance...elle est infatigable et infaillible tout le temps elle les avait souvent à ses côtés : matin, midi et soir. Pour combien de temps ? Sa me donnait du confort à vouloir l'être à nouveau. Quelle mère érotique !
Ce qui m'en ouvrait l'esprit, quand je sentais de ma kinesthésie que celle-ci était un prodige pour son enfant. Je disais autant, à quoi d'être un homme si on ne connait pas la valeur d'une mère eu égard de son enfant? La mère dont j'insistais est celle de sa qualité irréprochable, incontestable et inégalable. Ce qui m'avait élucidé c'est quand elle est rattachée à son enfant qu'elle devient moins détester par son mari. Mais je comprenais pourquoi chaque femme qu'elle y ait aumois une motte de pensées d'amour en vers son fils.
De l'enfance, période à laquelle le gosse était profondément et sérieusement protegé, rené, de l'extérieur jusqu'au fouet pulsionnel qui le lie à sa mère. J'osa dire, c'est "la sympathique d'une mère digne." Ce qui me plaisait , ce que même lors des ménages, il est sous ses ailes comme un chiot attaché à laisse. Cette relation mère-enfant ne s'arrêta pas à l'enfance, même la période préadolescente. Ce quand je voiyeais cette période florissante qui réjouit encore la mère à sa pleine sensibilité d'omniprésence. Par exemple: l'amener de l'école, au salon de coiffure.... elle devenait à ce niveau une pavée de beauté pour son enfant. J'étais parfois étonné et d'avoir constaté après la sortie de l'école, les mères se succèdaient dans les rues à la recherche de leurs enfants et elles s'en arrachaient des prénoms afin leurs enfants soient secondés. Toutes ces préoccupations ne consernaient-elles pas les pères ? Ou n'avaient-ils pas des enfants ? Pour ce temps, ils empriffraient aisément l'alcool dans des lieux casernés je n'y étais pas quiet. Au contraire, je penssais qu'un leger retard de la rentrée habituelle, elle partait en toute inquiétude le rechercher du chemin de l'école. Les enfants les aiment bien aussi. Même dans les colonies de vacances, chaque enfant s'en souvenait des câlins de sa mère. Un d'entre eux m'avait dit l'autre jour "à quoi sert de grandire si la société ne peut jamais nous protéger comme notre mère." Ah ! Sur cette parole, chaqu'un de nous en pensa de son enfance. je voyais qu'une petite colère traversait la gorge de cet enfant qui pensait vivre pour devenir une nonne de sa mère. Cette dernière tenait des mots doux, des sourires, des images incessables, d'un parfum à l'odeur mielleuse, des mouvements modestes ; bref, toute la cognition de cet enfant était remplie des informations uniquement émanant de la mère. Ayant constaté avec beaucoup de tacts, ou de convenances, un seul mot chaque matin, le confortait souvent à la longueur de la journée. La mère généralement est un ange qui lui protège de son déplacement quelconque. Une croisade de considération s'installa encore quand, tout le temps la mère veillait à la portion du plat de son fils. Ce dernier me laissait croire que c'était une largesse de sa mère. Ce qui me permettait au fait d'avoir cru qu'elle n'était pas pour lui une simple mère. Je comprenais déjà, pourquoi un des enfants que j'avais connu, était jaloux de leurs voisins qui appelaient parfois sa mère en familiarité. Mais, cela est dû arrivé suite à sa sympathie, à sa qualité de vie sociale : par ce que sa mère mangeait avec arrière pensée qu'elle avait un enfant, qui aura aussi besoin de manger. La contradiction s'aparut lorsqu'il refusa de manger. Je l'avais cru ce jour "la frustration d'un enfant pouvait affecter la mère". Ce qui revenait à dire que le bien-être de l'enfant est lié directement à son fils. Dès lors, j'avoueais , c'est anodin, voire illusoire pour une femme qui ne partage pas son sentiment de joie avec son enfant. A quoi ressemblait une mère digne!
Elle me dit souvent que je suis son seul espoir, et l'enfant n'est jamais eu au prix cadeau. C'est une bénédiction emmanant de Dieu . J'osais croire profondément que sa mère l'aimait et ne m'oubliait jamais. Souvent ses voisines passer la journée avec elle et elles le trouvaient toujours gripper sur sa poitrine ou encore sur son dos ; elles la disaient que sa mère aura besoin un jour qu'il grandisse ! Elle les répondit aussitôt, avec que c'est évident qu'il soit à ses côtés. Quel humanisme ! Certainement, il y avait une maîtresse qui les enseignait à la maternelle, mais je ne penais pas que toutes les femmes doivent aimer autant leurs enfants comme la mère que je predisais.
A l'âge de d'adolescence où commençait progressivement le déclin de cette relation. Cependant, l'emphatie de la mère y ait encore. Un garçon à ce stade, je pensais qu'elle allait l'abandonner dans la poubelle de la société comme le faisaient souvent d'autres femmes : ce n'était plus un garçonnet, moins encore un bébé. Une mère douait des expériences de la vie, l'éduquait avec dernière sagesse pour son insertion sociale: il ne faudra pas que son enfant, devienne un objet des railleries, dans un sens auquel, c'est un goujat. Je craignais trop ce genre des personnes. C'était une mère de modèle qui était venue somptueusement me dire " ce sont des enfants mal éduqués et mal élevés." La mère ci avait raison, si je pouvais rendre sa pensée dichotomique : un enfant éduqué c'est quand il a subit toute sorte d'éducation de base, tandis que celui dit élevé, lorsqu'on le nourrit sans une éducation concrète. Je m'assurais déjà, à travers ce sylogisme de la mère qui était exceptionnelle. Laissez moi vous dire " toute mère n'est pas mère" En ce moment où l'adolescent ne devrait plus dormir ensemble avec elle, de sa chambre différente, la mère dormait à moitié: une nuit, s'il y arrivait des petits gémissements comme bruit, elle vienait le voir pour sa sécurité totale, sans que l'enfant n'entendit ses démarches. Ces bruits, qu'ils soient produits de l'extérieur ou de l'intérieur de la famille. Elle disait souvent dans sa pensée " il eait sa première et dernière chance." ce qui justifiait qu'elle était unique pensive de la valeur de son garçon adolescent.oh! La valeur d'une mère pour un enfant, était grandissante et incomparable. L'humanisme de la mère à l'enfant n'avait pas un prix, elle me l'avait toujours dit. Restez pures les mères.