Abritant contes et légendes,
Mythe chimérique,
Au-dessus des montagnes colossales,
La nuit fait voir le mal.
Le noir ténébreux
Est en réalité l'espoir heureux.
Au-dessus des cieux,
Résidence des dieux,
Elle domine ce ciel majestueux
Qui est parfois bleue,
Parfois noire,
Parfois éclairée par le soleil,
Parfois par la lune.
Nous sommes irrespectueux
De ces astres si vieux.
L'un est là pour réchauffer nos cœurs,
L'autre pour enrichir nos œuvres.
La nuit peut être angoissante,
Amenant la pluies l'orage,
Le chaos la rage.
Elle peut être aussi apaisante,
Amenant la douce chaleur des nuits d'été,
Amenant le sommeil réparateur qui permet de rêver.
Aussi sombre que les profondeurs des abysses océaniques,
Incarnant une peur intime,
Elle ne mérite pas d'être synonymes de néant.
Elle est le bien, qui baigne dans l'image du mal.
La nuit est magnifique,
Observant les plus grands rêveurs.
Elle est reposante, féerique,
Elle est majestueuse à toute heures,
Elle n'a jamais commis d'erreur,
Elle peut faire peur.
Mais elle endort les fleurs,
Les roses, les violettes, qui s'effleurent,
Les unes les autres, tel une œuvre
Au lever du soleil un peu rêveur.
Nous devons nous réveiller
Face à la réalité
De nos actes à rayer.
La pollution ne doit plus exister,
La nuit est le paradis
Pour tous eux qui ne sont pas dans notre dynastie.
Toutes les vies sont exposées à la mort,
Tout le monde songe à retrouver ses proches défunts,
Mais, vit la vie et tu verras la mort.