Quand le soleil se fait engloutir par l'horizon,
l'instant d'après, la nature sauvage se réveille,
elle reprend ses droits, partout dans le monde,
les branches d'arbres sombres, se mettent à frémir.
Les belle de nuit se réveille,
A mesure que l'ombre grandit,
on la regarde s'épaissir, la grande ombre douce tombé du ciel
une nuit noire, une nuit blanche, une nuit claire, une nuit étoilée
un doux parfum de girofle emplit les plaines,
Sous la lueur douce de la lune tendre,
les nuits d'étés, très douces, très chaudes
abdomen bioluminescent s'allument un part un,
Que les amoureux dégustent en silence
dans un coin de rue
un gout si savoureux
pour certains (les scientifiques) une obscurité résultant de la rotation de la Terre
dévoilant un point de sa surface à la lumière
elle abrite tout un univers (inter)stellaire
espace temps qui s'écoule
depuis le coucher, jusqu'au lever
de l'astre qui rythme nos journée
La froide nuit d'hiver, la nuit des tombeau,
la mort s'active, plus présente que jamais,
elle hante les rues,
décide d'un dernier sommeil,
un sommeil éternel, dans une nuit éternelle
on la fuit, tel on fuirait la tempête
La nuit, repère de tout les voleurs et bandits
c'est dans la nuit qu'ils se faufilent et s'enfuient
Dans le silence nocturne, les cris de la nuit résonne
elle nous surprend,
par sa noirceur,
sa profondeur,
Une nuit d'encre
nids des monstres de dessous les lits
La nuit est un trou infini
un puits qui aspire les couleurs,
Je m'explique
elle avale tout
elle nous surprend lorsqu'on s'y attend le moins,
comme des papillons de nuit aveugler,
nous perdons tout nos repaires
elle nous surprend, nous rattrape
comme le temps rattrape les retardataires
A quoi servent les étoiles ?
A clouer la nuit sur les voutes du ciel
les astres là-haut, les astres inconnus jetés au hasard dans l'immensité où ils dessinent ces figures bizarres, qui font tant rêver, qui font tant songer,
La nuit est un paradis infini, la nuit éternelle, un voyage au bout de l'univers de l'imaginaire
Un bleu nuit, une nuit bleu, une nuit lunaire,
Elle noie la ville, comme une onde insaisissable et impénétrable,
Elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, éteint les maisons, les êtres de son imperceptible toucher
les rues, qui autrefois était allumée par les falotiers
et maintenant qui sont animé par de simple réverbères
dans le ciel étoilée, les rêves naissent
dansent les penser, libres et aillée,
se perdant entre Vénus et Neptune
La nuit des rêves merveilleux et des cauchemars
des petits humains partout, des grands comme des petits
dorme dans le plus profond des sommeils
Quand l'aurore se profil, où va la nuit?
Van Gogh l'a bien compris
un ciel majestueux autant que tempétueux
à envahit sa toile de l'imaginaire
Les étoiles tourbillonnant dans un ciel
agité, c'est "La Nuit étoilée"
la nuit tout les chats sont gris
dans l'obscurité, nous peinons à distinguer la forme et la couleur des objets. Les choses se ressemblent, affichent une teinte grisâtre comparable au pelage de certains chats.
La nuit des temps, la naissance du temps
la nuit porte conseille