Ce n’est pas assez d’être belle : celle qui veut qu’on la trouve aimable ne doit pas se contenter de ce qui suffit au vulgaire des femmes. Les bons mots, les fines plaisanteries, l’enjouement, la grâce du langage, la gaieté l’emportent sur les plus heureux dons de la nature. Les ressources de l’art relèvent encore la beauté ; mais, sans le désir de plaire, la beauté perd tout son prix.