J'ai toujours cherché une vie solitaire – les rives, les campagnes et les bois le savent – pour fuir ces esprits sourds et louches qui ont perdu le chemin du ciel ;
Et si mon désir était en cela accompli, loin du doux climat du pays des Toscans, la Sorgue m'aurait parmi ses belles collines touffues, la Sorgue qui m'aide à pleurer et à chanter.
Mais mon destin, toujours ennemi, me rejette vers le lieu où je m'indigne de voir mon beau trésor dans la fange.
Cette fois, il s'est montré favorable à la main dont j'écris ; et peut-être n'est-ce pas injuste ; Amour le yoit, et ma Dame le sait, ainsi que moi.
Et si mon désir était en cela accompli, loin du doux climat du pays des Toscans, la Sorgue m'aurait parmi ses belles collines touffues, la Sorgue qui m'aide à pleurer et à chanter.
Mais mon destin, toujours ennemi, me rejette vers le lieu où je m'indigne de voir mon beau trésor dans la fange.
Cette fois, il s'est montré favorable à la main dont j'écris ; et peut-être n'est-ce pas injuste ; Amour le yoit, et ma Dame le sait, ainsi que moi.