Moi je suis différent. Je l'ai toujours été. Pour ma mère, c'est comme si j'étais un extra-terrestre. J'aurais encore pu accepter les ralleries d'une poignée de personnes mais de la, à me faire rejeté par tout ce dont j'approchais me déchirais vraiment. Dans ce village, les plus jeunes m'appelaient " le non voulu" et les adultes me disaient que j' étais " le fruit d'un viol" que je ne méritait pas d'exister.
À l'âge de cinq ans j'étais totalement confu je ne comprenais vraiment pas ce dont ont me reprochait. Même à la maison, la différence avec mes demi-frère était bien visible ils avaient droit à des privilèges que je n'avais pas. Ma mère me disait " tu aurais dû mourir à ta naissance " et mon père ou du moins adoptif ne disait jamais rien. Il m'aura fallu du temps pour comprendre que la société dans laquelle je vivais avait du mal de part les coutumes a accepter les gens comme moi qui ont vu le jour suite à un viol comme ont me le disais. C'est ainsi qu'entre tradition et vie sociale je décidais à l' âge de seize ans alors que j'étais en classe de quatrième de tout laisser tombé et de quitter la campagne où je vivais pour la ville. En ville, j'ai connu la rue où la survie ne dépendait que des jobs que l'on pouvait trouver. Mes camarades de la rue eux aussi avaient une histoire à raconter sur le pourquoi et comment ils en sont arrivés là abandonner à eux même. Certaines histoires de ressemblaient d'autres étaient complètement différentees. je voyais certains se faire arrêter et bastonner par la police parcequ'ils étaient accusé d'avoir volé dans un magasin des objets valeureux pour les revendre ou de la nourriture. Malgré tout cela, je n'ai pas perdu le moral ni l' espoir d'ailleur je savais ce dont je cherchais un peu de bonheur.
Avec un peu de chance, j'ai été recruté comme agent dans une entreprise de la place six mois après mon arrivée en ville. Dans cette entreprise, j'ai fini par bien évolué dans mes fonctions avec du savoir faire. Aujourd'hui je peux dire que je suis heureux : j'ai fondé une famille, j'ai des amis et amies, j'ai un boulot. Par ailleurs , j'essaie de porter haut et fort ma voix afin que ceux là qui sont comme moi puissent être accepté par leur société afin qu'ils arrivent eux aussi à donner un sens à leur existence.
À l'âge de cinq ans j'étais totalement confu je ne comprenais vraiment pas ce dont ont me reprochait. Même à la maison, la différence avec mes demi-frère était bien visible ils avaient droit à des privilèges que je n'avais pas. Ma mère me disait " tu aurais dû mourir à ta naissance " et mon père ou du moins adoptif ne disait jamais rien. Il m'aura fallu du temps pour comprendre que la société dans laquelle je vivais avait du mal de part les coutumes a accepter les gens comme moi qui ont vu le jour suite à un viol comme ont me le disais. C'est ainsi qu'entre tradition et vie sociale je décidais à l' âge de seize ans alors que j'étais en classe de quatrième de tout laisser tombé et de quitter la campagne où je vivais pour la ville. En ville, j'ai connu la rue où la survie ne dépendait que des jobs que l'on pouvait trouver. Mes camarades de la rue eux aussi avaient une histoire à raconter sur le pourquoi et comment ils en sont arrivés là abandonner à eux même. Certaines histoires de ressemblaient d'autres étaient complètement différentees. je voyais certains se faire arrêter et bastonner par la police parcequ'ils étaient accusé d'avoir volé dans un magasin des objets valeureux pour les revendre ou de la nourriture. Malgré tout cela, je n'ai pas perdu le moral ni l' espoir d'ailleur je savais ce dont je cherchais un peu de bonheur.
Avec un peu de chance, j'ai été recruté comme agent dans une entreprise de la place six mois après mon arrivée en ville. Dans cette entreprise, j'ai fini par bien évolué dans mes fonctions avec du savoir faire. Aujourd'hui je peux dire que je suis heureux : j'ai fondé une famille, j'ai des amis et amies, j'ai un boulot. Par ailleurs , j'essaie de porter haut et fort ma voix afin que ceux là qui sont comme moi puissent être accepté par leur société afin qu'ils arrivent eux aussi à donner un sens à leur existence.