Toute histoire commence un jour, quelque part et la mienne pour qu"elle se prolonge, je la conte, souvent, je profite du temps creux
Pour me rappeller de nous deux.
S'il se pourrait que je puisse rattraper le temps
Comme hier je te rattrapais pour t'offrir un baiser...
À l'horizon s'éclatent les oiseaux; dans leurs chants,
À travers leur voix, j'entends encore ta voix m'enchanter.
Triste de me souvenir de toi.
Une fois que t'es loin de moi
Je me rangerai, attendant ton retour
Pour te valoir plus mon océan d'amour
À ton retour, je te narerai tout mon vécu
Quand tu n'étais pas là
Toutes les personnes qui m'ont changé, ému,
Et même déçu et qui sont encore là
Ou déjà parties dans les cieux,
Je te montrerai leurs poèmes d'adieu.
Voilà le temps passe des âmes partent
Tandis que d'autres viennent.
Et quand viendra notre départ?
Je me dis bien souvent que c'est bizarre.
Aujourd'hui on vit, demain on n'y sera plus
J'ai des rêves à donner vie...
Mais que m'a t-elle fait, la vie?
Volé Mémé! J'étais abattu!
Celle-ci, tu la connais bien Yasmine
Très souvent, on la visitait, elle nous cajolait,
Elle nous commandait extraire le lait
De vache... Te rapelles-tu Yasmine?
Elle nous enseignait la fidélité, la fraternité...?
Fervente fidèle Musulmane qu'elle a été,
Elle s'y rendit à la prière de Vendredi.
Dans sa "sahari" elle était belle et rajeunie.
"Bonne prière Hadji a" la disions-nous
Ô mais quel dramatique rendez-vous!
Avait-elle avec ces Êtres au sang froid: ces supposés Islamistes!
À peine la prière a t-elle commencée
Tout un peuple s'éteignit. C'est triste!
Un peuple comme des sachets
Étalés à même le sol
Le sang telle la boue d'un goret...
Peu de survivants, des blessés au sol
Dans cette foule des âmes envolées
Se trouvait celle de Mémé.
Son corps, je ne suis sûr qu'il fut enterré
Peut être aurai-je raison mais j'ai tant pleuré
Que mes yeux se comparaient au sang versé.
À la une , il était dit que deux terroristes avaient pénétré
La grande mosquée de la ville
Et ont fait plus de cinq mille
Victimes. Des parties de certains corps ont été retrouvé
Par contre d'autres restent...
Maman avait piqué une crise
La clé de la voiture où l'a t-elle mise?
Je l'ai su plus tard quand elle avait déjà...
Et me voilà seul et toi là-bas
Je ne pus m'apaiser qu'en lisant le texte
Que tu m'avais remis. Ça m'a apaisé!
Et bien j'y pense le relire ce texte
Même si je me sens parfois endeuillé,
chagriné, esseulé... en le lisant
De temps en temps, quand j'ai le temps.
Trêve de bavardage, je le lis:
Ça fait mal
De partir laisser son amant esseulé
Partir laisser sa famille,
Ses amis
Ça fait si mal
Ça fait mal
Quand tout un monde est endeuillé
Parti laisser sur des visages la tristesse,
Sans allégresse
Ça fait tellement mal
Ça fait mal
De partir pour ne plus revenir
Partir banalement un beau soir
Sans au revoir
Ça fait assez mal
Ça fait mal
De partir malgré ses espérances
Partir sans rien parfaire malgré ses compétences
Et sa bonne chance
Ça ait très mal
Ça fait mal
De partir sans un souvenir
Partir de ce monde sans rien laisser
Qui peut te représenter
Ça fait bien mal
Ça fait mal
De partir malgré ses souvenirs
Partir laisser sa richesse, ses biens,
Tout ce qui t'appartient
Ça fait vraiment mal
La mort, un instant de pause
Durant lequel, on se répose
Aux bienfaiteurs de vivre là-bas tout en rose
Et aux malfaiteurs d'apprecier le châtiment à l'overdose
Ô Yasmine! Je suis touché pour ne dire attristé
Ma tête est obsédée de ce jour noir
Du drame de... Ô prête à exploser
Comme ces explosifs... dans la mosquée... Dois-je quitter le couloir
Ou rester et finir par écraser ma tête
Contre les murs ou que je sieste
Pour oublier et me retrouver dans tes bras
Suivre le rythme de tes pas
Dans Paris paradisiaque.
Hum j'admire cette musique:
Yasmine à Paris
Près de la Tour Eiffel
Parmi un monde qui s'émerveille
C'est le bonheur infini!
Yasmine à Paris
Touchera de sa main douce, les roses
C'est le plaisir à l'overdose
Ne pouvant être défini!...
Cette chanson, tu me l'as bien chantée avec ta voix
Quand es arrivée dans la ville lumière
Mais avant de prendre cette voie
Tu m'as écris et lu "...Peut être la vie te sera amère"
Et oui si tu veux bien le savoir
Va dans ta balade tu verras ces écrits près de la Loire.
Yasmine avant ton départ c'était les Merveilles
Après ton départ c'était le deuil
Où partirai-je?
Où me mettrai-je?
Ô Yasmime!
Revient. Je m'incline!
La vie m'est bien amère!
Pour me rappeller de nous deux.
S'il se pourrait que je puisse rattraper le temps
Comme hier je te rattrapais pour t'offrir un baiser...
À l'horizon s'éclatent les oiseaux; dans leurs chants,
À travers leur voix, j'entends encore ta voix m'enchanter.
Triste de me souvenir de toi.
Une fois que t'es loin de moi
Je me rangerai, attendant ton retour
Pour te valoir plus mon océan d'amour
À ton retour, je te narerai tout mon vécu
Quand tu n'étais pas là
Toutes les personnes qui m'ont changé, ému,
Et même déçu et qui sont encore là
Ou déjà parties dans les cieux,
Je te montrerai leurs poèmes d'adieu.
Voilà le temps passe des âmes partent
Tandis que d'autres viennent.
Et quand viendra notre départ?
Je me dis bien souvent que c'est bizarre.
Aujourd'hui on vit, demain on n'y sera plus
J'ai des rêves à donner vie...
Mais que m'a t-elle fait, la vie?
Volé Mémé! J'étais abattu!
Celle-ci, tu la connais bien Yasmine
Très souvent, on la visitait, elle nous cajolait,
Elle nous commandait extraire le lait
De vache... Te rapelles-tu Yasmine?
Elle nous enseignait la fidélité, la fraternité...?
Fervente fidèle Musulmane qu'elle a été,
Elle s'y rendit à la prière de Vendredi.
Dans sa "sahari" elle était belle et rajeunie.
"Bonne prière Hadji a" la disions-nous
Ô mais quel dramatique rendez-vous!
Avait-elle avec ces Êtres au sang froid: ces supposés Islamistes!
À peine la prière a t-elle commencée
Tout un peuple s'éteignit. C'est triste!
Un peuple comme des sachets
Étalés à même le sol
Le sang telle la boue d'un goret...
Peu de survivants, des blessés au sol
Dans cette foule des âmes envolées
Se trouvait celle de Mémé.
Son corps, je ne suis sûr qu'il fut enterré
Peut être aurai-je raison mais j'ai tant pleuré
Que mes yeux se comparaient au sang versé.
À la une , il était dit que deux terroristes avaient pénétré
La grande mosquée de la ville
Et ont fait plus de cinq mille
Victimes. Des parties de certains corps ont été retrouvé
Par contre d'autres restent...
Maman avait piqué une crise
La clé de la voiture où l'a t-elle mise?
Je l'ai su plus tard quand elle avait déjà...
Et me voilà seul et toi là-bas
Je ne pus m'apaiser qu'en lisant le texte
Que tu m'avais remis. Ça m'a apaisé!
Et bien j'y pense le relire ce texte
Même si je me sens parfois endeuillé,
chagriné, esseulé... en le lisant
De temps en temps, quand j'ai le temps.
Trêve de bavardage, je le lis:
Ça fait mal
De partir laisser son amant esseulé
Partir laisser sa famille,
Ses amis
Ça fait si mal
Ça fait mal
Quand tout un monde est endeuillé
Parti laisser sur des visages la tristesse,
Sans allégresse
Ça fait tellement mal
Ça fait mal
De partir pour ne plus revenir
Partir banalement un beau soir
Sans au revoir
Ça fait assez mal
Ça fait mal
De partir malgré ses espérances
Partir sans rien parfaire malgré ses compétences
Et sa bonne chance
Ça ait très mal
Ça fait mal
De partir sans un souvenir
Partir de ce monde sans rien laisser
Qui peut te représenter
Ça fait bien mal
Ça fait mal
De partir malgré ses souvenirs
Partir laisser sa richesse, ses biens,
Tout ce qui t'appartient
Ça fait vraiment mal
La mort, un instant de pause
Durant lequel, on se répose
Aux bienfaiteurs de vivre là-bas tout en rose
Et aux malfaiteurs d'apprecier le châtiment à l'overdose
Ô Yasmine! Je suis touché pour ne dire attristé
Ma tête est obsédée de ce jour noir
Du drame de... Ô prête à exploser
Comme ces explosifs... dans la mosquée... Dois-je quitter le couloir
Ou rester et finir par écraser ma tête
Contre les murs ou que je sieste
Pour oublier et me retrouver dans tes bras
Suivre le rythme de tes pas
Dans Paris paradisiaque.
Hum j'admire cette musique:
Yasmine à Paris
Près de la Tour Eiffel
Parmi un monde qui s'émerveille
C'est le bonheur infini!
Yasmine à Paris
Touchera de sa main douce, les roses
C'est le plaisir à l'overdose
Ne pouvant être défini!...
Cette chanson, tu me l'as bien chantée avec ta voix
Quand es arrivée dans la ville lumière
Mais avant de prendre cette voie
Tu m'as écris et lu "...Peut être la vie te sera amère"
Et oui si tu veux bien le savoir
Va dans ta balade tu verras ces écrits près de la Loire.
Yasmine avant ton départ c'était les Merveilles
Après ton départ c'était le deuil
Où partirai-je?
Où me mettrai-je?
Ô Yasmime!
Revient. Je m'incline!
La vie m'est bien amère!