« Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les deux. »
De jour comme de nuit, mes pensées fusaient d’une manière extraordinaire. Elles décollaient de rien puis exploraient des coins complexes parfois c’était un voyage dans le passé. Ceux-là sont les plus douloureux, le parfum du regret nous chatouille le nez ensuite les yeux, tel un lacrymogène .je me retrouvais sans issue. Inutile au milieu de ces souvenirs atroces. Néanmoins, il m’arrivait de naviguer dans un océan d’espoir parfois douce et quelques fois agité. L’avenir positif se dessinait et je vivais car vivre c’est espérer. Le présent ne me disait rien car elle était là. Pour paraphraser Socrate : On aime ce qu’on n’a pas, ce dont on manque. Ce qui n’est ni actuel ni présent . Je pensais la plupart soit à mon passé soit à mon avenir. J’étais capable de plein de chose que je n’avais jusqu’à ce jour pas prouver car aucun diamant n’est diamant sans celui qui dit qu’il est diamant. Nous ne sommes hélas rien sans l’aval des autres. Sartre le disait si bien en ces mots : autrui me chosifie et me vole le monde, cependant il est le parfait médiateur entre moi et moi-même. Il fallait que je me fasse définir il fallait que l’on me définisse pour que je sois .Et si les autres n’étaient pas en accord avec vous. Vous n’êtes plus effacez vos rêves tout simplement et enterrez les au plus profond de vous. Elles vous rongeront jusqu’au jour où à votre tour vous soyez enterrer. La vie n’aura alors plus de sens lorsque vous décidez d’abandonner. Le seul vrai abandon c’est la mort. Elle est involontaire la plupart du temps et tout à fait dans la norme. En mourant on abandonne, la vie on abandonne des gens, des promesses .on est aussi abandonné par notre cœur, notre système, ceux qui ne nous comptaient pas, ce qui ne comptait pas. Me Voici atterri dans une réalité nouvelle Peinte de mes idées tantôt développées . Découvrant et palpant , en attendant le prochain voyage.
De jour comme de nuit, mes pensées fusaient d’une manière extraordinaire. Elles décollaient de rien puis exploraient des coins complexes parfois c’était un voyage dans le passé. Ceux-là sont les plus douloureux, le parfum du regret nous chatouille le nez ensuite les yeux, tel un lacrymogène .je me retrouvais sans issue. Inutile au milieu de ces souvenirs atroces. Néanmoins, il m’arrivait de naviguer dans un océan d’espoir parfois douce et quelques fois agité. L’avenir positif se dessinait et je vivais car vivre c’est espérer. Le présent ne me disait rien car elle était là. Pour paraphraser Socrate : On aime ce qu’on n’a pas, ce dont on manque. Ce qui n’est ni actuel ni présent . Je pensais la plupart soit à mon passé soit à mon avenir. J’étais capable de plein de chose que je n’avais jusqu’à ce jour pas prouver car aucun diamant n’est diamant sans celui qui dit qu’il est diamant. Nous ne sommes hélas rien sans l’aval des autres. Sartre le disait si bien en ces mots : autrui me chosifie et me vole le monde, cependant il est le parfait médiateur entre moi et moi-même. Il fallait que je me fasse définir il fallait que l’on me définisse pour que je sois .Et si les autres n’étaient pas en accord avec vous. Vous n’êtes plus effacez vos rêves tout simplement et enterrez les au plus profond de vous. Elles vous rongeront jusqu’au jour où à votre tour vous soyez enterrer. La vie n’aura alors plus de sens lorsque vous décidez d’abandonner. Le seul vrai abandon c’est la mort. Elle est involontaire la plupart du temps et tout à fait dans la norme. En mourant on abandonne, la vie on abandonne des gens, des promesses .on est aussi abandonné par notre cœur, notre système, ceux qui ne nous comptaient pas, ce qui ne comptait pas. Me Voici atterri dans une réalité nouvelle Peinte de mes idées tantôt développées . Découvrant et palpant , en attendant le prochain voyage.