-«Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appellerai pas maître»
Devant l'assistance corrompue par la notoriété du Prince Hara, le jeune Avé décida d'agir pour défendre la cause d'un inconnu.
-Mais ce jeune a du culot, il n'a pas de respect pour son prince, lança la foule autour.
Leur qualité de pays en voie de développement, leur a fait violence de solliciter l'aide des pays nantis. Et tout le pays témoignait sa reconnaissance à ces pays qui, malgré leurs problèmes acceptèrent de former leurs étudiants de manière excellente.
Avé venait de finir ses études dans un pays où les valeurs humaines n'avaient point d'égale. Fière de la formation reçue, il s'exprimait avec éloquence et respect. À l'aéroport, il stressait un peu, car son heure de départ tardait. Avec l'un de ses livres préférés en main qu'il ouvrit pour lire, le stresse se calma.
L'avion venait d'atterrir et Avé en sortit avec extrême joie. Un si long voyage rimait toujours avec la faim. Le jeune homme après s'être renseigné, se dirigea dans l'un des plus prestigieux restaurant du coin. De loin, il aperçu un homme luxueusement habillé qui se dirigeait dans le même sens. Cet homme attirait l'attention de bon nombre de personne. Mais en lieu et place de contempler son style vestimentaire, la terreur s'affirmait sur les visages. Ce monsieur avait trois à quatre gardes autour de lui. Une fois à la porte du restaurant, il poussa violemment celui qui se trouvait devant lui et entra dans le restaurant. Celui-ci tomba, ne dit mot et se releva.
-Quoi ? Lança Avé indigné de ce qui venait d'arriver. Il se précipita donc pour entrer dans le restaurant.
-Pourquoi, avez-vous agit de la sorte, à un être qui ne vous à commis aucun tord ? Lança Avé.
Sans attendre, sa garde se dirigea avec fureur pour le jeter dehors et lui injecter quelques coups de pieds dans le but de l'intimider. C'était mal connaitre le jeune homme. Il entra dans le restaurant une seconde fois pour s'adresser à celui qui avait commis l'acte.
-Je m'adresse à vous et non à vos gardes. Pourquoi avez-vous fait cela ? Cette fois-ci son humeur rimait avec la terreur. Les gardes se mirent donc de coté.
-Qui êtes vous pour agir de la sorte ? Reprit-il.
-Appelez moi maître.
Hara était le fils du souverain roi du pays, à qui l'ont devait entièrement respect sans contester quoi que ce soit. Son père jugeait fidèlement les pauvres avec justice, ce qui a affermi son trône. Il réglait toujours ses conflits de manière pacifique et tous les partis se séparèrent lors du verdict avec satisfaction. Cependant, son fils vivait le contraire de son père exemplaire. Il s'assurait toujours que ses actes restent tapis dans l'ombre. Devant son père, il affichait un caractère docile et respectueux, ce qui n'était vrai.
-Vous dites ? Lança Avé comme s'il n'avait pas entendu.
-Je le répète : appelez moi maître.
La carrure du prince intimidait ceux qui par audace voulu l'affronter et il maitrisait les arts martiaux. Avé cependant était un homme moyen qui savait qu'aucune bagarre n'a pu résoudre ceux pour quoi elle a été faite. Il n'avait donc pas l'intention de se battre. Avé sortit du restaurant et le prince le rejoignit aussitôt. À sa vue, toute l'assistance tremblait.
-C'est le maître, murmurait la foule. Avé ne comprenait pas du tout ce qu'elle voulait insinuer.
-«Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appellerai pas maître»
Furieux, le prince ne pouvait pas le toucher sinon cela aurait fait la une de tout les journaux, et pourrai mettre en doute la réputation de son père. Ayant constaté cela, le prince se hissa furieusement dans la foule pour s'éloigner.
Durant ses 20 années d'études, son acharnement au travail lui a ouvert plusieurs portes d'entrées au sein des grandes entreprises en tant que stagiaire. Certaines d'elles eussent voulu l'embaucher, ce qu'il refusait toujours pour l'intérêt de son pays. Avé avait un profil de carrière excellent. Une fois dans son pays, chaque entreprise se battait pour l'avoir en son sein. Vu le nombre pléthorique d'offre qui s'offrait à lui, il demanda l'avis de ses parents. Ceux-ci lui donnaient le même conseil :
-Fait le travail qui te plait et tu n'auras pas à travailler durant toute ta vie.
Plus les mois passèrent, le roi devenait vulnérable à cause de son âge. Il savait aussi que son successeur n'était pas mature pour diriger ce peuple comme il l'a lui-même fait. Lors d'un conseil, le roi demanda si quelqu'un se portait volontaire comme conseillé auprès de son fils pour lui enseigner la sagesse. Les notables connaissaient très bien le prince. Ils savaient qu'il ne se soumettait à aucun des ordres si ce n'est à ceux de son père. Quelques minutes après, le roi constata qu'aucun ne voulu assumer cette responsabilité. Il délégua donc l'un de ses proches pour chercher dans la contrée quelqu'un qui pourrait remplir cette tâche.
On lança donc dans les journaux l'annonce faite par le roi. Personne ne voulut épouser cette idée du roi tellement son fils était horrible. Habitué aux journaux, Avé ressenti son cœur se serrer à la vue de cette annonce. Il sursauta et courut pour aller en parler à ses parents.
Avé ne cligna pas des yeux durant la nuit précédente la rencontre avec le roi.
L'affront entre lui et le prince datait de longtemps et il avait enfoui cela dans les cendres de sa mémoire.
6h15min à sa montre, Avé enfila sa plus belle tenue dans le seul but de convaincre le roi malgré son jeune âge. Après la bénédiction de ses parents, il prit le premier véhicule en direction du palais. Une fois devant la porte du palais, les gardes lui demandèrent le motif de sa visite.
-Que me vaut l'honneur de votre visite jeune homme ? Exprima l'un des gardes.
-Bonjour Monsieur, je viens en qualité de conseillé auprès du futur roi.
-Gag gaga ! éclata de rire l'un des gardes.
-Arrête tes habitudes mal poli, pas de souci, donnez moi votre lettre, et attendez là je vous revient.
Quelques minutes après comme convenu, le gardien sortit avec un air favorable.
-Sa majesté vous autorise à entrer. Le roi était heureux qu'enfin quelqu'un s'était décidé. Il attendait donc.
Avé se hâta d'entrer avec le garde. Soudain, son regard se pencha vers l'une des fenêtres à proximité. Son cœur se mit a battre la chamade. Il venait d'apercevoir dans son champ de mire le jeune qui voulu qu'on l'appelle maître. Il s'agissait bel et bien du prince Hara.
Quitter la maison ? L'affronter malgré tout ? Il était partagé entre fuir et affronter. Il resta donc intacte pendant un bon moment et décida enfin d'affronter. Il frappa donc à la porte.
-Entrez, vous êtes le bienvenu, dit le roi. C'est vous qui avez accepter d'être auprès de mon fils ?
-Comme vous le constatez majesté, c'est moi votre humble serviteur !
Le roi était étonné de l'audace qui emmena ce jeune homme jusqu'à lui. Il fit signe à son serviteur qui se tenait à sa droite.
-Appelez moi le prince, ordonna t-il.
-Sois saluer père, lui répondit le prince la tête baissée. Il n'avait pas encore vu Avé.
-Père vous m'avez appelez, je suis présent à votre entière disposition.
-Je t'appelle pour te présenter celui avec qui tu dirigeras le trône. Lève toi et regarde-le.
Une fois debout, le film de leur première rencontre passa à ses yeux à la vitesse de la lumière. Le prince avait beau réfléchi à ce qu'il faisait qui était inhumain. Il comprit aussi que les gens lui donnait la mention contraire des actes qu'il posait. Aussi, il prit conscience de l'état de santé du roi qui ne faisait que se dégrader. Le prince s'appliquait donc à l'étude de la sagesse dans sa chambre sans que personne ne le sache. À la vue du jeune Avé, il esquissa un sourire vrai et le salua.
Avé et le prince s'entendaient depuis ce jour comme des frères de sang. Le roi céda de son vivant le règne à son fils et à Avé qui l'épaulait dans la gouvernance. Ils s'appliquèrent tous deux si bien que son père manquait de mot pour les féliciter.
Devant l'assistance corrompue par la notoriété du Prince Hara, le jeune Avé décida d'agir pour défendre la cause d'un inconnu.
-Mais ce jeune a du culot, il n'a pas de respect pour son prince, lança la foule autour.
Leur qualité de pays en voie de développement, leur a fait violence de solliciter l'aide des pays nantis. Et tout le pays témoignait sa reconnaissance à ces pays qui, malgré leurs problèmes acceptèrent de former leurs étudiants de manière excellente.
Avé venait de finir ses études dans un pays où les valeurs humaines n'avaient point d'égale. Fière de la formation reçue, il s'exprimait avec éloquence et respect. À l'aéroport, il stressait un peu, car son heure de départ tardait. Avec l'un de ses livres préférés en main qu'il ouvrit pour lire, le stresse se calma.
L'avion venait d'atterrir et Avé en sortit avec extrême joie. Un si long voyage rimait toujours avec la faim. Le jeune homme après s'être renseigné, se dirigea dans l'un des plus prestigieux restaurant du coin. De loin, il aperçu un homme luxueusement habillé qui se dirigeait dans le même sens. Cet homme attirait l'attention de bon nombre de personne. Mais en lieu et place de contempler son style vestimentaire, la terreur s'affirmait sur les visages. Ce monsieur avait trois à quatre gardes autour de lui. Une fois à la porte du restaurant, il poussa violemment celui qui se trouvait devant lui et entra dans le restaurant. Celui-ci tomba, ne dit mot et se releva.
-Quoi ? Lança Avé indigné de ce qui venait d'arriver. Il se précipita donc pour entrer dans le restaurant.
-Pourquoi, avez-vous agit de la sorte, à un être qui ne vous à commis aucun tord ? Lança Avé.
Sans attendre, sa garde se dirigea avec fureur pour le jeter dehors et lui injecter quelques coups de pieds dans le but de l'intimider. C'était mal connaitre le jeune homme. Il entra dans le restaurant une seconde fois pour s'adresser à celui qui avait commis l'acte.
-Je m'adresse à vous et non à vos gardes. Pourquoi avez-vous fait cela ? Cette fois-ci son humeur rimait avec la terreur. Les gardes se mirent donc de coté.
-Qui êtes vous pour agir de la sorte ? Reprit-il.
-Appelez moi maître.
Hara était le fils du souverain roi du pays, à qui l'ont devait entièrement respect sans contester quoi que ce soit. Son père jugeait fidèlement les pauvres avec justice, ce qui a affermi son trône. Il réglait toujours ses conflits de manière pacifique et tous les partis se séparèrent lors du verdict avec satisfaction. Cependant, son fils vivait le contraire de son père exemplaire. Il s'assurait toujours que ses actes restent tapis dans l'ombre. Devant son père, il affichait un caractère docile et respectueux, ce qui n'était vrai.
-Vous dites ? Lança Avé comme s'il n'avait pas entendu.
-Je le répète : appelez moi maître.
La carrure du prince intimidait ceux qui par audace voulu l'affronter et il maitrisait les arts martiaux. Avé cependant était un homme moyen qui savait qu'aucune bagarre n'a pu résoudre ceux pour quoi elle a été faite. Il n'avait donc pas l'intention de se battre. Avé sortit du restaurant et le prince le rejoignit aussitôt. À sa vue, toute l'assistance tremblait.
-C'est le maître, murmurait la foule. Avé ne comprenait pas du tout ce qu'elle voulait insinuer.
-«Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appellerai pas maître»
Furieux, le prince ne pouvait pas le toucher sinon cela aurait fait la une de tout les journaux, et pourrai mettre en doute la réputation de son père. Ayant constaté cela, le prince se hissa furieusement dans la foule pour s'éloigner.
Durant ses 20 années d'études, son acharnement au travail lui a ouvert plusieurs portes d'entrées au sein des grandes entreprises en tant que stagiaire. Certaines d'elles eussent voulu l'embaucher, ce qu'il refusait toujours pour l'intérêt de son pays. Avé avait un profil de carrière excellent. Une fois dans son pays, chaque entreprise se battait pour l'avoir en son sein. Vu le nombre pléthorique d'offre qui s'offrait à lui, il demanda l'avis de ses parents. Ceux-ci lui donnaient le même conseil :
-Fait le travail qui te plait et tu n'auras pas à travailler durant toute ta vie.
Plus les mois passèrent, le roi devenait vulnérable à cause de son âge. Il savait aussi que son successeur n'était pas mature pour diriger ce peuple comme il l'a lui-même fait. Lors d'un conseil, le roi demanda si quelqu'un se portait volontaire comme conseillé auprès de son fils pour lui enseigner la sagesse. Les notables connaissaient très bien le prince. Ils savaient qu'il ne se soumettait à aucun des ordres si ce n'est à ceux de son père. Quelques minutes après, le roi constata qu'aucun ne voulu assumer cette responsabilité. Il délégua donc l'un de ses proches pour chercher dans la contrée quelqu'un qui pourrait remplir cette tâche.
On lança donc dans les journaux l'annonce faite par le roi. Personne ne voulut épouser cette idée du roi tellement son fils était horrible. Habitué aux journaux, Avé ressenti son cœur se serrer à la vue de cette annonce. Il sursauta et courut pour aller en parler à ses parents.
Avé ne cligna pas des yeux durant la nuit précédente la rencontre avec le roi.
L'affront entre lui et le prince datait de longtemps et il avait enfoui cela dans les cendres de sa mémoire.
6h15min à sa montre, Avé enfila sa plus belle tenue dans le seul but de convaincre le roi malgré son jeune âge. Après la bénédiction de ses parents, il prit le premier véhicule en direction du palais. Une fois devant la porte du palais, les gardes lui demandèrent le motif de sa visite.
-Que me vaut l'honneur de votre visite jeune homme ? Exprima l'un des gardes.
-Bonjour Monsieur, je viens en qualité de conseillé auprès du futur roi.
-Gag gaga ! éclata de rire l'un des gardes.
-Arrête tes habitudes mal poli, pas de souci, donnez moi votre lettre, et attendez là je vous revient.
Quelques minutes après comme convenu, le gardien sortit avec un air favorable.
-Sa majesté vous autorise à entrer. Le roi était heureux qu'enfin quelqu'un s'était décidé. Il attendait donc.
Avé se hâta d'entrer avec le garde. Soudain, son regard se pencha vers l'une des fenêtres à proximité. Son cœur se mit a battre la chamade. Il venait d'apercevoir dans son champ de mire le jeune qui voulu qu'on l'appelle maître. Il s'agissait bel et bien du prince Hara.
Quitter la maison ? L'affronter malgré tout ? Il était partagé entre fuir et affronter. Il resta donc intacte pendant un bon moment et décida enfin d'affronter. Il frappa donc à la porte.
-Entrez, vous êtes le bienvenu, dit le roi. C'est vous qui avez accepter d'être auprès de mon fils ?
-Comme vous le constatez majesté, c'est moi votre humble serviteur !
Le roi était étonné de l'audace qui emmena ce jeune homme jusqu'à lui. Il fit signe à son serviteur qui se tenait à sa droite.
-Appelez moi le prince, ordonna t-il.
-Sois saluer père, lui répondit le prince la tête baissée. Il n'avait pas encore vu Avé.
-Père vous m'avez appelez, je suis présent à votre entière disposition.
-Je t'appelle pour te présenter celui avec qui tu dirigeras le trône. Lève toi et regarde-le.
Une fois debout, le film de leur première rencontre passa à ses yeux à la vitesse de la lumière. Le prince avait beau réfléchi à ce qu'il faisait qui était inhumain. Il comprit aussi que les gens lui donnait la mention contraire des actes qu'il posait. Aussi, il prit conscience de l'état de santé du roi qui ne faisait que se dégrader. Le prince s'appliquait donc à l'étude de la sagesse dans sa chambre sans que personne ne le sache. À la vue du jeune Avé, il esquissa un sourire vrai et le salua.
Avé et le prince s'entendaient depuis ce jour comme des frères de sang. Le roi céda de son vivant le règne à son fils et à Avé qui l'épaulait dans la gouvernance. Ils s'appliquèrent tous deux si bien que son père manquait de mot pour les féliciter.