- Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître. Je refuse de me soumettre,je ne subirai pas cela une fois de plus...,laissait-elle entendre avec peur, colère, mépris et dégoût.
Elle venait de prendre sa douche du soir et avait toujours sa serviette nouée autour de sa poitrine. Son patron essayait une fois de plus d'abuser d'elle. Elle le suppliait de la laisser tranquille mais il insistait et persistait dans son acte horrible. Il l'a violemment jettée sur le lit, la dénudant. Elle arrangea sa serviette et l'attacha comme elle pouvait. Elle regardait partout, cherchant quoi se défendre. Mais il semblait que rien ni personne ne pourraient la sauver de ce cauchemar. Il enleva sa ceinture,la tira et se mit entre ses jambes...
- Wendinso... appela la voix suave et apeurée d'un petit garçon, arrêté devant la porte.
L'homme eu peur et se redressa rapidement. Wendinso était toujours sous le choc.
- Wendinso...appela à nouveau le petit garçon
Elle reprit un peu ses esprits, essuya ses larmes et sortie voir le petit garçon d'environ six ans. Elle le prit dans ses bras et laissa couler des larmes.
- Wendinso, j'ai fait un cauchemar! Dit le garçonnet.
Wendinso l'amena dans sa chambre, le coucha et resta auprès de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Elle se remit encore à pleurer.« Seigneur,qu'ai-je fait pour mériter ça ? Songeait-elle intérieurement» . Elle se mit à penser à tous les malheurs qu'elle a vécue depuis son enfance. Elle avait envie d'en finir avec sa vie.
Wendinso est née dans un petit village du Burkina Faso. Elle n'a pas eu la chance de connaître ses parents. Sa mère est morte en la mettant au monde. À la suite de cela,son père l'a confiée à sa tante. Elle n'a jamais vu son père jusqu'aujourd'hui. Sa vie au village avec sa tante a été un cauchemar. Elle n'a presque pas eu une enfance normale. Pendant que les autres enfants jouaient à des jeux comme le veut leur âge et partaient à l'école, Wendinso n'avait pas le temps de jouer. Elle travaillait comme un âne. À six ans déjà elle travaillait comme une grande fille : elle faisait les travaux champêtres et ménagers. Elle regardait envieusement les enfants de son âge jouer sans avoir le droit d'aller les rejoindre. Sa tante n'était pas du tout gentille avec elle. Elle ne lui demandait jamais si elle était malade ou si elle allait bien. Solide comme était-elle, elle ne tombait jamais malade, même si elle venait à tomber malade, c'était une toute petite maladie qui passait sans qu'elle n'ait besoin de prendre des comprimés ou se reposer. Sa tante était un peu âgée. Tous ses enfants étaient devenus grands et avaient fondés leurs vies, d'autres étaient partis en Côte D'ivoire. Son mari était décédé. Elle vivait dans la maison de son défunt mari avec ses coépouses et leurs enfants. Avec un visage aussi laid que celui d'une vieille sorcière, elle ne souriait jamais.
Wendinso avait à peine treize ans. Beaucoup de filles du village partaient en ville pour servir de fille de ménage . Une institutrice du village avait besoin de fille de ménage. Elle a demandé à ses élèves de l'aider à en trouver une.C'est en se reiseignant que le hasard l'a conduisit chez la tante de Wendinso. L'accord a été conclu sans que Wendinso ne soit au courant. Sa tante recevrait 15 000 FCFA tous les mois en échange Wendinso allait s'occuper des travaux ménagers de la «parfaite inconnue » : lessive, vaisselle,garder les enfants... tout et tout. Elle aura tous les droits sur Wendinso. Sa tante lui a dit de faire son sac, qu'elle travaillera dès à présent avec une femme qu'elle ne connaissait pas. Elle lui a dit de bien travailler et de faire tout ce que lui demanderait la dame. Wendinso suivie la femme en ville. La dame avait trois enfants. L'aîné,un garçon avait le même âge qu'elle. Wendinso était habituée à travailler et travaillait vraiment bien. Elle travailla pendant plusieurs mois sans aucun problème. Sa patronne ne la maltraitait pas physiquement. Wendinso ne connaissait pas la ville et ne sortait pas. À moins qu'on ne l'envoya à la boutique ou à quelque part. Elle se sentait vraiment seule. Elle ne recevait aucun amour de la part de ses patrons et on la considérait seulement comme la fille de ménage : elle ne mangeait pas avec la famille à table, elle ne pouvait pas prendre part aux balades en familles, personne ne lui demandait ce qu'elle voulait et ce qu'elle ressentait.
Elle avait quinze ans. Sa morphologie était devenue celle d'une femme. Madame était enseignante à plus de vingt kilomètres de la ville. Elle partait le matin et revenait le soir. Monsieur a commencé avec des attouchements, puis il a fini par abuser d'elle. Encore et encore. Elle était dépassée par la situation,ne savait pas quoi faire. Un jour elle en a eu mare, s'est défendue avec un couteau l'a blaissé et s'est enfuie très loin. Elle a errée dans les rues en proie à la fraîcheur, le vent, l'insécurité. Elle a mendié aussi pour survivre. Après elle a rencontré une dame qui a eu pitié d'elle et a voulu l'aider. Elle l'a amené chez elle, l'a nettoyer. Elle voulait faire ce qu'elle avait toujours fait : travailler ! Mais elle l'a tendue un piège, elle voulait faire d'elle une prostituée, mais elle a refusé. Elle ne s'en sentait pas capable. Alors elle est partie sans savoir où aller. Et la voilà encore dans les rues. Elle a tapé de porte en porte pour trouver un travail. Elle a fini par en trouver un. Elle faisait la lessive pour les gens et balayait leur cours et gagnait de quoi manger. Une dames a été plus gentille et a décidée de l'aider en l'hébergeant chez elle. Cette femme était vraiment très gentille. Wendinso vivait maintenant chez elle et faisait le ménage. Tout se passait bien. Cette dame était vraiment gentille. Elle lui donnait 20 000 FCFA par mois et elle achetait ce qu'elle voulait. En plus, elle lui donnait plus de liberté et lui permettait de faire ce qu'elle voulait.
Voilà plus de deux ans qu'elle vivait avec cette femme sans problème. Elle avait dix huit ans et commençait à s'épanouir et à connaître le bon côté de la vie. Mais un mauvais jour son cauchemar reprit. Monsieur avait des vues sur elle. Il a commencé avec des attouchements et des regards bizarres. Ce soir madame n'est pas à la maison et voilà que monsieur a essayé d'abuser d'elle.
Coucher auprès du petit qui dormait profondément, ses larmes coulaient abondamment « seigneur qu'ai-je fait pour mériter une telle vie ? Se disait-elle intérieurement à ce Dieu qui ne semblait pas être le créateur de tous les humains » .
Elle avait vraiment perdu goût à la vie et était très triste. Madame était revenue deux jours plutard. Les enfants avaient accouru très content vers leur mère. Les retrouvailles ont été émouvantes, jusqu'à ce qu'elle demanda :
- Où est Wendinso ?
- Dans la chambre ! Répondit le garçonnet.
- Wendinso... Wendinso...hélait-elle en rentrant.
Elle rentra dans la chambre de Wendinso et la vie allongée sur le lit, inconsciente.
Étrange ! Parce qu'à sa connaissance, Wendinso ne dors jamais quand il fait jour.
- Wendinso ! Appela t-elle inquiète en se précipitant vers elle. Elle essaya de la soulever mais elle était devenue trop lourde comme un carton de terre. Une écume blanchâtre débordait de sa bouche et coulait des deux côtés de ses joux. Elle vu un flacon de médicaments contre souris à côté d'elle et compris que le pire s'était produit.
Elle venait de prendre sa douche du soir et avait toujours sa serviette nouée autour de sa poitrine. Son patron essayait une fois de plus d'abuser d'elle. Elle le suppliait de la laisser tranquille mais il insistait et persistait dans son acte horrible. Il l'a violemment jettée sur le lit, la dénudant. Elle arrangea sa serviette et l'attacha comme elle pouvait. Elle regardait partout, cherchant quoi se défendre. Mais il semblait que rien ni personne ne pourraient la sauver de ce cauchemar. Il enleva sa ceinture,la tira et se mit entre ses jambes...
- Wendinso... appela la voix suave et apeurée d'un petit garçon, arrêté devant la porte.
L'homme eu peur et se redressa rapidement. Wendinso était toujours sous le choc.
- Wendinso...appela à nouveau le petit garçon
Elle reprit un peu ses esprits, essuya ses larmes et sortie voir le petit garçon d'environ six ans. Elle le prit dans ses bras et laissa couler des larmes.
- Wendinso, j'ai fait un cauchemar! Dit le garçonnet.
Wendinso l'amena dans sa chambre, le coucha et resta auprès de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Elle se remit encore à pleurer.« Seigneur,qu'ai-je fait pour mériter ça ? Songeait-elle intérieurement» . Elle se mit à penser à tous les malheurs qu'elle a vécue depuis son enfance. Elle avait envie d'en finir avec sa vie.
Wendinso est née dans un petit village du Burkina Faso. Elle n'a pas eu la chance de connaître ses parents. Sa mère est morte en la mettant au monde. À la suite de cela,son père l'a confiée à sa tante. Elle n'a jamais vu son père jusqu'aujourd'hui. Sa vie au village avec sa tante a été un cauchemar. Elle n'a presque pas eu une enfance normale. Pendant que les autres enfants jouaient à des jeux comme le veut leur âge et partaient à l'école, Wendinso n'avait pas le temps de jouer. Elle travaillait comme un âne. À six ans déjà elle travaillait comme une grande fille : elle faisait les travaux champêtres et ménagers. Elle regardait envieusement les enfants de son âge jouer sans avoir le droit d'aller les rejoindre. Sa tante n'était pas du tout gentille avec elle. Elle ne lui demandait jamais si elle était malade ou si elle allait bien. Solide comme était-elle, elle ne tombait jamais malade, même si elle venait à tomber malade, c'était une toute petite maladie qui passait sans qu'elle n'ait besoin de prendre des comprimés ou se reposer. Sa tante était un peu âgée. Tous ses enfants étaient devenus grands et avaient fondés leurs vies, d'autres étaient partis en Côte D'ivoire. Son mari était décédé. Elle vivait dans la maison de son défunt mari avec ses coépouses et leurs enfants. Avec un visage aussi laid que celui d'une vieille sorcière, elle ne souriait jamais.
Wendinso avait à peine treize ans. Beaucoup de filles du village partaient en ville pour servir de fille de ménage . Une institutrice du village avait besoin de fille de ménage. Elle a demandé à ses élèves de l'aider à en trouver une.C'est en se reiseignant que le hasard l'a conduisit chez la tante de Wendinso. L'accord a été conclu sans que Wendinso ne soit au courant. Sa tante recevrait 15 000 FCFA tous les mois en échange Wendinso allait s'occuper des travaux ménagers de la «parfaite inconnue » : lessive, vaisselle,garder les enfants... tout et tout. Elle aura tous les droits sur Wendinso. Sa tante lui a dit de faire son sac, qu'elle travaillera dès à présent avec une femme qu'elle ne connaissait pas. Elle lui a dit de bien travailler et de faire tout ce que lui demanderait la dame. Wendinso suivie la femme en ville. La dame avait trois enfants. L'aîné,un garçon avait le même âge qu'elle. Wendinso était habituée à travailler et travaillait vraiment bien. Elle travailla pendant plusieurs mois sans aucun problème. Sa patronne ne la maltraitait pas physiquement. Wendinso ne connaissait pas la ville et ne sortait pas. À moins qu'on ne l'envoya à la boutique ou à quelque part. Elle se sentait vraiment seule. Elle ne recevait aucun amour de la part de ses patrons et on la considérait seulement comme la fille de ménage : elle ne mangeait pas avec la famille à table, elle ne pouvait pas prendre part aux balades en familles, personne ne lui demandait ce qu'elle voulait et ce qu'elle ressentait.
Elle avait quinze ans. Sa morphologie était devenue celle d'une femme. Madame était enseignante à plus de vingt kilomètres de la ville. Elle partait le matin et revenait le soir. Monsieur a commencé avec des attouchements, puis il a fini par abuser d'elle. Encore et encore. Elle était dépassée par la situation,ne savait pas quoi faire. Un jour elle en a eu mare, s'est défendue avec un couteau l'a blaissé et s'est enfuie très loin. Elle a errée dans les rues en proie à la fraîcheur, le vent, l'insécurité. Elle a mendié aussi pour survivre. Après elle a rencontré une dame qui a eu pitié d'elle et a voulu l'aider. Elle l'a amené chez elle, l'a nettoyer. Elle voulait faire ce qu'elle avait toujours fait : travailler ! Mais elle l'a tendue un piège, elle voulait faire d'elle une prostituée, mais elle a refusé. Elle ne s'en sentait pas capable. Alors elle est partie sans savoir où aller. Et la voilà encore dans les rues. Elle a tapé de porte en porte pour trouver un travail. Elle a fini par en trouver un. Elle faisait la lessive pour les gens et balayait leur cours et gagnait de quoi manger. Une dames a été plus gentille et a décidée de l'aider en l'hébergeant chez elle. Cette femme était vraiment très gentille. Wendinso vivait maintenant chez elle et faisait le ménage. Tout se passait bien. Cette dame était vraiment gentille. Elle lui donnait 20 000 FCFA par mois et elle achetait ce qu'elle voulait. En plus, elle lui donnait plus de liberté et lui permettait de faire ce qu'elle voulait.
Voilà plus de deux ans qu'elle vivait avec cette femme sans problème. Elle avait dix huit ans et commençait à s'épanouir et à connaître le bon côté de la vie. Mais un mauvais jour son cauchemar reprit. Monsieur avait des vues sur elle. Il a commencé avec des attouchements et des regards bizarres. Ce soir madame n'est pas à la maison et voilà que monsieur a essayé d'abuser d'elle.
Coucher auprès du petit qui dormait profondément, ses larmes coulaient abondamment « seigneur qu'ai-je fait pour mériter une telle vie ? Se disait-elle intérieurement à ce Dieu qui ne semblait pas être le créateur de tous les humains » .
Elle avait vraiment perdu goût à la vie et était très triste. Madame était revenue deux jours plutard. Les enfants avaient accouru très content vers leur mère. Les retrouvailles ont été émouvantes, jusqu'à ce qu'elle demanda :
- Où est Wendinso ?
- Dans la chambre ! Répondit le garçonnet.
- Wendinso... Wendinso...hélait-elle en rentrant.
Elle rentra dans la chambre de Wendinso et la vie allongée sur le lit, inconsciente.
Étrange ! Parce qu'à sa connaissance, Wendinso ne dors jamais quand il fait jour.
- Wendinso ! Appela t-elle inquiète en se précipitant vers elle. Elle essaya de la soulever mais elle était devenue trop lourde comme un carton de terre. Une écume blanchâtre débordait de sa bouche et coulait des deux côtés de ses joux. Elle vu un flacon de médicaments contre souris à côté d'elle et compris que le pire s'était produit.