Nouvelles
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Institut facultaire des sciences de l'information et de la communication
Une femme en pierre.
Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'ont fait tout les autres , mais je ne vous appellerai pas maître . Où est la place de la justice dans tous ça, comment avons - nous atterri ici ? Ce village à été trop longtemps sous votre emprise, vous avez fait taire tellement des victimes,des familles entières totalement brisées à cause de cette fichue loi que vous brandissez sans crier gar quand ça vous arrange, vous avez profité de notre ignorance mais c'était la dernière fois.
Vous vous demandez sûrement d'où me vient ce courage hein ! C'est ce que je lis dans vos yeux en ce moment même, cessez vos questionnements.
Mon courage, vous ne le chercher pas ici, il est ailleurs ; il se trouve dans mes larmes, dans mes silences, c'est le secret de ma solitude. Voilà plus de dix ans que je casse de pierre pour nourrir ma famille, c'est le seul travail que je sais faire, un travail d'homme comme le disent certains, mon mari le faisait aussi,n'ayant pas reçu d' éducation ni de formation professionnelle, le quartier où nous vivions était une zone rongée par des geurres récurrent, c'était soit casser des pierres soit rejoindre les milices , pour protéger nos enfants mon mari a choisi les pierres ; voilà plus de dix ans maintenant ,veuve de mon état, vivant sous le seuil de la pauvreté, cette terre et tout ce me reste, et vous, vous essayez de me l'arracher, vous voulez me prendre mes terres ? Essayez encore ! vos pairs ont essayé en utilisant toutes sortes de stratégie, corruption, manipulation, abus de pouvoir, une justice à deux poids deux mesures, tout ça pour m'obliger à partir, mais je ne cederai pas.
Et votre serment ? Le rôle précurseur du juge n'est que mascarade, Une fois la robe enfiler vous jetez tout à la poubelle. lorsque l'argent frappe à la porte, la justice sort par la fenêtre.
Oui! vous avez mis un prix à votre dignité, mais sachez que le mieux n'a pas de coût. Vous êtes leur maître pas le mien, je ne vous appellerai jamais maître.
Vous vous demandez sûrement d'où me vient ce courage hein ! C'est ce que je lis dans vos yeux en ce moment même, cessez vos questionnements.
Mon courage, vous ne le chercher pas ici, il est ailleurs ; il se trouve dans mes larmes, dans mes silences, c'est le secret de ma solitude. Voilà plus de dix ans que je casse de pierre pour nourrir ma famille, c'est le seul travail que je sais faire, un travail d'homme comme le disent certains, mon mari le faisait aussi,n'ayant pas reçu d' éducation ni de formation professionnelle, le quartier où nous vivions était une zone rongée par des geurres récurrent, c'était soit casser des pierres soit rejoindre les milices , pour protéger nos enfants mon mari a choisi les pierres ; voilà plus de dix ans maintenant ,veuve de mon état, vivant sous le seuil de la pauvreté, cette terre et tout ce me reste, et vous, vous essayez de me l'arracher, vous voulez me prendre mes terres ? Essayez encore ! vos pairs ont essayé en utilisant toutes sortes de stratégie, corruption, manipulation, abus de pouvoir, une justice à deux poids deux mesures, tout ça pour m'obliger à partir, mais je ne cederai pas.
Et votre serment ? Le rôle précurseur du juge n'est que mascarade, Une fois la robe enfiler vous jetez tout à la poubelle. lorsque l'argent frappe à la porte, la justice sort par la fenêtre.
Oui! vous avez mis un prix à votre dignité, mais sachez que le mieux n'a pas de coût. Vous êtes leur maître pas le mien, je ne vous appellerai jamais maître.