Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas Maître. Vous supposez être mon maître ? Mais chaque humain est maître de soi-même. Vous allez beau essayer de me convaincre de vous appelez maître. Je ne le ferai pas. Mes parents m'ont donné une mission. Qui est le suivant : De traverser l'océan d'Outre-Mer, je dois prendre le bateau pour traverser cet océan. À cette occasion je travaillerai dans le village qui se trouve à l'autre bout de mon village, ce village se nomme Cottica. Un beau matin je me réveille.
 Sortant de la maison je croise le voisin Mofina.
-Bonjour Mr Mofina 
-Qu'as-tu fait pour te réveiller aussi tôt ?
Oh ! Cher voisin je suis à la recherche d'un travail.
Je dois traverser l'océan d'outre Mer pour retrouver mes parents mais ayant un monsieur qui se croit supérieur à moi, qui me demande de l'appeler maître.
-Oh ! ma pauvre ce monde est immense, ainsi nous avons des individus qui se permettent de se croire supérieurs à autrui.
Les jours passèrent je me rends à Cottica, à la recherche d'un travail. Le soi-disant maître ne me laisse pas seule. Il demande à ses employés de me suivre.
Soudain ! je me retrouve face à face avec eux, j'essaie de m'échapper. Les seules paires de chaussures que j'avais s'enfoncent dans le sable comme mon rêve de trouver ce travail s'enfonce. Ainsi il m'attrape. Par la peur je commence à crier de toutes mes forces.
Je pense à comment je vais faire pour partir, le seul truc que j'ai en tête, en ce moment c'est l'espoir.
En arrivant, le monsieur me convoque dans la cuisine il dit 
-Jeune fille tu es à moi que tu le veuilles ou non, tu vas m'appeler maître.
-Je lui réponds d'une manière qu'il lui a rendu furieux
-Oh toi ne me fait pas rire vous croyez être maître. Répondez-moi est-ce que vous maîtrisez ses pouvoirs
-Le pouvoir de l'eau, de la terre et le feu
Répond-t-il : - ahaha je ne maîtrise aucun de ses pouvoirs que tu as cité, mais je suis quand même votre maître et j'exige à ce que vous m'appelez MAÎTRE.
-Pauvre monsieur sait-il que les rêves sont faits pour la nuit et non pour le jour.
Bon monsieur j'aimerais vous parlez tranquillement avec vous. Je dois trouver mes parents en outre-mer. Pouvons-nous négocier ?
Je t'appellerai sans doute pas maître comme vous le souhaitez. Mais avec le temps vous accepteriez que je dois partir travailler.
-Bon c'est quoi votre demande pour négocier.
-Laisser moi partir travailler on partagerait l'argent que je gagnerai.
-Vous partirez quand ?
-Je partirai demain.
-Marché conclu.
Le jour se lève je m'embarque pour chercher un travail, j'arrive à Cottica. Je trouve un travail directement comme serveuse dans un bar. De cette manière je partirai de Cottica, sans qu'il le sache.
Je travaille pour pouvoir payer le bateau qui m'emmènera à ma destination et non pour pouvoir partager mon argent avec lui ahah. 
Souvent, j'entends les villageois disent l'océan est beau, il est bleu comme le Ciel hâte de voir ça. Je gagne dix dollars par jours. Encore trente-un jour pour travailler ainsi j'aurais trois cent dix dollars et à moi de relever cette mission d'aller retrouver mes parents.
Parfois le monsieur m'envoie des lettres pour réclamer sa part.
De cette manière j'ignore ses lettres. C'est en pensant que je pense qu'il m'avait forcé à l'appeler Maître. Chose que j'ai refusée. Les jours passèrent si vite que je me demande si je vais toujours partir.
Ce fût ce jour j'aperçois un petit homme, digne d'un homme d'affaire, peut-être je pourrai compter sur lui pour m'emmener à ma destination. J'essaie d'aborder une discussion avec lu
Bonjour monsieur
-Bonjour jeune fille
-Comment allez-vous ?
-Je vais bien et vous
-Je vais super bien
-OK 
Enfin j'ai réussi à lui parler, j'espère qu'il va revenir demain. Je vais rester en contact avec lui, en espérant qu'il va pouvoir m'aider.
J'attends que la nuit passe, il va sûrement revenir. Oh ! Mais voici qui je vois.
Monsieur Mofina c'est vous ?
-Hé c'est bien moi, content de t'avoir croisé
-Mais monsieur Mofina qu'est-ce que vous êtes venu faire ici ?
-Oh moi je suis venu ici en tant que touriste
-Ah je vois bien, contente de vous avoir croisé aussi. Demain pouvez-vous passer à mon lieu de travail ?
-OK pas de soucis
-Merci bonne soirée à vous
Ce fût le matin les bruits des coques me réveille. Je me prépare pour aller au travail. Sur le chemin je croise l'homme d'affaire
– Bonjour monsieur quelle coïncidence
– Bonjour madame eh oui
- Sinon vous allez où monsieur ?
– Je vais à ton lieu de travail
– Ah on peut y aller ensemble ?
- Oui ça ne me dérange pas
Nous marchons tranquille et d'un coup, l'envie est venue de lui demander, s'il connaît quelqu'un qui à un bateau ?
-Oui je connais quelqu'un et cette personne c'est moi.
-Ah j'aurais besoin de votre aide. Besoin d'accomplir une mission. Traversée l'outre-mer en bateau pour rejoindre mes parents.
-Ah ok pas de soucis, je vais vous aider vous comptiez partir quand ?
-Je compte partir dans deux jours
-OK
Je suis très contente je vais pouvoir accomplir cette mission hehe. 
Les jours passent c'est le jour de partir, je remercie le chef qui a su m'aider pas comme l'autre qui a voulu que je l'appelle Maître.
Je monte dans le bateau, en pensant que j'allais atterrir à ma destination.
Mais non dans le bateau se trouve le diable en personne. Le soi-disant maître.
-Ahaha tu pensais être intelligente, tu esquivais toutes mes lettres.
-Mais voyons monsieur ! Laisser moi tranquille, vous êtes qu'un bon à rien. À vouloir profiter de la gentillesse d'autrui.
Déposez-moi à ma destination, je vous paierai
-Combien ?
-Trois cent dix dollars, c'est tout ce que j'ai.
-Je prendrai tes trois cent dix dollars pour te déposer.
-OK l'humain
-Un petit somme comme ça mais ça roule
Le voyage va durer une semaine, pour traverser cet océan
En passant sur des îles pour récupérer d'autres passagers.
Une mamie s'approche de moi et commence à parler de ma couleur de peau
- Jeune fille vous êtes accompagné de votre maître, votre couleur de peau ne vous laisse pas être libre.
- Je lui réponds d'une aire furieuse : Pauvre mamie, même en étant vielle, vous vous occupez des affaires d'autrui. Ma couleur de peau vous faites parler à ce point là. Ce que vous dites. Vous devez être enfermé dans un endroit digne des gens comme vous. Sans cervelle et arrogante
- Jeune fille savez-vous qui suis-je ? Je suis la maîtresse de tout être noirs
– Rolala madame vous êtes vraiment folle et stupide ce sont vos qualités. Faut être vraiment tarée pour penser de cette manière. Croyez-vous ? Qu'on vous appartient ? Ce n'est pas en étant noir, que ça signifie qu'on n'a pas les mêmes droits.
Vous êtes où ?
Vous êtes ce moment dans le même bateau que je suis actuellement. Cela devrait donc ouvrir votre petite cervelle
- Jeune fille ! Vous êtes si naïve ahaha, à votre âge, j'avais déjà un boulot digne de mon nom, regarder où vous êtes vous, ou plutôt tu
- Madame je ne dirai plus rien, à mon âge vous avez eu un boulot blablabla digne à votre nom, votre nom stupide. La vérité Madame allée vous faire foutre. Un nom qui s'efface avec le temps. Je parie, je demande aux passagers, personnes ne vous connais point Madame. Fin, je n'ai pas votre temps aller parler aux gens de ton niveau.
– Mon niveau !
– Eh oui madame, dois-je vous rappeler, que dès le début vous me vouvoyer, cela montre clairement qu'on a le même niveau bye.
Le temps passe tellement vite, sept jours que nous sommes sur ce bateau, on mange bien, on dort bien. La vie d'artiste quoi. Sans oublier la vielle dame, qui ne fait que chercher des problèmes au sein de ce bateau.
La société d'aujourd'hui laisse ce genre de personnes, problématique à leur merci.
Enfin j'ai pu voir la beauté de l'océan, ce que tout le monde disait était réel.
Les vagues sont magnifiques.
le coucher du soleil est magnifique.
Arrivée à destination je retrouve mes parents.
Nous recommençons notre vie à zéro
Ne laissez personne vous donnez des ordres