Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les d'eux. J'aurais tout, absolument tout donné pour avoir une vie remplie d'aventures, de palpitations, de sensations si fortes à un point où je me perdrai dans mes émotions divers. Rien qu'à l'idée d'y penser, j'avais des frissons qui faisaient relever les poils de mon corps, et une sensation de regrets qui se posèrent comme une cape sur les épaules d'un super vilain. Je n'étais pas malheur, non détrompez vous mais je n'étais pas heureux également, il arrivait que je riais des fois mais je sentais une vie trop normale ennuyeuse et la fin de cette vie je la connaissais déjà. Mais avais-je la capacité de, ne serais-ce qu'entamé mes fantasmes, avais-je cette force intérieure pour briser cette routine vêtue de solitude quotidienne qui était le mien...?
Non et pourquoi celà ? Juste parce que le milieu dans lequel j'ai vécu, présentais un environnement hostile pour une entreprise comme la mienne. Mes seules portes d'évasion étaient constitué de livres, de citations, de courants de pensées des grands hommes qui ont marqué les siècles derniers, qui se concrétisèrent dans mes rêves. Et ce soir là je m'étais investis dans la compréhension des écrits de Platon, celle de l' allégorie de la caverne. Alors j'essayais de trouver ma place dans cet optique, étais-je parmi ceux qui se plaisaient dans l'obscurité de cette caverne qui ne reflétait que l'ignorance ou, ceux qui cherchaient à atteindre la surface à la quête de la lumière, qui ne représentait autre chose que la vérité ? J'avoue que cela m'avait tellement tourmenté à un point que je ne me rendis pas compte à quelle moment je me suis écroulé sous les poids assommants du sommeil. D'un coup je sentis me caresser la plante des pieds, un vent frais, doux, et d'un réconfort aussi chaleureux comparable à celui de Ibiza. Déjà, était ce déjà le matin ; ses matinées orageuses où le vent frais comme sur une plage, je me questionnais à moitié réveillé.
Là, je me suis senti plus vivant que jamais, alors à ce moment précis, je décidai d'ouvrir les yeux, une lumière aveuglante venait du plafond et m'empêchait de regarder du premier coup d'oeil ma chambre. Au deuxième coup d'oeil j'arrivai en fin à balayer la pièce du regard ; à ma grande surprise, je ne reconnaissais pas l'environnement de cette pièce, ce n'était pas ma chambre ; alors pris de panique je sauta du lit et je couru vers le dehors. La surprise ne faisait que dépasser l'entendement. Mes pieds étaient plongés dans un sable blanc aussi fin que de la farine. Me croyant dans un rêve je me suis piqué et j'ai ressenti de la douleur mais ce n'était pas assez fort, alors je me suis donné une gifle digne d'une rupture amoureuse des cinés bollywoodiennes , une gifle qui venait et allait dans le sens inverse, une gifle qui faisait tourbillonée la tête ; mais je ne me réveilla point. Alors l'allégorie de la caverne revenait et tournait sans cesse dans ma tête. Je me suis résigné à accepter le fait que c'était ma vie habituelle et que j'étais bloqué dans un rêve que je prenais pour réalité, tant de zones d'ombres dans cette résignation mais je n'avais aucun issu raisonnable n'était accessible à mon esprit. C'est là que je fis la connaissance de deux personnes, une adolescente, les yeux marrons, les cheveux blonds, d'un âge pareille au mien, m'approcha calmement, pris ma main et : "dis, moi c'est Émilie, et la dame qui se tient devant nous, c'est notre maman ; elle s'appelle Angèle. La surprise ne cessait de grandir. Nous rentrâmes dans la maison et les explications commencèrent. D'un air curieux je plaça cette interrogation en pleine conversation avec ses deux personnes: "Et notre père ? ".Émilie baissa la tête et fondit en larmes, notre mère elle autre, d'une voix sèche commença le récit. Une force mystérieuse pénétra notre île, sur lequel nous vivions et décima toutes vies masculines sur toute l'étendu de l'île et ton père n'a pas été épargné. Et moi ? Je répliqua. Elle me répondis :"tu étais bouleversé par la mort de ton père bien aimé que tu t'es écroulé et rentras dans un profond coma à la mort de ton père sous tes yeux. Te croyant mort, cette mystérieuse force maléfique , se fondit dans la nature et disparue à tout jamais. Il s'est écoulé quinze ans depuis cet événement et c'est ce matin tu nous es revenu",à peine avait elle placé la dernière phrase qu'elle me pris dans ses bras et me serra fort contre elle. Émilie fit de même, les yeux remplis de larmes de joie. Ah alors me voilà ainsi donc de retour dans ma vie réelle ? Je m'interroga intérieurement. Je sentais la peau de ces personnes sur ma peau et sur mon corps tout entier, leur chaleur me réchauffait, leurs larmes coulaient sur mes épaules, ce n'était pas un rêve je les sentais couler sur moi, c'était indéniable, cela ne pouvais pas être un rêve. On me fis un festin de roi et j'en ai bien dégusté, la saveur de tous ses mets sur ma langue, mes papilles qui explosaient de douceurs inoubliables, et à cet moment j'étais à deux cent pourcent convaincu que c'était ma vrai vie. Tout était à redécouvrir dans ce monde ci. Après le repas je décida de me promener histoire de me familiariser avec cet environnement qui m'était complètement inconnu. Ma mère me donna un conseil, de ne jamais m'approcher de cet immense château tombé en ruine, sur lequel la végétation avait repris le dessus et qui constituait une petite forêt mystérieuse au loin à l'est de de la plage. Mais ce fut ce que je fis en premier dans ma petite expédition, je m'étais approché de cet château qui m'intriguais tant. Le vent soufflait dans mes cheveux comme pour me rappeler le conseil que m'avais donné ma mère je continuais quand même, je ne doutais pas de cette histoire que m'avait raconté ma mère et ma soeur mais je sentais au plus profond de moi que c'était pas la vérité complète. Et alors je fis une visite curieuse dans cette forêt, maintenant ce fut le tour du château en plein milieu de cette forêt. Et à peine je m'aventurais dans cet château qui constituait le coeur de la forêt, que je vis devant moi, à quelques mètres seulement, un être étrange, il n'avait pas de cours. Je ne voyais qu'une masse sombre qui tourbillonnais devant moi et dont les yeux étaient rouges que la couleur elle même, ils dégageait une chaleur et une intense colère. Pris de peur et de panique, je pris mes jambes à mon cou et paf la course commença. Je courais comme jamai au point où je ne sentais plus mes pieds bougé, mais malheureusement je ne faisais que m'enfoncer d'avantage dans cette petite forêt. Je courais droit devant moi mais la sortie n'était toujours pas à porter de moi. J'étais à bout de souffle mais je ne pouvais m'arrêter ; et comme une lueur d'espoir là devant moi j'apercevais la mer et les cocotiers qui se tenaient debout en vacillant. Mais hélas juste avant de sortir de là, cette chose était déjà devant moi, on n'aurait cru qu'elle m'avait volontairement laissé avoir de l'espoir de lui échapper, mon coeur battait tellement fort qu'on pouvait l'entendre sur des dizaines de mètres . Je pouvais pas m'arrêter de courir, je foncais tout droit sur lui, les yeux fermés, était-ce ma fin, je venais à peine de sortir du coma qui avait duré quinze longues années. J'étais tellement terrifié que mes membres ne m'obéïssaient plus ; et là j'entendis sous mon oreille ggggggrrrrrriiiiinnnnn dddddrrrrriiiiiimmmmmm, En un battement de cils je sursauta, je ne savais pas ce qui c'était passé mais j'avais ressenti une peur plus terrible que celui affligée par cet chose maléfique ,et me voilà réveillé dans mon lit, c'était la sonnerie de mon téléphone qui me faisait savoir qu'il était cinq heure du matin, chance ou malchance qui sais, ce que je savais par contre c'étaient la routine qui se dressessait devant moi. Mais étais-je dans le noir, avais-je les yeux fermés, c'était peut-être les d'eux ? éclaircissez ma lanterne.
Non et pourquoi celà ? Juste parce que le milieu dans lequel j'ai vécu, présentais un environnement hostile pour une entreprise comme la mienne. Mes seules portes d'évasion étaient constitué de livres, de citations, de courants de pensées des grands hommes qui ont marqué les siècles derniers, qui se concrétisèrent dans mes rêves. Et ce soir là je m'étais investis dans la compréhension des écrits de Platon, celle de l' allégorie de la caverne. Alors j'essayais de trouver ma place dans cet optique, étais-je parmi ceux qui se plaisaient dans l'obscurité de cette caverne qui ne reflétait que l'ignorance ou, ceux qui cherchaient à atteindre la surface à la quête de la lumière, qui ne représentait autre chose que la vérité ? J'avoue que cela m'avait tellement tourmenté à un point que je ne me rendis pas compte à quelle moment je me suis écroulé sous les poids assommants du sommeil. D'un coup je sentis me caresser la plante des pieds, un vent frais, doux, et d'un réconfort aussi chaleureux comparable à celui de Ibiza. Déjà, était ce déjà le matin ; ses matinées orageuses où le vent frais comme sur une plage, je me questionnais à moitié réveillé.
Là, je me suis senti plus vivant que jamais, alors à ce moment précis, je décidai d'ouvrir les yeux, une lumière aveuglante venait du plafond et m'empêchait de regarder du premier coup d'oeil ma chambre. Au deuxième coup d'oeil j'arrivai en fin à balayer la pièce du regard ; à ma grande surprise, je ne reconnaissais pas l'environnement de cette pièce, ce n'était pas ma chambre ; alors pris de panique je sauta du lit et je couru vers le dehors. La surprise ne faisait que dépasser l'entendement. Mes pieds étaient plongés dans un sable blanc aussi fin que de la farine. Me croyant dans un rêve je me suis piqué et j'ai ressenti de la douleur mais ce n'était pas assez fort, alors je me suis donné une gifle digne d'une rupture amoureuse des cinés bollywoodiennes , une gifle qui venait et allait dans le sens inverse, une gifle qui faisait tourbillonée la tête ; mais je ne me réveilla point. Alors l'allégorie de la caverne revenait et tournait sans cesse dans ma tête. Je me suis résigné à accepter le fait que c'était ma vie habituelle et que j'étais bloqué dans un rêve que je prenais pour réalité, tant de zones d'ombres dans cette résignation mais je n'avais aucun issu raisonnable n'était accessible à mon esprit. C'est là que je fis la connaissance de deux personnes, une adolescente, les yeux marrons, les cheveux blonds, d'un âge pareille au mien, m'approcha calmement, pris ma main et : "dis, moi c'est Émilie, et la dame qui se tient devant nous, c'est notre maman ; elle s'appelle Angèle. La surprise ne cessait de grandir. Nous rentrâmes dans la maison et les explications commencèrent. D'un air curieux je plaça cette interrogation en pleine conversation avec ses deux personnes: "Et notre père ? ".Émilie baissa la tête et fondit en larmes, notre mère elle autre, d'une voix sèche commença le récit. Une force mystérieuse pénétra notre île, sur lequel nous vivions et décima toutes vies masculines sur toute l'étendu de l'île et ton père n'a pas été épargné. Et moi ? Je répliqua. Elle me répondis :"tu étais bouleversé par la mort de ton père bien aimé que tu t'es écroulé et rentras dans un profond coma à la mort de ton père sous tes yeux. Te croyant mort, cette mystérieuse force maléfique , se fondit dans la nature et disparue à tout jamais. Il s'est écoulé quinze ans depuis cet événement et c'est ce matin tu nous es revenu",à peine avait elle placé la dernière phrase qu'elle me pris dans ses bras et me serra fort contre elle. Émilie fit de même, les yeux remplis de larmes de joie. Ah alors me voilà ainsi donc de retour dans ma vie réelle ? Je m'interroga intérieurement. Je sentais la peau de ces personnes sur ma peau et sur mon corps tout entier, leur chaleur me réchauffait, leurs larmes coulaient sur mes épaules, ce n'était pas un rêve je les sentais couler sur moi, c'était indéniable, cela ne pouvais pas être un rêve. On me fis un festin de roi et j'en ai bien dégusté, la saveur de tous ses mets sur ma langue, mes papilles qui explosaient de douceurs inoubliables, et à cet moment j'étais à deux cent pourcent convaincu que c'était ma vrai vie. Tout était à redécouvrir dans ce monde ci. Après le repas je décida de me promener histoire de me familiariser avec cet environnement qui m'était complètement inconnu. Ma mère me donna un conseil, de ne jamais m'approcher de cet immense château tombé en ruine, sur lequel la végétation avait repris le dessus et qui constituait une petite forêt mystérieuse au loin à l'est de de la plage. Mais ce fut ce que je fis en premier dans ma petite expédition, je m'étais approché de cet château qui m'intriguais tant. Le vent soufflait dans mes cheveux comme pour me rappeler le conseil que m'avais donné ma mère je continuais quand même, je ne doutais pas de cette histoire que m'avait raconté ma mère et ma soeur mais je sentais au plus profond de moi que c'était pas la vérité complète. Et alors je fis une visite curieuse dans cette forêt, maintenant ce fut le tour du château en plein milieu de cette forêt. Et à peine je m'aventurais dans cet château qui constituait le coeur de la forêt, que je vis devant moi, à quelques mètres seulement, un être étrange, il n'avait pas de cours. Je ne voyais qu'une masse sombre qui tourbillonnais devant moi et dont les yeux étaient rouges que la couleur elle même, ils dégageait une chaleur et une intense colère. Pris de peur et de panique, je pris mes jambes à mon cou et paf la course commença. Je courais comme jamai au point où je ne sentais plus mes pieds bougé, mais malheureusement je ne faisais que m'enfoncer d'avantage dans cette petite forêt. Je courais droit devant moi mais la sortie n'était toujours pas à porter de moi. J'étais à bout de souffle mais je ne pouvais m'arrêter ; et comme une lueur d'espoir là devant moi j'apercevais la mer et les cocotiers qui se tenaient debout en vacillant. Mais hélas juste avant de sortir de là, cette chose était déjà devant moi, on n'aurait cru qu'elle m'avait volontairement laissé avoir de l'espoir de lui échapper, mon coeur battait tellement fort qu'on pouvait l'entendre sur des dizaines de mètres . Je pouvais pas m'arrêter de courir, je foncais tout droit sur lui, les yeux fermés, était-ce ma fin, je venais à peine de sortir du coma qui avait duré quinze longues années. J'étais tellement terrifié que mes membres ne m'obéïssaient plus ; et là j'entendis sous mon oreille ggggggrrrrrriiiiinnnnn dddddrrrrriiiiiimmmmmm, En un battement de cils je sursauta, je ne savais pas ce qui c'était passé mais j'avais ressenti une peur plus terrible que celui affligée par cet chose maléfique ,et me voilà réveillé dans mon lit, c'était la sonnerie de mon téléphone qui me faisait savoir qu'il était cinq heure du matin, chance ou malchance qui sais, ce que je savais par contre c'étaient la routine qui se dressessait devant moi. Mais étais-je dans le noir, avais-je les yeux fermés, c'était peut-être les d'eux ? éclaircissez ma lanterne.