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Poèmes
Tu te tiens au bord de l'été
Mais dans tes mains, la fleur froide de ce que fut l'hiver
L'étang immobile de son éternité
Dans le sommeil des nénuphars verts
L'absence vibrante des libellules
Un cri silencieux creuse le ventre des saisons
Peut-être que le mouvement viendra à nouveau
D'une fleur rouge dans le ciel brûlant de juillet
De l'ombre muette d'un arbre sur l'herbe assoiffée.
Mais dans tes mains, la fleur froide de ce que fut l'hiver
L'étang immobile de son éternité
Dans le sommeil des nénuphars verts
L'absence vibrante des libellules
Un cri silencieux creuse le ventre des saisons
Peut-être que le mouvement viendra à nouveau
D'une fleur rouge dans le ciel brûlant de juillet
De l'ombre muette d'un arbre sur l'herbe assoiffée.
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