Toute histoire commence un jour, quelque part, dans une maison, dans une classe, dans une rue... qu’importe le lieu ; la chose la plus importante reste la personne avec qui l’on entame cette aventure et les leçons que l’on y tire.
Je me souviens encore de mon enfance, de cette tendre, belle et agréable étape de ma vie remplie d’émotions. Je me rappelle de ce début de ma vie avec tellement de précision que je me crois jeune. Oui je suis toujours jeune devant mon état civil, toujours petite de taille mais grande de tête, pleine d’ambitions avec une noble motivation, l’une parmi les plus nobles je vous promets, celle qui me remet toujours dans le désir de poursuivre quand je me lasse, celle qui me fait sourire quand je me fâche, celle dont je ne pourrais dire : je m’en passe. Car je me dis bien que dans la vie, il nous faut non pas poursuivre un rêve mais plutôt son rêve ; pour pouvoir exceller dans un domaine, il est nécessaire d’aimer d’abord ce que l’on fait, d’avoir de la volonté pour enfin pouvoir l’accomplir avec clarté. Je me dois de tracer mon propre chemin et ne de laisser personne me faire suivre ceux qui ont déjà été entrepris par d’autres. J’atteste que toute personne détient un meilleur en soi, il nous faut juste tâcher de la découvrir, de l’adopter pour en tirer profit. D’ailleurs je suis sûre que les meilleures ne sont pas toujours les plus célèbres mais celles sur qui s’inspirent les plus célèbres. Chaque jour à mon réveil je me répète des paroles dont je fais maintenant ma devise. « Aie une ambition, trouve une motivation, poursuis-la avec conviction et pour peu t’atteindra la réussite »
Alors que j’étais encore petite, je n’arrivais pas à voir les énormes sacrifices que faisaient les miens pour me satisfaire. Cela ne me dérangeait pas si ma famille était capable de subvenir au moindre de mes caprices. Je devais toujours demander, encore demander ; demander parce que j’avais une copine qui avait le même objet, demander parce que j’ai aimé une chose que j’avais vu au marché ou demander tout juste parce l’envie se faisait sentir. J’y pense encore et je me dis que c’était peut-être une addiction, une dépendance à un vice que je qualifie à ce jour comme immonde. Fort heureusement, maintenant que je suis grande, dotée d’une fine maturité ceci dit pour ne pas vanter ma modeste personne, je me rachète, du moins j’essaie de corriger une partie de mes erreurs puériles entrainées par ces antiques désirs frivoles.
Mon histoire ne s’arrêta pas là. Que dis-je, je suis toujours en vie non? Je pense que j’ai surement envie d’affirmer que cette partie de ma vie dont je vous parlais n’en était qu’une minime par rapport à tout ce dont j’ai traversé. Que des aventures ! Parfois je me perçois comme une actrice de Télénovela. Vous avez certainement dû deviné ? Oui, je vous parle de mes folles aventures. Admiration, joie, relation, déception, rupture, mépris, peine, haine constituaient le cycle de cette dernière. Dans ces moments où je me sentais forte, grande, mature et remplie de sagesse, plus d’une ont eu à heurter mon égo, mon amour propre, ma confiance mais n’ont jamais eu à s’accaparer de ma dignité. Je savais par-dessus tout qui j’étais, d’où je venais et encore mieux ce que l’on attendait de moi. Je savais profiter de ma vie mais à ma manière. Certes, j’agissais comme les filles de mon âge mais avec un certain décalage. Je trouvais toujours l’envie de me démarquer, de m’évader un peu de leur quotidien d’où je faisais tout ce à quoi elles ne pensaient pas, du moins la majorité : écrire des poèmes, faire des projets pour mon futur...
Mais durant ce parcours, j’ai eu à commettre beaucoup d’erreurs, à négliger trop de choses. Je comprends maintenant pourquoi l’on dit que nul ne peut faire un démenti à celui qui dit connaître la valeur des relations qu’une fois après les avoir perdu. Dans ma vie, j’ai laissé en rade beaucoup de moments que je jugeais futiles avec des personnes qui je croyais non indispensable à ma vie. Conclusion : je reste nostalgique à ces instants qui ne cessent de me revenir sans cesse. Et naïve que je suis pendant que je négligeais les importants je favorisais les inutiles.
Bref, j’ai vécu des choses d’où je prends des clauses. Pae exemple je sais maintenant que dans la vie on fait beaucoup de projet, de mariage, d’études, de travail bref a différents objets. Mais, on ne sait jamais s’il sera possible de les réaliser ou pas, car il est probable, en route, que l’on fasse des faux pas. On se promet des aventures, des siècles de bonheur qui se termine souvent par une suite de malheurs. Des blessures, des désespoirs ou même des rancœurs où cœur et raison chante « peine » en chœur.
Néanmoins je reste toujours positive dans cette conception d’opter pour la meilleure des suites possibles pour pouvoir raconter à mes enfants et petits-enfants le parcours inopiné que j’ai eu à faire et dont je serais peut-être fière. Enfin, je l’espère !!!
Je me souviens encore de mon enfance, de cette tendre, belle et agréable étape de ma vie remplie d’émotions. Je me rappelle de ce début de ma vie avec tellement de précision que je me crois jeune. Oui je suis toujours jeune devant mon état civil, toujours petite de taille mais grande de tête, pleine d’ambitions avec une noble motivation, l’une parmi les plus nobles je vous promets, celle qui me remet toujours dans le désir de poursuivre quand je me lasse, celle qui me fait sourire quand je me fâche, celle dont je ne pourrais dire : je m’en passe. Car je me dis bien que dans la vie, il nous faut non pas poursuivre un rêve mais plutôt son rêve ; pour pouvoir exceller dans un domaine, il est nécessaire d’aimer d’abord ce que l’on fait, d’avoir de la volonté pour enfin pouvoir l’accomplir avec clarté. Je me dois de tracer mon propre chemin et ne de laisser personne me faire suivre ceux qui ont déjà été entrepris par d’autres. J’atteste que toute personne détient un meilleur en soi, il nous faut juste tâcher de la découvrir, de l’adopter pour en tirer profit. D’ailleurs je suis sûre que les meilleures ne sont pas toujours les plus célèbres mais celles sur qui s’inspirent les plus célèbres. Chaque jour à mon réveil je me répète des paroles dont je fais maintenant ma devise. « Aie une ambition, trouve une motivation, poursuis-la avec conviction et pour peu t’atteindra la réussite »
Alors que j’étais encore petite, je n’arrivais pas à voir les énormes sacrifices que faisaient les miens pour me satisfaire. Cela ne me dérangeait pas si ma famille était capable de subvenir au moindre de mes caprices. Je devais toujours demander, encore demander ; demander parce que j’avais une copine qui avait le même objet, demander parce que j’ai aimé une chose que j’avais vu au marché ou demander tout juste parce l’envie se faisait sentir. J’y pense encore et je me dis que c’était peut-être une addiction, une dépendance à un vice que je qualifie à ce jour comme immonde. Fort heureusement, maintenant que je suis grande, dotée d’une fine maturité ceci dit pour ne pas vanter ma modeste personne, je me rachète, du moins j’essaie de corriger une partie de mes erreurs puériles entrainées par ces antiques désirs frivoles.
Mon histoire ne s’arrêta pas là. Que dis-je, je suis toujours en vie non? Je pense que j’ai surement envie d’affirmer que cette partie de ma vie dont je vous parlais n’en était qu’une minime par rapport à tout ce dont j’ai traversé. Que des aventures ! Parfois je me perçois comme une actrice de Télénovela. Vous avez certainement dû deviné ? Oui, je vous parle de mes folles aventures. Admiration, joie, relation, déception, rupture, mépris, peine, haine constituaient le cycle de cette dernière. Dans ces moments où je me sentais forte, grande, mature et remplie de sagesse, plus d’une ont eu à heurter mon égo, mon amour propre, ma confiance mais n’ont jamais eu à s’accaparer de ma dignité. Je savais par-dessus tout qui j’étais, d’où je venais et encore mieux ce que l’on attendait de moi. Je savais profiter de ma vie mais à ma manière. Certes, j’agissais comme les filles de mon âge mais avec un certain décalage. Je trouvais toujours l’envie de me démarquer, de m’évader un peu de leur quotidien d’où je faisais tout ce à quoi elles ne pensaient pas, du moins la majorité : écrire des poèmes, faire des projets pour mon futur...
Mais durant ce parcours, j’ai eu à commettre beaucoup d’erreurs, à négliger trop de choses. Je comprends maintenant pourquoi l’on dit que nul ne peut faire un démenti à celui qui dit connaître la valeur des relations qu’une fois après les avoir perdu. Dans ma vie, j’ai laissé en rade beaucoup de moments que je jugeais futiles avec des personnes qui je croyais non indispensable à ma vie. Conclusion : je reste nostalgique à ces instants qui ne cessent de me revenir sans cesse. Et naïve que je suis pendant que je négligeais les importants je favorisais les inutiles.
Bref, j’ai vécu des choses d’où je prends des clauses. Pae exemple je sais maintenant que dans la vie on fait beaucoup de projet, de mariage, d’études, de travail bref a différents objets. Mais, on ne sait jamais s’il sera possible de les réaliser ou pas, car il est probable, en route, que l’on fasse des faux pas. On se promet des aventures, des siècles de bonheur qui se termine souvent par une suite de malheurs. Des blessures, des désespoirs ou même des rancœurs où cœur et raison chante « peine » en chœur.
Néanmoins je reste toujours positive dans cette conception d’opter pour la meilleure des suites possibles pour pouvoir raconter à mes enfants et petits-enfants le parcours inopiné que j’ai eu à faire et dont je serais peut-être fière. Enfin, je l’espère !!!