Toute histoire commence un jour, quelque part tout comme cette histoire en ce jour perdue au-delà de nulle part.
« Je n’en sais rien et rien n’est certain mais une chose est sûr tout me convient. Qu’il pleut ou qu’il neige, qu’on me brûle ou qu’on m’asperge, j’irai sur ces larges »
- C’est sur mots qu’il s’en est allé sur ces larges. J’ai voulu lui dire que le bonheur n’est point ailleurs mais comment pouvais-je lui demander de croupir dans cette misère ? Car Lorsque de malheur jouit le quotidien, nous ne pouvons que nous en remettre à l’espoir d’un avenir incertain. Certains louent les vertus du courage pour faire une face à l’orage. Et d’autres en se demandant ‘’pourquoi pas’’ tout le temps, oublient l’essentiel ‘’Pourquoi’’. Nombreux sont ceux qui comprennent un aspect concret mais fautent par leur dévotion à l’abstrait. Bien que la réalité de mon quotidien en est une triste vérité mais cela m’est bien une réalité. Difficile d’y croire mais ainsi je garde l’espoir.
la vie d'ici lui était si triste et amer que la bonne humeur lui semblait légère. Bien sûr il avait un Père une Mère, des sœurs et des frères. Heureux ça en avait l’air mais cette joie lui paraissait éphémère. Il vivait en plus de cette misère le souci de vivre une vie meilleure. Ainsi il décida d’embarquer sur ce quai mal saint. Tout droit à l’enfer qui l’accueille à bras ouvert. Des milliers ils étaient mais seuls quelque uns y parviennent.
- Et arriver là-bas la joie était bien parmi mes cris. Croyant vaincre la terreur malgré les soucis, le paradis me semblait un acquis. Mais c’était sans compter sur les dures lois de la vie qui restes les mêmes partout où il y’a une vie. Certes si le luxe pouvait faire le bonheur d’une vie, saches qu’ici serait bien un paradis. Mais à part ces charmes que dessine la fortune, je peine toujours dans mes amertumes.
Ne crois pas à ceux qui te disent qu’ici nous sommes des rois car seul l’argent à ce droit. Parfois nous dormons dans la rue malgré la peur et le froids, le ventre tout creux. Qui l’aurait cru ? Sais-tu combien je t’envie ?
Mon frère on est mieux que chez soi...
Toi ! Oui toi qui nous regarde aujourd’hui, écoutes bien ceci ! Toi ! Oui toi qui veux t’en aller loin d’ici, écoute bien ceci !
Il se nomme Tiémoko, il s’en est allé sur ces larges.
Défiant vent et marré, bravant la soif le ventre affamé.
Rage ou courage il s’en est allé sur ces larges.
En sourdine ce refrain se fut entendre trois fois avant d’être englouti par un tonner d’applaudissement sorti de nulle part dans la salle. Et nos deux Slameurs, sous le feu des projecteurs ne pouvaient qu’être heureux. Une fois que la salle s’est tue, en se présentant au public, ‘’ Snaf le Fautif ‘’ passe le micro à ‘’ Dynamique ‘’ qui en fut de même. Et en un seul mot ils disent : Ensemble contre l’immigration clandestine.
« Je n’en sais rien et rien n’est certain mais une chose est sûr tout me convient. Qu’il pleut ou qu’il neige, qu’on me brûle ou qu’on m’asperge, j’irai sur ces larges »
- C’est sur mots qu’il s’en est allé sur ces larges. J’ai voulu lui dire que le bonheur n’est point ailleurs mais comment pouvais-je lui demander de croupir dans cette misère ? Car Lorsque de malheur jouit le quotidien, nous ne pouvons que nous en remettre à l’espoir d’un avenir incertain. Certains louent les vertus du courage pour faire une face à l’orage. Et d’autres en se demandant ‘’pourquoi pas’’ tout le temps, oublient l’essentiel ‘’Pourquoi’’. Nombreux sont ceux qui comprennent un aspect concret mais fautent par leur dévotion à l’abstrait. Bien que la réalité de mon quotidien en est une triste vérité mais cela m’est bien une réalité. Difficile d’y croire mais ainsi je garde l’espoir.
la vie d'ici lui était si triste et amer que la bonne humeur lui semblait légère. Bien sûr il avait un Père une Mère, des sœurs et des frères. Heureux ça en avait l’air mais cette joie lui paraissait éphémère. Il vivait en plus de cette misère le souci de vivre une vie meilleure. Ainsi il décida d’embarquer sur ce quai mal saint. Tout droit à l’enfer qui l’accueille à bras ouvert. Des milliers ils étaient mais seuls quelque uns y parviennent.
- Et arriver là-bas la joie était bien parmi mes cris. Croyant vaincre la terreur malgré les soucis, le paradis me semblait un acquis. Mais c’était sans compter sur les dures lois de la vie qui restes les mêmes partout où il y’a une vie. Certes si le luxe pouvait faire le bonheur d’une vie, saches qu’ici serait bien un paradis. Mais à part ces charmes que dessine la fortune, je peine toujours dans mes amertumes.
Ne crois pas à ceux qui te disent qu’ici nous sommes des rois car seul l’argent à ce droit. Parfois nous dormons dans la rue malgré la peur et le froids, le ventre tout creux. Qui l’aurait cru ? Sais-tu combien je t’envie ?
Mon frère on est mieux que chez soi...
Toi ! Oui toi qui nous regarde aujourd’hui, écoutes bien ceci ! Toi ! Oui toi qui veux t’en aller loin d’ici, écoute bien ceci !
Il se nomme Tiémoko, il s’en est allé sur ces larges.
Défiant vent et marré, bravant la soif le ventre affamé.
Rage ou courage il s’en est allé sur ces larges.
En sourdine ce refrain se fut entendre trois fois avant d’être englouti par un tonner d’applaudissement sorti de nulle part dans la salle. Et nos deux Slameurs, sous le feu des projecteurs ne pouvaient qu’être heureux. Une fois que la salle s’est tue, en se présentant au public, ‘’ Snaf le Fautif ‘’ passe le micro à ‘’ Dynamique ‘’ qui en fut de même. Et en un seul mot ils disent : Ensemble contre l’immigration clandestine.