Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les deux.
Difficile pour moi d'être conscient de mon état d’âme.
Car le monde est flou, tout me parait faux.
Je ne constate pas la lumière du soleil les objets qui m'entourent me ressemblent à des substances miscibles.
Je me sens seul dans cet univers immense qui seule ma conscience peut me guider vers la sortie.
Étant un imparfait je fais recours à d'autres consciences dans le but d'être ragaillardi par leurs recommandations.
Hélas tout me semble antinomique avec mon desideratum.
Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés?
Ah je me sens dans un cercle vicieux.
Les faux ont l'honnêteté sur les lèvres et les honnêtes hommes se font endosser d’habits de malhonnêtes.
Alors quoi faire? Moi qui suis borné dans ce milieu abyssal et nébuleux.
Je longe la route les mains dans les poches dans mon falzar de velours, submergé dans mes pensée à la recherche de solution de quelle voie suivre ?
Moi qui suis le fils d'un musulman et d'une chrétienne et face à un monde qui me propose un autre culte différent de celui de mes géniteurs.
Après quelques centaines de pas et de longue réflexion je pense enfin trouver le chemin à suivre.
Je me suis penché vers le christianisme pensant que c'est la voie assorti de mon âme car ceci présente moins d'interdit.
Une fois encore le je suis tombé dans le jeu car je ne remarque pas assez de différence avec ce que me propose le monde matériel.
J'ai rebroussé chemin pour m’incliner vers l'islam.
J'ai vu les musulmans sans l'islam alors quoi faire ?
Moi qui ne suis pas un théologien ou un exégète.
Enfin je me retrouve dans un univers où les matériaux me sont insensibles, la lumière est éteinte, beaucoup de nefas ou considéré comme intangible et un total désistement des droits et des avantages mondains.
Dépourvu et abattu je me tourne vers ce monde matériel pour avoir la sensation et de jouir de ses contenus pour mes séjours terrestre.
Ce monde qui me fait peur par les choses luxueuses qu'il me propose.
J'ai un extérieur paisible et un intérieur abîmé par les hostilités de mes deux organes mon cœur et mon foie.
Le premier réclame la jouissance et le dernier veut la morale, une notion qui donne sens à un être humain.
Me voilà, je suis cette personne qui marche dans les ténèbres pleines de belles choses et qui parfois les ramasse et les donne aux gens lumineux sous forme d'offrandes ou de charités.
Ces hommes qui sont éclairés ou vivent dans la lumière me paraissent comme des ennemis en dépit de leurs éloges envers ma personne.
Je suis devenu prisonnier de ma conscience qui m'exige le rationalisme et le réalisme alors que le monde est fait du réel et d'irréel d'une part et d'autre part du rationnel et d'irrationnel.
La foi est parfois impénétrable par la raison mais son contenu est extériorisable par l’intuition et les sensations.
Ainsi je marche dans cette obscurité et quand on m'éclaire je suis ébloui et je fais volte-face vers ce point lumineux.
Malheureusement impossible pour moi d’avancer vers ce halo car je suis éreinté par le poids de la noirceur.
Un cœur abîmé par les ténèbres n'a pas besoin d'être éclairé mais il doit être purgé.
Car le noir est très perceptible dans un milieu lumineux.
Du coup je m’interroge pourquoi Satan est invisible ?
Et j’en déduis de mon interrogation que ses serviteurs n'aimeront jamais être visibles par leurs semblables.
Enfin il n'est plus le temps de s'attarder sur la voie à prendre mais plutôt de regarder le monde dans le bon sens et laisser chacune de mes organes de prendre et de profiter de manière légitime mon existence.
Difficile pour moi d'être conscient de mon état d’âme.
Car le monde est flou, tout me parait faux.
Je ne constate pas la lumière du soleil les objets qui m'entourent me ressemblent à des substances miscibles.
Je me sens seul dans cet univers immense qui seule ma conscience peut me guider vers la sortie.
Étant un imparfait je fais recours à d'autres consciences dans le but d'être ragaillardi par leurs recommandations.
Hélas tout me semble antinomique avec mon desideratum.
Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés?
Ah je me sens dans un cercle vicieux.
Les faux ont l'honnêteté sur les lèvres et les honnêtes hommes se font endosser d’habits de malhonnêtes.
Alors quoi faire? Moi qui suis borné dans ce milieu abyssal et nébuleux.
Je longe la route les mains dans les poches dans mon falzar de velours, submergé dans mes pensée à la recherche de solution de quelle voie suivre ?
Moi qui suis le fils d'un musulman et d'une chrétienne et face à un monde qui me propose un autre culte différent de celui de mes géniteurs.
Après quelques centaines de pas et de longue réflexion je pense enfin trouver le chemin à suivre.
Je me suis penché vers le christianisme pensant que c'est la voie assorti de mon âme car ceci présente moins d'interdit.
Une fois encore le je suis tombé dans le jeu car je ne remarque pas assez de différence avec ce que me propose le monde matériel.
J'ai rebroussé chemin pour m’incliner vers l'islam.
J'ai vu les musulmans sans l'islam alors quoi faire ?
Moi qui ne suis pas un théologien ou un exégète.
Enfin je me retrouve dans un univers où les matériaux me sont insensibles, la lumière est éteinte, beaucoup de nefas ou considéré comme intangible et un total désistement des droits et des avantages mondains.
Dépourvu et abattu je me tourne vers ce monde matériel pour avoir la sensation et de jouir de ses contenus pour mes séjours terrestre.
Ce monde qui me fait peur par les choses luxueuses qu'il me propose.
J'ai un extérieur paisible et un intérieur abîmé par les hostilités de mes deux organes mon cœur et mon foie.
Le premier réclame la jouissance et le dernier veut la morale, une notion qui donne sens à un être humain.
Me voilà, je suis cette personne qui marche dans les ténèbres pleines de belles choses et qui parfois les ramasse et les donne aux gens lumineux sous forme d'offrandes ou de charités.
Ces hommes qui sont éclairés ou vivent dans la lumière me paraissent comme des ennemis en dépit de leurs éloges envers ma personne.
Je suis devenu prisonnier de ma conscience qui m'exige le rationalisme et le réalisme alors que le monde est fait du réel et d'irréel d'une part et d'autre part du rationnel et d'irrationnel.
La foi est parfois impénétrable par la raison mais son contenu est extériorisable par l’intuition et les sensations.
Ainsi je marche dans cette obscurité et quand on m'éclaire je suis ébloui et je fais volte-face vers ce point lumineux.
Malheureusement impossible pour moi d’avancer vers ce halo car je suis éreinté par le poids de la noirceur.
Un cœur abîmé par les ténèbres n'a pas besoin d'être éclairé mais il doit être purgé.
Car le noir est très perceptible dans un milieu lumineux.
Du coup je m’interroge pourquoi Satan est invisible ?
Et j’en déduis de mon interrogation que ses serviteurs n'aimeront jamais être visibles par leurs semblables.
Enfin il n'est plus le temps de s'attarder sur la voie à prendre mais plutôt de regarder le monde dans le bon sens et laisser chacune de mes organes de prendre et de profiter de manière légitime mon existence.