Je m'appelle Max « chasseur de monstres » et ce n'est pas simple tous les jours, en tout cas aujourd'hui quelqu'un m'a appelé pour chasser un yéti.
Je n'avais jamais chassé de yéti auparavant mais je suis partant pour appendre à le chasser.
Alors dés que j'embarque sur mon jet privé (bah oui chasseur de monstres ça paie bien). A peine installé, je reçois un autre appel à l'aide, cette fois il me donne ses coordonnées.
J'arrive sur un territoire montagnard enneigé en Savoie, plus précisément près d'un village appelé Bonneval. Je me demande comment trouver le yéti dans de si grandes montagnes .Tout juste arrivé sur les lieux du rendez vous, j'entends «à l'aide !» je regarde autour de moi, je lève la tête et aperçois une personne attachée à une corde sur un arbre, je m'empresse de le détacher.
Peu après, nous discutons :
«Bonjour ,je m'appelle Antoine merci pour ton aide.
-Pas de souci, moi c'est Max,qui t'a attaché à cet arbre ?
-Je n'est pas bien vu c'est un animal au pelage blanc avec un visage humain.»
C'est le yéti pensais-je ? quand soudain Antoine me fait remarquer d'énormes traces de pas
«Le seul moyen d'être sûr que ce soit bien le yéti est de suivre ces traces. dit Max
-Et bien, allons y » dit Antoine
Après une longue marche les empreintes s'arrêtent devant une grotte et comme la nuit allait tomber le meilleur choix était de dormir à environ 200m
de la grotte et ça tombe bien Antoine était justement venu ici pour camper.
Nous mettons le matériel en place, faisons un feu et à le nuit tombée nous dormons.
A peine le soleil levé, nous entendons un grondement sourd, inquiets et curieux nous voyons effectivement que c'était bel et bien le yéti.
Il fallait absolument se cacher. J'appelle Antoine et nous nous cachons dans un buisson. Au bout de 15 minutes le yéti est parti. Antoine et moi sortons de notre cachette et je dit :
«Il faut faire un piège pour capturer ce yéti.
-Tu veux dire un énorme piège» répondit Antoine
Je retourne à mon avion pour trouver une hache afin de couper du bois pour créer mon piège.
De retour au camp, je coupe du bois pendant que Antoine cherche de la nourriture.
Après plusieurs heures de travail je conçois un piège fait à partir de bois et de ficelle. Je fonce l'installer tout en prévenant Antoine de ne plus marcher à cette endroit. Pour me rendre utile, je l'aide pour la chasse puis la cueillette et je le suis jusqu'à un buisson de framboises. Un peu plus loin un troupeau de sangliers.
«Cet animal est idéal à la chasse, il peut contenir énormément de viande » dit Antoine .
Avec des branches, du fil et une flèche je fabrique un
arc que je laisse à Antoine car il est plus expérimenter.
Mais hélas, il loupe de peu la proie.
Nous nous tournons plus vers la cueillette.
Après avoir ramasser des baies sauvages et d'autres plantes, nous retournons au camp. Là je découvre qu'un animal est passé dans le filet mais a réussi à s'en échapper. Vu la taille du trou, pas de doute c'est le yeti.
Alors je mis une journée entière à construire un filet deux fois plus solide que le précédant.
Pendant la nuit, Antoine et moi entendons le filet se déployer avec quelques grognements.
Nous nous dirigeons vers le filet quand on aperçoit une silhouette dans la nuit, celle du yéti !
A peine, sommes nous arrivés que le yeti se délivre et se dirige vers la grotte. Vu sa fureur, nous préférons ne pas le déranger.
Le reste de la nuit se passa tranquillement quand une idée me vient : celle de retourner à l'avion et de prendre le pistolet à fléchette tranquillisante puis quelques provisions. De retour au camp, je m'installe devant la grotte en attendant que le yeti sorte. Quelques heures plus tard, le yeti n'est toujours pas sorti alors que la nuit tombe.
Je me dis que je n'arriverai pas à viser la nuit, alors je vais manger avant de dormir, Antoine a préparé des pâtes trouvé dans l'avion avec des myrtilles sauvages.
Le lendemain matin, des pas me réveillent alors je prends le fusil et tire. Je l'ai touché mais ce n'est pas une fléchette qui va l'endormir, je tire une deuxième fois, puis une troisième. Et au bout de six fléchettes il tombe et s'endort.
Je sors mon téléphone car je veux appeler des renforts à peine avoir déverrouillé mon téléphone, j'entends d'autres grognements qui arrivent d'un peu plus haut dans la montagne.
« Mais le yéti est là » dit Antoine
Nous courons plus haut dans la montagne vers ces bruits et nous voyons une énorme grotte. Nous nous approchons et là nous voyons une colonie de yétis mais à quoi bon les capturer ?
Après une longue discussion avec Antoine nous décidons de relâcher le yéti capturé et de partir en attendant une nouvelle mission.