"Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'on fait tous les autres mais je ne vous appelerai pas maître." C'est ce que m'a dit Stanley quand je venais de le nommer premier ministre du monde. Une grande partie de la population mondiale avait voté pour moi, et j'ai été donc élu président du monde. Qu'est-ce que cette tâche peut être rude ! Je n'avais pas regretté d'avoir posé ma candidature en 2414, pour la première fois, bien que ce fut jusqu'en 2421, après 5 ans, que j'ai pu être enfin président de tous les pays du monde. J'appartenais au monde politique il y a plus de 30 ans. J'étais député du côté de l'Est du monde plus de 3 fois successivement. À cette époque, le monde n'était divisé qu'en deux parties ; le côté de l'Est qui contenait les pays de l'Amérique, et une partie de l'Europe y compris la France. Ensuite le côté de l'ouest pour les autres pays du monde.
-Mes très chers compatriotes, disais-je dans un discours à Norvège sur une place publique qui faisait à peu près 20 kilomètres carrés, sur une montagne de 7058 mètres d'altitude ; Il y avait beaucoup de monde [...] Alors, je vous ai promis de changer le monde, et de faire de chaque citoyen un élément essentiel à la continuité de notre vie sur cette planète. J'ai en effet conscience des innombrables dangers qu'on court à cause du réchauffement planétaire.
Ainsi j'ai continué mon discours. Mais à la fin, j'ai évoqué mon projet de réunir physiquement tous les territoires du monde. Je voulais que le monde soit un seul, non pas une utopie dans la tête des gens, mais une réalité qu'ils allaient pouvoir vivre. Néanmoins, quelque territoire de l'ouest n'approuvait guère cette décision. Pour finir, j'ai dit que je ne ferais nullement preuve d'abstraction, mes projets sont fixes, je devrais les réaliser dans les 5 années que j'avais à gouverner sur cette terre. Un mois s'est déjà écoulé, j'ai commencé avec le projet. Cependant, les opposants sont là, ils tramaient une chose à laquelle je ne m'attendais pas ; Une révolution. J'avais mon premier ministre avec moi, même s'il se disait systématiquement qu'il n'accepterait pas que je sois son chef, mais c'était la seule personne sur qui je pouvais compter. Stanley était fidel, je lui ai envoyé parler avec les opposants pour leur expliquer en quoi est-ce que le projet allait être bénéfique pour chaque territoire. Mais, il a failli mourir. Il y avait des émeutes partout. Ils tiraient sans arrêt, ils ont bloqué la circulation des marchandises dans cette contrée, beaucoup de personnes se trouvaient dans des situations difficiles ; la faim régnait, ils n'avaient pas assez d'énergie, le seul issu contre le réchauffement climatique commençait à se dégrader... C'était le carnage là-bas. À son grand retour, Stanley m'a appelé en personne pour me demander qu'allais-je faire, étant donné que la situation ne s'était pas améliorée.
-Ce que j'avais à faire, je suis entrain de le faire. Je dois aboutir le projet quoi qu'il en coûte. Vous savez ? Il y aura toujours des opposants ; c'était comme ça depuis la nuit des temps !
-Mais, Mr le Président, vous vous rendez compte que si toute la population vous tourne le dos, vous ne pourrez aller nulle autre part.
-Arrêtez Mr Stanley ! J'avais demandé à l'équipe spatiale du gouvernement de me construire un appartement sur mars, j'y suis allé il y a trois ans de celà, il y a de quoi survivre le reste de ma vie. Donc, ne vous en faites pas.
Je savais que la tâche ne serait pas légère, néanmoins je ne m'attendais pas à rencontrer ces genres de difficulté, surtout aussi tôt. J'étais convaincu que ces 5 années seraient très bénéfiques pour le monde ; c'est la raison pour laquelle je m'abstenais d'abdiquer face aux pressions de la population. J'avais fait profil bas sur tout ce qu'on disait. Mon but était de laisser une création qui subsisterait après des générations. Un an plutard, les travaux avançaient à grand pas, une grande partie des territoires de l'ouest du monde était devenue un seul ; plus de mer méditerranée, il y avait désormais un grand pond fait en acier. C'était impressionnant. Mais hélas, les révolutionnaires me préparaient un coup fatal.
Le jour de l'inauguration de cette nouvelle création fut un jeudi 30 mai. Nous y sommes allés directement ; sur la mer méditerranée. Je devrais faire un discours pour remercier les travailleurs qui ont accepté de me faire confiance malgré les oppositions. Mais 30 minutes avant que je commence, il y eu une explosion ; c'était les opposants. L'armée était sur place et tentait de protéger les personnes présentes sur le lieu. Stanley me regardait bizarrement comme s'il voulait dire : " je vous l'avais dit Mr le président !" J'étais entouré de plus d'une centaine d'agent de sécurité, donc la chance qu'il m'arrive quelques chose de mal était très mince. Un hélicoptère est venu me prendre. Cependant les opposants s'éparpillaient partout, ils tiraient sur nous : ils avaient des armes monstrueuses. Partout où on tentait de se réfugier avait un groupe d'opposant qui était à nos trousses. Au bout d'un an, ils avaient pu réunir un groupe dans chaque territoire. Mais qu'est-ce que c'était agaçant ! Je faisais face à un dilemme ; riposter ou abdiquer en abandonnant le projet. Pourtant malgré l'imminente altercation mondiale, je me disais que le monde me remercieratit un jour d'avoir pris la décision de ne pas abdiquer. Enfin, après quelques heures à rester dans les airs, on a pu trouver une petite ville située sur une île en Afrique suite à mon approbation à l'armée de riposter. En y arrivant, j'ai soudainement pensé à Stanley qui était resté sur le lieu de l'inauguration. J'ai demandé à ce qu'on aille le récupérer. L'hélicoptère est tout de suite parti à la recherche du premier ministre. C'était périlleux, je l'avoue, mais je ne pouvais pas laisser mon seul ami finir sur un champ de bataille sans son gré.
J'étais las de rester à l'interieur de cette pièce. Il n'y avait, selon moi, aucun risque de sortir prendre un peu d'air. Mais avant tout, j'ai regardé dehors à travers la fenêtre, et j'ai remarqué que tout était sombre. Il n'y avait personne. - Ce lieu est dubitatif. Je doute que personne ne sache que le président est ici, vue les situations. – Peut-être qu'ils préparent un mauvais coup, a répondu un agent de sécurité. Quelques heures après, on a entendu un brouillard de guère, mais très loin. – Vous entendez ça Mr ? de temps en temps le bruit s'approchait. C'était comme si toute la population s'était réunie pour se battre. Il y avait avant leur arrivée, une poussière étourdissante. J'ai ordonné à deux agents de sécurité de m'accompagner afin de quitter le lieu avant que le peuple arrive. On ne connaissait pas parfaitement bien la région, mais je me disais que rester sur le même endroit n'était pas stratégique. Rapidement on est parti, on marchait sans avoir une destination précise. On a atteint trois kilomètres déjà. On marchait très vite. Je ne savais pas ce qui était arrivé aux autres agents de sécurité, mais j'étais convaincu que le conflit avait mal fini pour eux. Trois heures était écoulées depuis qu'on marchait sans s'arrêter, on est arrivé au bord de la mer, et c'était fini. On ne pouvait plus aller plus loin. A la tombée de la nuit, on a entendu le même brouillard qu'avant. J'ai résolu de me rendre et qu'ils fassent de moi ce qui leur semble bon. Mais, mes agents de sécurité ont refusé de me laisser faire une telle chose. Ils avançaient. On était debout devant toute une population prête à nous massacrer. – Je me rend, ai-je dit à ce peuple furieux, armé de machette et de bâton. Laissez partir mes hommes. Faites ce que vous voulez de moi ! Ils avançaient sur moi en courant et en criant, mais mon ordinateur était déchargé, j'ai dû le fermer et le brancher pour continuer le montage du film demain.
-Mes très chers compatriotes, disais-je dans un discours à Norvège sur une place publique qui faisait à peu près 20 kilomètres carrés, sur une montagne de 7058 mètres d'altitude ; Il y avait beaucoup de monde [...] Alors, je vous ai promis de changer le monde, et de faire de chaque citoyen un élément essentiel à la continuité de notre vie sur cette planète. J'ai en effet conscience des innombrables dangers qu'on court à cause du réchauffement planétaire.
Ainsi j'ai continué mon discours. Mais à la fin, j'ai évoqué mon projet de réunir physiquement tous les territoires du monde. Je voulais que le monde soit un seul, non pas une utopie dans la tête des gens, mais une réalité qu'ils allaient pouvoir vivre. Néanmoins, quelque territoire de l'ouest n'approuvait guère cette décision. Pour finir, j'ai dit que je ne ferais nullement preuve d'abstraction, mes projets sont fixes, je devrais les réaliser dans les 5 années que j'avais à gouverner sur cette terre. Un mois s'est déjà écoulé, j'ai commencé avec le projet. Cependant, les opposants sont là, ils tramaient une chose à laquelle je ne m'attendais pas ; Une révolution. J'avais mon premier ministre avec moi, même s'il se disait systématiquement qu'il n'accepterait pas que je sois son chef, mais c'était la seule personne sur qui je pouvais compter. Stanley était fidel, je lui ai envoyé parler avec les opposants pour leur expliquer en quoi est-ce que le projet allait être bénéfique pour chaque territoire. Mais, il a failli mourir. Il y avait des émeutes partout. Ils tiraient sans arrêt, ils ont bloqué la circulation des marchandises dans cette contrée, beaucoup de personnes se trouvaient dans des situations difficiles ; la faim régnait, ils n'avaient pas assez d'énergie, le seul issu contre le réchauffement climatique commençait à se dégrader... C'était le carnage là-bas. À son grand retour, Stanley m'a appelé en personne pour me demander qu'allais-je faire, étant donné que la situation ne s'était pas améliorée.
-Ce que j'avais à faire, je suis entrain de le faire. Je dois aboutir le projet quoi qu'il en coûte. Vous savez ? Il y aura toujours des opposants ; c'était comme ça depuis la nuit des temps !
-Mais, Mr le Président, vous vous rendez compte que si toute la population vous tourne le dos, vous ne pourrez aller nulle autre part.
-Arrêtez Mr Stanley ! J'avais demandé à l'équipe spatiale du gouvernement de me construire un appartement sur mars, j'y suis allé il y a trois ans de celà, il y a de quoi survivre le reste de ma vie. Donc, ne vous en faites pas.
Je savais que la tâche ne serait pas légère, néanmoins je ne m'attendais pas à rencontrer ces genres de difficulté, surtout aussi tôt. J'étais convaincu que ces 5 années seraient très bénéfiques pour le monde ; c'est la raison pour laquelle je m'abstenais d'abdiquer face aux pressions de la population. J'avais fait profil bas sur tout ce qu'on disait. Mon but était de laisser une création qui subsisterait après des générations. Un an plutard, les travaux avançaient à grand pas, une grande partie des territoires de l'ouest du monde était devenue un seul ; plus de mer méditerranée, il y avait désormais un grand pond fait en acier. C'était impressionnant. Mais hélas, les révolutionnaires me préparaient un coup fatal.
Le jour de l'inauguration de cette nouvelle création fut un jeudi 30 mai. Nous y sommes allés directement ; sur la mer méditerranée. Je devrais faire un discours pour remercier les travailleurs qui ont accepté de me faire confiance malgré les oppositions. Mais 30 minutes avant que je commence, il y eu une explosion ; c'était les opposants. L'armée était sur place et tentait de protéger les personnes présentes sur le lieu. Stanley me regardait bizarrement comme s'il voulait dire : " je vous l'avais dit Mr le président !" J'étais entouré de plus d'une centaine d'agent de sécurité, donc la chance qu'il m'arrive quelques chose de mal était très mince. Un hélicoptère est venu me prendre. Cependant les opposants s'éparpillaient partout, ils tiraient sur nous : ils avaient des armes monstrueuses. Partout où on tentait de se réfugier avait un groupe d'opposant qui était à nos trousses. Au bout d'un an, ils avaient pu réunir un groupe dans chaque territoire. Mais qu'est-ce que c'était agaçant ! Je faisais face à un dilemme ; riposter ou abdiquer en abandonnant le projet. Pourtant malgré l'imminente altercation mondiale, je me disais que le monde me remercieratit un jour d'avoir pris la décision de ne pas abdiquer. Enfin, après quelques heures à rester dans les airs, on a pu trouver une petite ville située sur une île en Afrique suite à mon approbation à l'armée de riposter. En y arrivant, j'ai soudainement pensé à Stanley qui était resté sur le lieu de l'inauguration. J'ai demandé à ce qu'on aille le récupérer. L'hélicoptère est tout de suite parti à la recherche du premier ministre. C'était périlleux, je l'avoue, mais je ne pouvais pas laisser mon seul ami finir sur un champ de bataille sans son gré.
J'étais las de rester à l'interieur de cette pièce. Il n'y avait, selon moi, aucun risque de sortir prendre un peu d'air. Mais avant tout, j'ai regardé dehors à travers la fenêtre, et j'ai remarqué que tout était sombre. Il n'y avait personne. - Ce lieu est dubitatif. Je doute que personne ne sache que le président est ici, vue les situations. – Peut-être qu'ils préparent un mauvais coup, a répondu un agent de sécurité. Quelques heures après, on a entendu un brouillard de guère, mais très loin. – Vous entendez ça Mr ? de temps en temps le bruit s'approchait. C'était comme si toute la population s'était réunie pour se battre. Il y avait avant leur arrivée, une poussière étourdissante. J'ai ordonné à deux agents de sécurité de m'accompagner afin de quitter le lieu avant que le peuple arrive. On ne connaissait pas parfaitement bien la région, mais je me disais que rester sur le même endroit n'était pas stratégique. Rapidement on est parti, on marchait sans avoir une destination précise. On a atteint trois kilomètres déjà. On marchait très vite. Je ne savais pas ce qui était arrivé aux autres agents de sécurité, mais j'étais convaincu que le conflit avait mal fini pour eux. Trois heures était écoulées depuis qu'on marchait sans s'arrêter, on est arrivé au bord de la mer, et c'était fini. On ne pouvait plus aller plus loin. A la tombée de la nuit, on a entendu le même brouillard qu'avant. J'ai résolu de me rendre et qu'ils fassent de moi ce qui leur semble bon. Mais, mes agents de sécurité ont refusé de me laisser faire une telle chose. Ils avançaient. On était debout devant toute une population prête à nous massacrer. – Je me rend, ai-je dit à ce peuple furieux, armé de machette et de bâton. Laissez partir mes hommes. Faites ce que vous voulez de moi ! Ils avançaient sur moi en courant et en criant, mais mon ordinateur était déchargé, j'ai dû le fermer et le brancher pour continuer le montage du film demain.