La région, où j’habite, est diversifiée par sa culture, son histoire, ses aventures,...
Cette histoire a lieu dans une ville qui est connue pour ses fêtes Johaniques.
Cette cité est le berceau libéré par la pucelle. L’histoire est bien différente d’une cérémonie à l’effigie de cette grande dame.
Le lieu, où l’aventure est contée, recèle de secret. C’est un endroit où l’ensemble des cultures alternatives sont regroupées et il est un privilège de le connaître. Dans ce bâtiment, qui était une ancienne chocolaterie, les dédales des couloirs graphés et peints sont la sinusoïde des chemins parcourus et à parcourir.
Ce lieu est les clefs, qui sont les reines pour ouvrir les salles recelant de merveilles, de la multitude d’échange et de savoir. La communication est collégiale. Cet endroit est à l’image de Fort Boyard, un mystère des énigmes sociales et culturelles.
Une des salles révèle son secret. C’est la salle où le bois est roi. Ici la visseuse, la scie, la raboteuse vont bons trains. C’est le lieu des bobos qui créent leurs mobiliers pour leur savoir être et faire.
Un jour, lors de ces pelligrinations, les décisionnaires rencontrent une personne qui, armée de sa mobylette et de sa carriole, tel le prince charmant, ramasse des palettes. C’est un sans domicile fixe. Il lutte pour avoir quelques pièces afin de manger. C’est aussi en même temps, un très bon bricoleur.
Plusieurs décisionnaires se décident alors de se mettre autour d’une table. Il y a ceux qui connaissent et aident les sans domicile, il y a les bricoleurs, il y a les hébergeurs des différentes structures, les revendeurs d’objets insolites et pratiques, et, il y a moi.
Je suis un rêveur qui souvent se soucie de développer une monnaie locale afin d’organiser la lutte contre la pauvreté. Cette réunion est pour moi le fruit d’un long processus de pensée. Je suis inquiet, je transpire, mon état d’excitation et d’angoisse font que je pue. Cette peur me rend divergent. Je dois l’affronter et la battre.
Je m’appelle Luc, j’ai 37 ans et je suis un célibatant, c’est à dire que dans mon logement occupé par moi seul. Il y a, en ressenti : un enfant, une femme, un homme et un chien.
Cette dualité de celibatant est devenu une force, j’ai vaincu la peur de la solitude.
Lors de cette réunion, je suis là en tant que gestionnaire des fonds des bricoleurs. Mon but est de faire parvenir un consensus sur ce schéma d’organisation entre les personnes en précarité et un gain financier.
Le lien entre ces structures est de créer des objets avec des matériaux comme les encombrants. Ils seraient récoltés par les personnes en précarité et assembler par eux. Ces objets seront vendus.
Les décisionnaires collégiales respectent la communication non violente et la gestion du consentement mutuel.
La décision qui est prise via ces méthodes est de foncer, de mettre ses couilles sur la table et on réfléchira après.
Le schéma fonctionne bien au début.
Le réseau du bouche à oreille permet très vite de créer une structure financièrement viable, personne n’est laissée pour compte. Les personnes très vite, via une interface internet donne leur objet inutile. Les personnes en précarité passent le chercher. Il est stocké avant d’être customiser par les bricoleurs et leurs adhérents. La taille des différentes structures a permis de doubler leurs usagers.
Le lieu magique devient un carrefour de l’économie sociale et solidaire. Une monnaie locale complémentaire née de cette activité permet un réseautage local et aucune évasion fiscale.
Une nouvelle personne en précarité a eu vent de cette activité. Elle est très volontaire et courageuse et en même temps, c’est du lait sur le feu avec un caractère soupe au lait. Son encadrement est difficile.
Un ancien des colporteurs d’objets est malade. La structure envoie donc notre nouveau.
Elle lui fournisse un plan pour se rendre au lieu de rendez vous et le nom de l’objet à récupérer.
Ce lieu du rendez vous est bucolique. Au bord de l’affluent de la Loire, il fut un temps où il produisait de la farine qui allaient à Paris par voie fluviale en flûtreau. Ce bateau à fond plat de 7 m de long était souvent accompagné des canards, foulques et cormorans. Depuis, le centre touristique a redonné toute sa mémoire à ce lieu. Ce fleuve, bordé de sa voie piétonne, est l’endroit où l’usager de la structure doit se rendre.
Lors de l’audition en ce lieu multiculturel, les décisionnaires cherchent à comprendre comment cet événement d’hier s’est produit. Ils n’aboutissent à aucune conclusion. Une personne en voiture a évité la personne en précarité et a démoli un arbre.
La mairie se saisit alors de l’affaire et demande l’agrément des structures au cerfa 12037 B. Le coût financier est important afin d’assurer cet agrément.
Une réunion avec l’administration est ouverte pour savoir si les structures doivent continuer leurs activités.
Je décide d’aller contacter un réseau très ancien, il a été fondé par l’Abbé Pierre.
Cette réunion permet de comprendre la problématique de chacun.
Elle est dure et noire comme le charbon. Les arguments cinglants de parts et d’autres étrangle tout consensus.
Le référent de la structure de l’Abbé Pierre parvient à prendre la parole dans le lieu magique des secrets. Un mini miracle se produit alors La personne responsable de l’accident a trouvé dans le dédale de ce lieu, le moyen de pénétrer la réunion.
Sa venue malvenu par certain est une surprise, son discours est simple et permet d’appréhender sa problématique. Il était tombé amoureux du lieu de l’échange d’objet. Il était aveuglé par tant de beauté de la nature avec ces maisons en vieille pierre. Interpellé par un oiseau à tête blanche, il ne put résister de le contempler. L’accident se produit.
Le représentant de la fondation Abbé Pierre conclut la réunion. Son discours riche d’expérience sociale est le fruit de l’habitude de ces problématiques.
Nous les décisionnaires, n’en menons pas large, on a eu les couilles et on a eu le succès. Le pouvoir nous rattrape. Je me sens responsable de cet événement qui était mon jour d’encadrement. J’ai peur d’avoir à payer la voiture et l’arbre. Je stresse...
L’administration a tranché, les structures doivent adhérer à l’assurance de la Fondation Abbé Pierre afin de continuer leurs activités. La région Centre Val de Loire mutualise la monnaie locale complémentaire.
Ce long combat a permis un consensus administratif sur le travail des fourmis du bénévolat.
La faim des personnes en précarité est vaincue par l’entraide. Cette fin d’histoire est ma fiction, car ma magie des mots est de voir l’imagination belle sur l’humanité.
Cette histoire a lieu dans une ville qui est connue pour ses fêtes Johaniques.
Cette cité est le berceau libéré par la pucelle. L’histoire est bien différente d’une cérémonie à l’effigie de cette grande dame.
Le lieu, où l’aventure est contée, recèle de secret. C’est un endroit où l’ensemble des cultures alternatives sont regroupées et il est un privilège de le connaître. Dans ce bâtiment, qui était une ancienne chocolaterie, les dédales des couloirs graphés et peints sont la sinusoïde des chemins parcourus et à parcourir.
Ce lieu est les clefs, qui sont les reines pour ouvrir les salles recelant de merveilles, de la multitude d’échange et de savoir. La communication est collégiale. Cet endroit est à l’image de Fort Boyard, un mystère des énigmes sociales et culturelles.
Une des salles révèle son secret. C’est la salle où le bois est roi. Ici la visseuse, la scie, la raboteuse vont bons trains. C’est le lieu des bobos qui créent leurs mobiliers pour leur savoir être et faire.
Un jour, lors de ces pelligrinations, les décisionnaires rencontrent une personne qui, armée de sa mobylette et de sa carriole, tel le prince charmant, ramasse des palettes. C’est un sans domicile fixe. Il lutte pour avoir quelques pièces afin de manger. C’est aussi en même temps, un très bon bricoleur.
Plusieurs décisionnaires se décident alors de se mettre autour d’une table. Il y a ceux qui connaissent et aident les sans domicile, il y a les bricoleurs, il y a les hébergeurs des différentes structures, les revendeurs d’objets insolites et pratiques, et, il y a moi.
Je suis un rêveur qui souvent se soucie de développer une monnaie locale afin d’organiser la lutte contre la pauvreté. Cette réunion est pour moi le fruit d’un long processus de pensée. Je suis inquiet, je transpire, mon état d’excitation et d’angoisse font que je pue. Cette peur me rend divergent. Je dois l’affronter et la battre.
Je m’appelle Luc, j’ai 37 ans et je suis un célibatant, c’est à dire que dans mon logement occupé par moi seul. Il y a, en ressenti : un enfant, une femme, un homme et un chien.
Cette dualité de celibatant est devenu une force, j’ai vaincu la peur de la solitude.
Lors de cette réunion, je suis là en tant que gestionnaire des fonds des bricoleurs. Mon but est de faire parvenir un consensus sur ce schéma d’organisation entre les personnes en précarité et un gain financier.
Le lien entre ces structures est de créer des objets avec des matériaux comme les encombrants. Ils seraient récoltés par les personnes en précarité et assembler par eux. Ces objets seront vendus.
Les décisionnaires collégiales respectent la communication non violente et la gestion du consentement mutuel.
La décision qui est prise via ces méthodes est de foncer, de mettre ses couilles sur la table et on réfléchira après.
Le schéma fonctionne bien au début.
Le réseau du bouche à oreille permet très vite de créer une structure financièrement viable, personne n’est laissée pour compte. Les personnes très vite, via une interface internet donne leur objet inutile. Les personnes en précarité passent le chercher. Il est stocké avant d’être customiser par les bricoleurs et leurs adhérents. La taille des différentes structures a permis de doubler leurs usagers.
Le lieu magique devient un carrefour de l’économie sociale et solidaire. Une monnaie locale complémentaire née de cette activité permet un réseautage local et aucune évasion fiscale.
Une nouvelle personne en précarité a eu vent de cette activité. Elle est très volontaire et courageuse et en même temps, c’est du lait sur le feu avec un caractère soupe au lait. Son encadrement est difficile.
Un ancien des colporteurs d’objets est malade. La structure envoie donc notre nouveau.
Elle lui fournisse un plan pour se rendre au lieu de rendez vous et le nom de l’objet à récupérer.
Ce lieu du rendez vous est bucolique. Au bord de l’affluent de la Loire, il fut un temps où il produisait de la farine qui allaient à Paris par voie fluviale en flûtreau. Ce bateau à fond plat de 7 m de long était souvent accompagné des canards, foulques et cormorans. Depuis, le centre touristique a redonné toute sa mémoire à ce lieu. Ce fleuve, bordé de sa voie piétonne, est l’endroit où l’usager de la structure doit se rendre.
Lors de l’audition en ce lieu multiculturel, les décisionnaires cherchent à comprendre comment cet événement d’hier s’est produit. Ils n’aboutissent à aucune conclusion. Une personne en voiture a évité la personne en précarité et a démoli un arbre.
La mairie se saisit alors de l’affaire et demande l’agrément des structures au cerfa 12037 B. Le coût financier est important afin d’assurer cet agrément.
Une réunion avec l’administration est ouverte pour savoir si les structures doivent continuer leurs activités.
Je décide d’aller contacter un réseau très ancien, il a été fondé par l’Abbé Pierre.
Cette réunion permet de comprendre la problématique de chacun.
Elle est dure et noire comme le charbon. Les arguments cinglants de parts et d’autres étrangle tout consensus.
Le référent de la structure de l’Abbé Pierre parvient à prendre la parole dans le lieu magique des secrets. Un mini miracle se produit alors La personne responsable de l’accident a trouvé dans le dédale de ce lieu, le moyen de pénétrer la réunion.
Sa venue malvenu par certain est une surprise, son discours est simple et permet d’appréhender sa problématique. Il était tombé amoureux du lieu de l’échange d’objet. Il était aveuglé par tant de beauté de la nature avec ces maisons en vieille pierre. Interpellé par un oiseau à tête blanche, il ne put résister de le contempler. L’accident se produit.
Le représentant de la fondation Abbé Pierre conclut la réunion. Son discours riche d’expérience sociale est le fruit de l’habitude de ces problématiques.
Nous les décisionnaires, n’en menons pas large, on a eu les couilles et on a eu le succès. Le pouvoir nous rattrape. Je me sens responsable de cet événement qui était mon jour d’encadrement. J’ai peur d’avoir à payer la voiture et l’arbre. Je stresse...
L’administration a tranché, les structures doivent adhérer à l’assurance de la Fondation Abbé Pierre afin de continuer leurs activités. La région Centre Val de Loire mutualise la monnaie locale complémentaire.
Ce long combat a permis un consensus administratif sur le travail des fourmis du bénévolat.
La faim des personnes en précarité est vaincue par l’entraide. Cette fin d’histoire est ma fiction, car ma magie des mots est de voir l’imagination belle sur l’humanité.