Toute histoire commence un jour, quelque part... Un matin. Il faisait un temps de canard, accompagnée d'un souffle glacial d'hiver. le ciel était recouvert de nuages gris et épais. J'arrivais à la fin de mon sixièmes mois à Dakar. j'avais quitté libreville afin de poursuivre ma scolarité dans la capitale sénégalaise.
C'était l'heure de la prière, comme tout les matins la mosquée à proximité de chez moi me servait de réveil matinale. Une fois réveillée je m'apprête pour les cours comme tout les jours ouvrables. Sept heures sonnait, je descendait les marches d'escalier avec mon allure flemmard matinale tout en n'ayant
une idée exacte du temps qu'il faisait car c'est pas parce que les plus petite de taille sont les derniers touché quand il pleut qu'il doivent l'être aussi à rentrer en classe.
J'était à l'angle 20 de là rue 29 de la médina un quartier populaire de Dakar quand je m'aperçois qu'il y a quelqu'un derrière moi et je jeta un coup d'oeil afin d'en avoir le coeur net. C'était un petit garçon à l'allure chétif, la dizaine environ, sans chaussures vêtu d'une culotte et d'un simple tee-shirts qui avait l'aire de n'avoir pas été lessivé depuis une éternité.
Je feue tout de suite pris de compassion pour se petit frère innocent qui n'a juste pas dû avoir là chance de naître dans la bonne famille.
Il commença la conversation.
-salamhoulekoum.
Et je répondit...
- houalekoumsalam
Puis il repris la parole en s'exprimant en wolof qui est l'un des dialecte mais tout de suite je sû qu'il voulais juste un peux d'argent, car j'en voyais souvent des mendiants couramment appelé "Talibés" par les riverains qui leurs donnent souvent à manger de façon à ce qu'il ne meurent pas de fin dans la rue. Moi, me débrouillent un peux en dialecte local je lui ai fait comprendre que je n'avais pas de pièce. Puis je repris la conversation mais sans pouvoir en tiré de réponse car le petit frère ne comprenais pas ce que lui disais.
Nous fument un bout de chemin côte à côte sans que je ne puisse rien faire pour lui, puis avant de nous séparer à l'angle 19 je lui ai demander son nom en dialecte car j'avais des vêtements qui était devenu trop petite pour moi que je portais plus que je pourrait l'offrir.
Il me répondit en disant qu'il se prénomme Ali.
À mon arrivé à l'école j'était troublé part la rencontre de se jeune frère qui ne sais ni lire ni écrit et ni parler français puis je réalisais la chance que j'avais.
Le professeur de comptabilité, censé nous dispenser le premier cours était en retard alors je racontait à un camarade de classe ma rencontre matinale qui lui m'expliquait les raisons de cette exploitation des jeunes garçons qui est récurrente dans le pays et me dit que pour la majeure partie de ses mômes viennent des zones rurales et que c'est uniquement de la faute des quelques parents encore irresponsables qui confie leurs enfants à des marabouts qui doivent leurs apprendre la religion sans rien leurs demandé en échange alors qu'une fois chez le marabouts qui ne dispose pas des ressources ni de logements pour ses enfants les envoie dans la rue en exigent d'eux qu'il apporte une sommes bien précis sans quoi il seront sanctionné.
Après qu'il m'ai expliquer, j'ai été pris d'une douleur, le genre qui te plonge dans des heures et des heures de questionnement intérieur.
Comment peut-on faire preuve de tellement de cruauté?
Les personnes qui le font n'ont ils pas de coeur ?
Ses parents sont-ils conscient du danger auquel il expose leurs enfants ?
Et cela n'en finissait pas jusqu'à ce que je me dit que si c'est vraiment à des fain religieux pourquoi et puisque que sa leurs tiens à coeur pourquoine pas faire une manifestation pour que les pouvoirs publics essaie de se pencher sur la question.
5 heure sonne. La fin du cours de mathématiques, je descends épuisée comme tout les jeudi soirs, mais tout de même il me reviens un flashback de la scène de la matinée, je décide donc d'emprunter le chemin que j'ai pris le matin avc l'espoir de rencontre Ali.
Mais hélas nous ne nous sommes plus croisés.