Je suis née en banlieue à cet endroit préçis que l'on veut
interdire à la lumière, violence ordinaire.
Je m'appelle Etoile de rosée ce qui s'explique par le fait que
mes parents ouvriers aimaient la poésie qui élève l'âme et
qui apprend à se battre contre les pesanteurs de la réalité.
Je veux devenir championne de 10.000 mètres. Je m'entraîne assidûment tous les jours A cet effet je sors de
chez moi , à l'heure, où le coq annonce l'aube.
Or il advint qu'un jour, en sortant pour m'entrainer; je
croisais un jeune homme, assis par terre la tête entre ses
genoux. A mon passage il leva la tête puis aussitôt la courba.
Tous les jours il était là assis dans son silence, relevant la tête puis la cachant.
Je décidai alors de relever un autre défi, en plus de mon challenge sportif, celui de lui redonner goût à la vie.
Les jours suivants je lui dis "bonjour". Mais il ne répondait pas, demeurant dans un mutisme qui avait toutes les allures d'un désespoirs qui ne peut que se taire.
Je persistais, néanmoins, quand un jour il leva la tête et pour la première fois, je vis ses yeux à la lueur cassée, et, il me dit "bonjour".
J'étais heureuse, j'avais brisé son mutisme.
Quelques jours passèrent où nous échangions nos
salutations. Je ne pouvais en rester là, il fallait aller plus loin, aussi dorénavant en plus de mon bonjour matinal, je lui souris.
Au début il fut décontenancé, son visage trahissait son
incrédulité stupéfaite. Depuis combien de temps ne lui avait t'on pas souri?!
Je décidai d'engager la conversation:
-" je m'appelle étoile de rosée et toi?"
-"Momo"
-"pourquoi ce désespoir?"
-' je ne suis qu'un toxicomane, je ne rêve plus"
Notre conversation s'arrêta là, il fallait me rendre à l'évidence, j'étais amoureuse.
Le lendemain je ne mis pas mon survet' mais une robe ensoleillé.
Et là, ô surprise, il était debout, avec une belle chemise les yeux souriants d'un bonheur timide.
Nous nous tûmes.Je ne pus m'empêcher de l'embrasser.
Il me dit: "il y a si longtemps" puis il ajouta:" j'ai décidé
d'arrêter la drogue, cela va être difficile, il faudra que tu sois patiente"
Je lui souris.
Quelques jours après débuta le championnat d'athlétisme. Je m'étais entrainée avec une rigueur toute
spartiate. Et puis je me sentais légère, oui c'est avec légèreté que je remportai la course...
interdire à la lumière, violence ordinaire.
Je m'appelle Etoile de rosée ce qui s'explique par le fait que
mes parents ouvriers aimaient la poésie qui élève l'âme et
qui apprend à se battre contre les pesanteurs de la réalité.
Je veux devenir championne de 10.000 mètres. Je m'entraîne assidûment tous les jours A cet effet je sors de
chez moi , à l'heure, où le coq annonce l'aube.
Or il advint qu'un jour, en sortant pour m'entrainer; je
croisais un jeune homme, assis par terre la tête entre ses
genoux. A mon passage il leva la tête puis aussitôt la courba.
Tous les jours il était là assis dans son silence, relevant la tête puis la cachant.
Je décidai alors de relever un autre défi, en plus de mon challenge sportif, celui de lui redonner goût à la vie.
Les jours suivants je lui dis "bonjour". Mais il ne répondait pas, demeurant dans un mutisme qui avait toutes les allures d'un désespoirs qui ne peut que se taire.
Je persistais, néanmoins, quand un jour il leva la tête et pour la première fois, je vis ses yeux à la lueur cassée, et, il me dit "bonjour".
J'étais heureuse, j'avais brisé son mutisme.
Quelques jours passèrent où nous échangions nos
salutations. Je ne pouvais en rester là, il fallait aller plus loin, aussi dorénavant en plus de mon bonjour matinal, je lui souris.
Au début il fut décontenancé, son visage trahissait son
incrédulité stupéfaite. Depuis combien de temps ne lui avait t'on pas souri?!
Je décidai d'engager la conversation:
-" je m'appelle étoile de rosée et toi?"
-"Momo"
-"pourquoi ce désespoir?"
-' je ne suis qu'un toxicomane, je ne rêve plus"
Notre conversation s'arrêta là, il fallait me rendre à l'évidence, j'étais amoureuse.
Le lendemain je ne mis pas mon survet' mais une robe ensoleillé.
Et là, ô surprise, il était debout, avec une belle chemise les yeux souriants d'un bonheur timide.
Nous nous tûmes.Je ne pus m'empêcher de l'embrasser.
Il me dit: "il y a si longtemps" puis il ajouta:" j'ai décidé
d'arrêter la drogue, cela va être difficile, il faudra que tu sois patiente"
Je lui souris.
Quelques jours après débuta le championnat d'athlétisme. Je m'étais entrainée avec une rigueur toute
spartiate. Et puis je me sentais légère, oui c'est avec légèreté que je remportai la course...