Toute histoire commence un jour, quelque part. Moi, j’aimerais bien que celle-ci se termine bientôt. Tu vois, l’histoire que j’ai à te raconter aujourd’hui est loin d’être des plus amusantes. J’ai le cœur lourd ces derniers jours; laisse-moi me confier à toi, s’il te plaît.
Me confier à quelqu’un... quel acte si compliqué. Toi, tu es toujours là. Mais les autres, comment peuvent-ils me comprendre? Je n’arrive pas à m’ouvrir à eux. M’ouvrir à eux? Me voilà encore en train de sauter des étapes. Je n’arrive même pas à simplement leur parler. Parler de tout et de rien, cette chose si banale, m’est impossible à faire avec nul autre que toi. Tu n’as pas idée à quel point ça me déprime. Façon de parler... je t’en parle chaque jour, tu connais évidemment l’ampleur de ma tristesse.
Aujourd’hui, j’ai essayé. J’ai osé. Je n’ose jamais habituellement. Je suis tellement lâche. Pas aujourd’hui par contre. Non, pas aujourd’hui...
J’ai parlé à une fille. Oh, lala! Ça commence raide! Je sais, je sais. Mais elle m’a fait un tel effet. Qu’est-ce que j’ai ressenti : du courage? de l’envie? de l’espoir? du désespoir, peut-être? Ah non, ça, c’est maintenant.
Nous avons un cours ensemble elle et moi... et toi. Après quelques semaines pour prendre mon courage à deux mains, je suis enfin allé lui parler. Je t’épargne les détails. Disons juste que même si j’avais tous les ingrédients pour faire face à cette situation, il me manquait le savoir-faire. En gros, je me suis embarrassé solide. Pourtant, elle n’a pas porté attention au malaise. Elle est très gentille; elle semblait heureuse que je lui parle. Alors me voilà plus anxieux que jamais avec deux fois plus de craintes qu’avant. Cependant, j’ai maintenant une amie de classe. Ça va faire changement de ma solitude typique.
J’ai peur de plusieurs choses. J’ai peur de ne pas savoir quoi lui dire. Je ne suis pas le plus bavard qu’y soit. Je ne sais pas comment converser. La preuve, c’est vendredi soir et je t’écris le fond de ma pensée au lieu d’avoir des amis avec qui m’amuser. J’ai peur qu’elle me trouve laid. J’ai peur d’être ennuyant. J’ai peur de mes propres sentiments. Je pense à elle chaque soir, ça ne peut pas être normal. Je nous imagine déjà dans de divers scénarios romantiques. Bon sang! Tout ce qu’on a fait c’est parler de banalités et d’école! Suis-je psychopathe? Est-ce le coup de foudre? Il est où ce fichu Cupidon, j’ai quelques questions à lui poser. Tant de question sans réponse. Toi, tu pourrais pas me répondre de temps en temps? Je gère à moitié ici. Ou pas du tout en fait. J’ai peur de manquer ma chance. J’ai peur de finir seul. Si peur.
Alors voilà, c’est tout ce que j’ai à dire pour l’instant. D’un côté, ça me fait du bien de parler de mes problèmes de cœur. D’un autre, ça me fait réaliser à quel point je suis dérangé. En passant, merci de toujours m’écouter, mon seul confident. À la prochaine, mon cher journal intime.
Bon, allez, j’ai quoi lundi? Français avec elle... Ah merde...
Me confier à quelqu’un... quel acte si compliqué. Toi, tu es toujours là. Mais les autres, comment peuvent-ils me comprendre? Je n’arrive pas à m’ouvrir à eux. M’ouvrir à eux? Me voilà encore en train de sauter des étapes. Je n’arrive même pas à simplement leur parler. Parler de tout et de rien, cette chose si banale, m’est impossible à faire avec nul autre que toi. Tu n’as pas idée à quel point ça me déprime. Façon de parler... je t’en parle chaque jour, tu connais évidemment l’ampleur de ma tristesse.
Aujourd’hui, j’ai essayé. J’ai osé. Je n’ose jamais habituellement. Je suis tellement lâche. Pas aujourd’hui par contre. Non, pas aujourd’hui...
J’ai parlé à une fille. Oh, lala! Ça commence raide! Je sais, je sais. Mais elle m’a fait un tel effet. Qu’est-ce que j’ai ressenti : du courage? de l’envie? de l’espoir? du désespoir, peut-être? Ah non, ça, c’est maintenant.
Nous avons un cours ensemble elle et moi... et toi. Après quelques semaines pour prendre mon courage à deux mains, je suis enfin allé lui parler. Je t’épargne les détails. Disons juste que même si j’avais tous les ingrédients pour faire face à cette situation, il me manquait le savoir-faire. En gros, je me suis embarrassé solide. Pourtant, elle n’a pas porté attention au malaise. Elle est très gentille; elle semblait heureuse que je lui parle. Alors me voilà plus anxieux que jamais avec deux fois plus de craintes qu’avant. Cependant, j’ai maintenant une amie de classe. Ça va faire changement de ma solitude typique.
J’ai peur de plusieurs choses. J’ai peur de ne pas savoir quoi lui dire. Je ne suis pas le plus bavard qu’y soit. Je ne sais pas comment converser. La preuve, c’est vendredi soir et je t’écris le fond de ma pensée au lieu d’avoir des amis avec qui m’amuser. J’ai peur qu’elle me trouve laid. J’ai peur d’être ennuyant. J’ai peur de mes propres sentiments. Je pense à elle chaque soir, ça ne peut pas être normal. Je nous imagine déjà dans de divers scénarios romantiques. Bon sang! Tout ce qu’on a fait c’est parler de banalités et d’école! Suis-je psychopathe? Est-ce le coup de foudre? Il est où ce fichu Cupidon, j’ai quelques questions à lui poser. Tant de question sans réponse. Toi, tu pourrais pas me répondre de temps en temps? Je gère à moitié ici. Ou pas du tout en fait. J’ai peur de manquer ma chance. J’ai peur de finir seul. Si peur.
Alors voilà, c’est tout ce que j’ai à dire pour l’instant. D’un côté, ça me fait du bien de parler de mes problèmes de cœur. D’un autre, ça me fait réaliser à quel point je suis dérangé. En passant, merci de toujours m’écouter, mon seul confident. À la prochaine, mon cher journal intime.
Bon, allez, j’ai quoi lundi? Français avec elle... Ah merde...