" Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appellerai pas maître". À l'entendre sur ces mots au conseil de discipline, son père Ali décida d'envoyer l'insupportable Ben étudié chez son meilleur ami maître du karaté au Japon. Ce dernier l'aimait tellement que chaque fois qu'il faisait une faute, il était pleines d'indulgences. Tout ce qu'il devait dire pour échapper à la punition de son maître, c'était : « je suis désolé». Il s'avait parfaitement que même s'il commettait un crime aussi terrible, son maître l'aiderait. Un jour il était dans la bibliothèque entrain de s'amuser avec une lampe tempête , elle s'échappa de ses mains, le feu répandit et il ne sait plus quoi faire. Du coup, pris panique il sortit du temple et prendre la fuite, mais se sentait de plus en plus coupable. Il se disait qu'il n'y a que deux chemins devant lui: soit il s'enfuyait et de vivre cacher, soit il reviendrait et avouer sa faute. Même si on devrait l'exécuter, cela n'avait aucune importance et donc il revint. Il voudrait dire à son maître qu'il était vraiment désolé, mais il n'eut malheureusement plus jamais l'occasion de le lui dire car son maître avait péri par l'incendie. Et depuis ce jour il dit qu'il n'allait plus jamais dire « je suis désolé ».