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Poèmes Collections thématiques- Romance - Poèmes
Ta main qui se retire
Et ton dos qui déchire
La trame de mes jours
L'averse qui efface
Jusqu'aux dernières traces
Des dernières amours
Et la peur qui remonte
Des heures que l'on compte
Sur les doigts de l'ennui
De n'avoir rien à dire
Ni chagrin ni désir
Qu'on n'ait déjà trop dit
La peur de demeurer
Une étape oubliée
Sur un plan de voyage
Une gare perdue
Où tu ne passes plus
Une erreur d'aiguillage
La peur mon bel amour
Égaré au détour
De trop de vies croisées
De ton ombre fantôme
Glissant entre mes paumes
À l'heure du laitier
La peur d'amours de paille
Brûlant veille que vaille
Juste entre cuir et peau
De ces amours de laine
Qu'on tricote à grand-peine
Pour se redonner chaud
Qui vous laissent de cendre
Qui vous laissent descendre
Où l'on ne descend plus
Qu'entre vêpres et matines
Aux heures où se déclinent
Tous nos rêves perdus
Et ton dos qui déchire
La trame de mes jours
L'averse qui efface
Jusqu'aux dernières traces
Des dernières amours
Et la peur qui remonte
Des heures que l'on compte
Sur les doigts de l'ennui
De n'avoir rien à dire
Ni chagrin ni désir
Qu'on n'ait déjà trop dit
La peur de demeurer
Une étape oubliée
Sur un plan de voyage
Une gare perdue
Où tu ne passes plus
Une erreur d'aiguillage
La peur mon bel amour
Égaré au détour
De trop de vies croisées
De ton ombre fantôme
Glissant entre mes paumes
À l'heure du laitier
La peur d'amours de paille
Brûlant veille que vaille
Juste entre cuir et peau
De ces amours de laine
Qu'on tricote à grand-peine
Pour se redonner chaud
Qui vous laissent de cendre
Qui vous laissent descendre
Où l'on ne descend plus
Qu'entre vêpres et matines
Aux heures où se déclinent
Tous nos rêves perdus
© Short Édition - Toute reproduction interdite sans autorisation
Pourquoi on a aimé ?
Ce poème partage avec Chopin et ses œuvres du même nom la même gravité et la même douceur. Des vers courts, au rythme maîtrisé, et surtout des
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