Depuis 1941, Nancy et Olivia se sont engagées dans l’armée anglaise, ce sont des « battantes » elles veulent faire la guerre.
Ces messages pour la résistance française, veulent dire que le débarquement est imminent et qu’il faut détruire au maximum liaisons téléphoniques, rails, barrer les routes. Et cela sera fait.
Bien sûr Nancy et Olivia sont nerveuses, cantonnées dans un hangar, elles savent qu’elles vont bientôt se libérer de leur stress, elles tentent de ne pas penser en jouant aux cartes...
Sur les zones portuaires on embarque les véhicules de toutes sortes qui sont nécessaires à la grande invasion.
A J-1 à 15h30, Ike Eisenhower, s’enquiert de la météo. Le chef météorologue, le colonel James Stagg l’informe qu’elle est mauvaise, la lune peu visible, par contre la marée est favorable, la prochaine marée favorable sera le 19 juin. Le général, prit son temps inspira, expira et dit : « on a déjà repoussé l’invasion, les gars et les filles ne peuvent plus attendre ». OK pour le 6 juin ! Donnez les ordres, faites envoyer les messages !
A J-1 à 20h :
Blessent mon cœur d’une langueur monotone
Pour la résistance française cela indique l’opération Overlord en cours. Tout le monde se mobilise, on attaque les dépôts de munitions, embuscades, on harcèle les convois.
Les allemands ne déchiffrent pas ce message. De plus, au vu de camps basés à Edimbourg, ils s’attendent à un débarquement en Norvège ou le nord de la France. Mais à Edimbourg tout est faux, c’est du carton ! De plus vu le mauvais temps, aucun allemand ne croit au débarquement ! A part un !
Les paroles du Maréchal Rommel en avril 1944, devrait leur tinter aux oreilles :
« Si vous pensez qu’ils arriveront par beau temps, en empruntant l’itinéraire le plus court et qu’ils vous préviendront à l’avance, vous vous trompez. Les alliés débarqueront par un temps épouvantable, en choisissant l’itinéraire le plus long. Le débarquement aura lieu ici en Normandie... »
A 20 heures, après un très grand silence, nous sommes prévenues : allez les filles vite on embarque, nous sommes prêtes mais avant de tout rassembler de boucler le paquetage, il est 20h30. A 21h, on monte dans un dakota qui nous emmène vers notre destin. Harnachées pour le parachutage. A 22h on vole vers la France. Au même moment la RAF et l’Air Force américaine bombardent les batteries côtières, les ponts, la Normandie est en flamme, coupée du reste du monde
Sur le Nord Pas de Calais, les américains larguent des milliers de bandelettes d’aluminium pour induire en erreur les radars allemands.
Pendant ce temps l’avion de Nancy secoué par le mauvais temps, est touché par la DCA allemande. Retour à l’aéroport de la R.A.F. On change vite d’avion. Dépêchons, dit le pilote on nous attend en France, si on tarde, ils seront partis.
Enfin à 23 heures, le 5 juin 1944, Nancy et Olivia sont parachutées au- dessus d’Argences où la résistance est très organisée. En 1942, ils ont fait sauter deux trains, tuant une quarantaine d’allemands. Le groupe d’accueil est là malgré un retard d’une demi-heure.
Le terrain est balisé. Elles se réceptionnent dans un champ de blé, les résistants tous des hommes les aident à se débarrasser de leurs parachutes. Un autre groupe réceptionne les conteneurs remplis de munitions, d’armes, d’explosifs, ils y trouvent un mot écrit en français sur un immense carton :
TENEZ BON !!!!!!!!!!!!!!!
- Venez, on va se mettre en sécurité dans une grange
- Merci les gars de nous avoir attendues.
- Oui, normal, mais... vous êtes des femmes !
- Et oui, ne vous inquiétez pas on a eu la même formation que les hommes
- Ah vous les anglais !
- Nous sommes américaines ! précise Olivia.
- On pourrait penser que vous êtes françaises, vous le parlez sans accent !
- C’est une longue histoire.
- Bon nous avons des missions, Le lieutenant Olivia Sanchez doit se rendre, avec cinq de vos hommes les plus aguerris au nord et Nord-ouest d’Argences où il y a des SS. Ils emporteront des explosifs, munissez vos hommes de colts et de couteaux.
- Lieutenant ?
- Bien oui, pour ma part je suis lieutenant-colonel nous sommes officiers, voilà notre ordre de mission. Nancy tendit à un dénommé Charles qui était le chef du groupe l’ordre signé du général Powells.
- Bien à vos ordres, mon Colonel !
- Quant à moi, je dois rencontrer Lucien, j’ai des ordres pour lui.
- Bien, il faut deux jours de marche.
- Je suis habituée. Auparavant, je dois baliser un terrain près de Falaise, prenons une jeep que l’on vous a parachutée.
- D’accord et l’essence ? Regardez dans le container numéro 1.
- Très bien.
Nancy, dans la même nuit put baliser un terrain près de Falaise, pour des parachutages intensifs en fin de nuit, puis revenir au camp de base.
Charles hésitait à prendre la jeep pour aller à Argenton ou se tenait leur état- major. Alors Nancy lui en donna l’ordre, « il faut prendre des risques » lui dit-elle.
- Mon commandant, dit-elle en le saluant, je suis le lieutenant-colonel Barret Allison, j’ai des documents à vous transmettre et des ordres venant de l’état-major du Général Powels.
- Asseyez- vous Colonel, votre français est parfait. C’est bien agréable d’avoir affaire à une femme en ces temps troublés. Vous êtes charmante, de quelle région d’Angleterre venez-vous
- Du Texas, U.S.A. mon commandant.
- Dites donc, quel périple !
- Mon. commandant
- Oui ?
- Nous devons travailler !
- Oui, vous avez raison. Je vous écoute.
Nancy était très troublée par la voix chaude et mélodieuse de ce colosse. Elle se reprit.
- Dans cette petite mallette vous avez 500.000francs, des vues aériennes, des cartes très précises. De plus j’ai été larguée avec deux jeeps et des conteneurs d’armes.
Vous devez remonter sur Falaise et Caen avec tous vos hommes, tous, vous devez prendre à revers les boches ! Grouillez- vous ! Mes respects mon commandant.
Je sortis et montais dans la jeep, « allez on y va »
Je voulais fuir je désirais ce commandant, j’étais en manque de sexe et il avait réveillé en moi le désir d’être pénétrée. Les caresses d’Olivia étaient agréables, mais rien ne vaut un beau membre
- Dépêchons, je dois un peu dormir et un Lizzie doit me récupérer à minuit sur votre pré, il faut le baliser.
- Un Lissie ?
- Oui un Lysander ! ou un Whitley !
- Bon si vous voulez
- Allez j’ai faim, et j’ai sommeil
Vers 13 heures nous étions au camp, trajet sans incident, je quittais la jeep, marchais vers la grange ou m’attendait un matelas pour enfin me reposer.je me suis retournée.
- Dîtes-moi Charles vous avez quel âge ?
- 22 ans madame.
- Vous êtes... marié ?
- Oh non madame.
- Bien, venez me réveiller à 19 heures et apportez moi de quoi manger. Allez à plus tard.
Je m’endors comme une souche, je me réveille lorsque Charles me secoue l’épaule avec douceur. Je me retourne et fit un regard coquin au garçon J’ai bien dormi dans un vrai lit, dans une pièce fermée réservée aux invités de marque.
- Charles me tendit un plateau sur lequel je vis un morceau de poulet, de la salade, du fromage, des fruits et une carafe de vin.
- Posez cela près du lit, et venez...
Charles comprit, il s’approcha de moi, je lui tendis les bras, j’étais nue sous mon drap, nue et si belle, aux formes harmonieuses, mon entrainement physique avait raffermi mes cuisses, j’étais musclée, tellement désirable ! Ma chevelure brune défaite, mes yeux verts dardaient sur Charles un besoin de caresses. Nous firent l’amour longuement sans bruit. Ce fut pour moi une détente formidable, maintenant j’avais faim !
J’ai dévoré le contenu du plateau, bus deux grands verres de vin, je me retourne et fais un rot !
Et bien me dis-je je n’avais pas vu grand-chose de ce beau pays, le beau corps de Charles est quand même un bel aperçu !
Ces messages pour la résistance française, veulent dire que le débarquement est imminent et qu’il faut détruire au maximum liaisons téléphoniques, rails, barrer les routes. Et cela sera fait.
Bien sûr Nancy et Olivia sont nerveuses, cantonnées dans un hangar, elles savent qu’elles vont bientôt se libérer de leur stress, elles tentent de ne pas penser en jouant aux cartes...
Sur les zones portuaires on embarque les véhicules de toutes sortes qui sont nécessaires à la grande invasion.
A J-1 à 15h30, Ike Eisenhower, s’enquiert de la météo. Le chef météorologue, le colonel James Stagg l’informe qu’elle est mauvaise, la lune peu visible, par contre la marée est favorable, la prochaine marée favorable sera le 19 juin. Le général, prit son temps inspira, expira et dit : « on a déjà repoussé l’invasion, les gars et les filles ne peuvent plus attendre ». OK pour le 6 juin ! Donnez les ordres, faites envoyer les messages !
A J-1 à 20h :
Blessent mon cœur d’une langueur monotone
Pour la résistance française cela indique l’opération Overlord en cours. Tout le monde se mobilise, on attaque les dépôts de munitions, embuscades, on harcèle les convois.
Les allemands ne déchiffrent pas ce message. De plus, au vu de camps basés à Edimbourg, ils s’attendent à un débarquement en Norvège ou le nord de la France. Mais à Edimbourg tout est faux, c’est du carton ! De plus vu le mauvais temps, aucun allemand ne croit au débarquement ! A part un !
Les paroles du Maréchal Rommel en avril 1944, devrait leur tinter aux oreilles :
« Si vous pensez qu’ils arriveront par beau temps, en empruntant l’itinéraire le plus court et qu’ils vous préviendront à l’avance, vous vous trompez. Les alliés débarqueront par un temps épouvantable, en choisissant l’itinéraire le plus long. Le débarquement aura lieu ici en Normandie... »
A 20 heures, après un très grand silence, nous sommes prévenues : allez les filles vite on embarque, nous sommes prêtes mais avant de tout rassembler de boucler le paquetage, il est 20h30. A 21h, on monte dans un dakota qui nous emmène vers notre destin. Harnachées pour le parachutage. A 22h on vole vers la France. Au même moment la RAF et l’Air Force américaine bombardent les batteries côtières, les ponts, la Normandie est en flamme, coupée du reste du monde
Sur le Nord Pas de Calais, les américains larguent des milliers de bandelettes d’aluminium pour induire en erreur les radars allemands.
Pendant ce temps l’avion de Nancy secoué par le mauvais temps, est touché par la DCA allemande. Retour à l’aéroport de la R.A.F. On change vite d’avion. Dépêchons, dit le pilote on nous attend en France, si on tarde, ils seront partis.
Enfin à 23 heures, le 5 juin 1944, Nancy et Olivia sont parachutées au- dessus d’Argences où la résistance est très organisée. En 1942, ils ont fait sauter deux trains, tuant une quarantaine d’allemands. Le groupe d’accueil est là malgré un retard d’une demi-heure.
Le terrain est balisé. Elles se réceptionnent dans un champ de blé, les résistants tous des hommes les aident à se débarrasser de leurs parachutes. Un autre groupe réceptionne les conteneurs remplis de munitions, d’armes, d’explosifs, ils y trouvent un mot écrit en français sur un immense carton :
TENEZ BON !!!!!!!!!!!!!!!
- Venez, on va se mettre en sécurité dans une grange
- Merci les gars de nous avoir attendues.
- Oui, normal, mais... vous êtes des femmes !
- Et oui, ne vous inquiétez pas on a eu la même formation que les hommes
- Ah vous les anglais !
- Nous sommes américaines ! précise Olivia.
- On pourrait penser que vous êtes françaises, vous le parlez sans accent !
- C’est une longue histoire.
- Bon nous avons des missions, Le lieutenant Olivia Sanchez doit se rendre, avec cinq de vos hommes les plus aguerris au nord et Nord-ouest d’Argences où il y a des SS. Ils emporteront des explosifs, munissez vos hommes de colts et de couteaux.
- Lieutenant ?
- Bien oui, pour ma part je suis lieutenant-colonel nous sommes officiers, voilà notre ordre de mission. Nancy tendit à un dénommé Charles qui était le chef du groupe l’ordre signé du général Powells.
- Bien à vos ordres, mon Colonel !
- Quant à moi, je dois rencontrer Lucien, j’ai des ordres pour lui.
- Bien, il faut deux jours de marche.
- Je suis habituée. Auparavant, je dois baliser un terrain près de Falaise, prenons une jeep que l’on vous a parachutée.
- D’accord et l’essence ? Regardez dans le container numéro 1.
- Très bien.
Nancy, dans la même nuit put baliser un terrain près de Falaise, pour des parachutages intensifs en fin de nuit, puis revenir au camp de base.
Charles hésitait à prendre la jeep pour aller à Argenton ou se tenait leur état- major. Alors Nancy lui en donna l’ordre, « il faut prendre des risques » lui dit-elle.
- Mon commandant, dit-elle en le saluant, je suis le lieutenant-colonel Barret Allison, j’ai des documents à vous transmettre et des ordres venant de l’état-major du Général Powels.
- Asseyez- vous Colonel, votre français est parfait. C’est bien agréable d’avoir affaire à une femme en ces temps troublés. Vous êtes charmante, de quelle région d’Angleterre venez-vous
- Du Texas, U.S.A. mon commandant.
- Dites donc, quel périple !
- Mon. commandant
- Oui ?
- Nous devons travailler !
- Oui, vous avez raison. Je vous écoute.
Nancy était très troublée par la voix chaude et mélodieuse de ce colosse. Elle se reprit.
- Dans cette petite mallette vous avez 500.000francs, des vues aériennes, des cartes très précises. De plus j’ai été larguée avec deux jeeps et des conteneurs d’armes.
Vous devez remonter sur Falaise et Caen avec tous vos hommes, tous, vous devez prendre à revers les boches ! Grouillez- vous ! Mes respects mon commandant.
Je sortis et montais dans la jeep, « allez on y va »
Je voulais fuir je désirais ce commandant, j’étais en manque de sexe et il avait réveillé en moi le désir d’être pénétrée. Les caresses d’Olivia étaient agréables, mais rien ne vaut un beau membre
- Dépêchons, je dois un peu dormir et un Lizzie doit me récupérer à minuit sur votre pré, il faut le baliser.
- Un Lissie ?
- Oui un Lysander ! ou un Whitley !
- Bon si vous voulez
- Allez j’ai faim, et j’ai sommeil
Vers 13 heures nous étions au camp, trajet sans incident, je quittais la jeep, marchais vers la grange ou m’attendait un matelas pour enfin me reposer.je me suis retournée.
- Dîtes-moi Charles vous avez quel âge ?
- 22 ans madame.
- Vous êtes... marié ?
- Oh non madame.
- Bien, venez me réveiller à 19 heures et apportez moi de quoi manger. Allez à plus tard.
Je m’endors comme une souche, je me réveille lorsque Charles me secoue l’épaule avec douceur. Je me retourne et fit un regard coquin au garçon J’ai bien dormi dans un vrai lit, dans une pièce fermée réservée aux invités de marque.
- Charles me tendit un plateau sur lequel je vis un morceau de poulet, de la salade, du fromage, des fruits et une carafe de vin.
- Posez cela près du lit, et venez...
Charles comprit, il s’approcha de moi, je lui tendis les bras, j’étais nue sous mon drap, nue et si belle, aux formes harmonieuses, mon entrainement physique avait raffermi mes cuisses, j’étais musclée, tellement désirable ! Ma chevelure brune défaite, mes yeux verts dardaient sur Charles un besoin de caresses. Nous firent l’amour longuement sans bruit. Ce fut pour moi une détente formidable, maintenant j’avais faim !
J’ai dévoré le contenu du plateau, bus deux grands verres de vin, je me retourne et fais un rot !
Et bien me dis-je je n’avais pas vu grand-chose de ce beau pays, le beau corps de Charles est quand même un bel aperçu !