Aujourd'hui commence comme tous les autres jours... Sauf que cette fois j'ai un mélange de boucles et de barres inscrites sur mon dos une trace un peu anormale. Et non, ce ne sont pas des dessins !
Pardon ! J'en oublie tous les usages ; Je m'appelle Lewis.
Après ce jour les boucles et les barres disparaissaient et réapparaissaient, sans bien comprendre se que c'était. Je m'étais mis à les dessiner tous ou plutôt à les recopier.
Je ne me posais pas trop de question car je ne voyais pas en quoi ces petits graphes me dérangeaient. J'avais mis ça sur le fait que je faisais beaucoup de bêtises et que c'était des sortes de punitions.
Mais en comparant les différentes copies des petits graphes je remarquai que certaines parties comportaient des similitudes.
Ici, c'est notre mode de vie les dessins sur la peau... Dès notre naissance, notre histoire se tatoue sur notre épiderme, uniquement avec des dessins.
Mais, cette fois-ci, cela me paraissait louche. J'en avais donc parlé à un copain.
Pardon ! J'en oublie tous les usages ; Je m'appelle Lewis.
Après ce jour les boucles et les barres disparaissaient et réapparaissaient, sans bien comprendre se que c'était. Je m'étais mis à les dessiner tous ou plutôt à les recopier.
Je ne me posais pas trop de question car je ne voyais pas en quoi ces petits graphes me dérangeaient. J'avais mis ça sur le fait que je faisais beaucoup de bêtises et que c'était des sortes de punitions.
Mais en comparant les différentes copies des petits graphes je remarquai que certaines parties comportaient des similitudes.
Ici, c'est notre mode de vie les dessins sur la peau... Dès notre naissance, notre histoire se tatoue sur notre épiderme, uniquement avec des dessins.
Mais, cette fois-ci, cela me paraissait louche. J'en avais donc parlé à un copain.
Ce soir, avec mon ami, on avait décidé de sortir en douce pour aller à une fête. Sauf qu'en rentrant, on se fit prendre par la police... On eu le droit à une inspection en règle ! J'avais l'habitude... Ce n'était pas la première fois. Généralement, on se faisait juste gronder et on nous demandait de ne plus recommencer. Mais cette fois, ils mon garder a pu repartir. Je ne savais pas pourquoi ! Mais bon ce n'était pas grave si je pouvais échapper aux disputes continues de mes parents, ça m'arrangeait.
Le lendemain j'eu le droit a une visite d'un médecin et je ne connaissais toujours pas la raison.
Plus les jours avançaient moins je comprenais.
Mes parents venaient me voir et me disaient que je n'avais rien de grave. Mais je voyais bien qu'ils n'en savaient pas plus que moi.
J'avais été déplacé dans un centre et un jour pendant une conversation que les médecins avaient entre eux je crus entendre quelque chose mais je n'étais pas sûr...
Ce soir-là, dans mon lit, je ne trouvais pas le sommeil. Je repensais à la discussion des médecins et je compris qu'ils ne s'intéressaient ni à moi ni à ce que j'avais fait de mal, mais plutôt aux graphes qui devenaient de plus en plus nombreux... Mais pourquoi était-ce aussi important ?
Le lendemain tout sembla normal... jusqu'à la convocation du médecin. Il me demanda de lever ma manche et il se mit à recopier minutieusement les boucles et les barres une par une.
Une fois terminé, il me demanda de soulever mon autre manche et là, sur mon bras, un de mes tatouages s'effaçait, j'écarquillai les yeux. Lui, ne sembla pas si étonné.
Après cette date, les médecins firent beaucoup de recherches.
Ils m'annoncèrent, un jour, que j'avais contribué à une énorme découverte. Mais pour l'instant on arrivait tout juste à déchiffrer tous ces « symboles ». J'eu envie de me marrer comme si ce machin qu'il y avait sur ma peau était déchiffrable. Mais je me retins de rire...
En poursuivant leurs investigations, les médecins ont découvert un autre truc bizarre à partir de ces petites boucles.
Ils ont appelé cela « l'écriture ».
Les chercheurs annoncèrent la nouvelle quelques jours plus tard.
Et depuis, pour ne plus avoir de tatouages nous devions écrire notre histoire. Et c'est ainsi que nous avons commencé à faire apprendre l'écriture à l'école.
Le lendemain j'eu le droit a une visite d'un médecin et je ne connaissais toujours pas la raison.
Plus les jours avançaient moins je comprenais.
Mes parents venaient me voir et me disaient que je n'avais rien de grave. Mais je voyais bien qu'ils n'en savaient pas plus que moi.
J'avais été déplacé dans un centre et un jour pendant une conversation que les médecins avaient entre eux je crus entendre quelque chose mais je n'étais pas sûr...
Ce soir-là, dans mon lit, je ne trouvais pas le sommeil. Je repensais à la discussion des médecins et je compris qu'ils ne s'intéressaient ni à moi ni à ce que j'avais fait de mal, mais plutôt aux graphes qui devenaient de plus en plus nombreux... Mais pourquoi était-ce aussi important ?
Le lendemain tout sembla normal... jusqu'à la convocation du médecin. Il me demanda de lever ma manche et il se mit à recopier minutieusement les boucles et les barres une par une.
Une fois terminé, il me demanda de soulever mon autre manche et là, sur mon bras, un de mes tatouages s'effaçait, j'écarquillai les yeux. Lui, ne sembla pas si étonné.
Après cette date, les médecins firent beaucoup de recherches.
Ils m'annoncèrent, un jour, que j'avais contribué à une énorme découverte. Mais pour l'instant on arrivait tout juste à déchiffrer tous ces « symboles ». J'eu envie de me marrer comme si ce machin qu'il y avait sur ma peau était déchiffrable. Mais je me retins de rire...
En poursuivant leurs investigations, les médecins ont découvert un autre truc bizarre à partir de ces petites boucles.
Ils ont appelé cela « l'écriture ».
Les chercheurs annoncèrent la nouvelle quelques jours plus tard.
Et depuis, pour ne plus avoir de tatouages nous devions écrire notre histoire. Et c'est ainsi que nous avons commencé à faire apprendre l'écriture à l'école.
Nous avons laissé une trace de notre histoire... dans l'histoire...