Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ?Peut être les deux. Je tâche encore de le comprendre.Brusquement j’ai été deplacée d’une obscurité vers la lumière. La lumière se grandissait petit à petit. Je ne savait pas c’est la réalité ou non. Toutes les choses qui m’entouraient étaient tellement réelles. J’ai commencé à marcher. Bien que je ne connus personne, null part, je me sentais tellement à l’aise, tellement confortable que je ne peux pas expliquer avec les mots.Il y avait beaucoup de fleurs de différentes couleurs, de longues cascades, des arbres de fruits et leurs odeurs puissantes m’attiraient beaucoup. Il y avait aussi des chats et les autres animaux avec les ailes. Ils étaient tellement mignons. J’entrais d’une chambre a l’autre .L’une de celles-ci était plus belle que l’autre..Et les personnes étaient habillées en blanc. Dans chaque chambre il y avait de différentes personnes. Dans une « mère et ses enfants », dans l’autre « des amoureux », encore une autre « de proches amis ». Mais il y avait une chambre qui brillait plus que l’autre. En approchent cette chambre la joie s’augmentait, mon coeur se battait plus fortement. Enfin je suis arrivé. J’ai vu un homme de longue taille, très fort, avec une barbe noire. Surtout ses yeux, je ne pouvais pas cesser de les regarder. Ses yeux étaient tellement beaux, brillants, purs. Il était avec une femme et des enfants. Il lisait un livre vert. Sa voix était comme une mélodie, en l’entendant je me sentais tellement bien. C'était comme si le bonheur me tenait dans ses bras. Je regardais tout cela devant le port. Je voulais entrer mais c’était impossible. Il m’a vu et il a sourit. Il ne parlait pas mais il pensait. J’entendais tout ce qu’il pense. En pensant il disait :
« Il est encore trop tôt pour que tu entres ici. Pour que tu puisses entrer tu dois travailler beaucoup sur toi-même. Tu dois te réveiller de ton sommeil de négligence. Tes yeux sont fermés bien que tu penses qu’ils sont ouverts. Tu es dans le noir qui te semble la lumière. Tu dois libérer ton coeur, tes pensées, ton âme. Tu dois libérer tes épaules de la charge qu'ils portent » .
Je l’écoutais trop attentivement en même temps je sentais un chagrin. Je ne voulais pas quitter cette place, ne plus entendre cette voix, ne plus sentir cette joie pure.Je lui ai demandé:
« Est –ce que je peux rester ici un peu plus ? »
Il n’a rien répondu. Il a simplement souri.
La morale de cette histoire c’est que nous ne devons pas seulement penser à ce monde, nous devons aussi travailler pour l'au-delà. Nous devons avoir de bonnes mœurs et de bonnes actions. Tant que nous aurons les yeux sur les biens du monde, tant que nous aurons les yeux affamés de la richesse, alors nous serons vraiment dans l'obscurité éternelle. Ce n’est pas encore tard. Dieu pardonne les péchés. Il est miséricordieux.