«Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'ont fait tous les autres , mais je ne vous appellerai pas maître.» ,disait Mouto lorsque son patron Louis la frappait .
Tout commença dans le Sawaland , pays africain. Mouto jeune femme ayant la trentaine , mère d'un garçon , à la recherche d'emploi pour un devenir meilleur pour sa famille, était chez elle à flâner entre les différentes pièces de la maison sans raison particulière, c'est alors que sa meilleure sa sœur Aya qui l'aidait dans son entreprise arriva à toute hâte à la maison entra d'un bond et cria :«Ma sœur une grande nouvelle , j'ai enfin trouvé solution à tous tes problèmes. J'ai eu le réseau pour le travail» et Mouto en larmes lui répondit :« sérieusement ? Ma sœur Dieu est grand , mon cœur est rempli de joie tellement j'en pleure » ; toutes deux ce sont mises à danser tout en chantant sur une musique religieuse en langue Douala «Buna bwam ! buna bwam . A leè mba tata, kanè, nabwa munèngè buna te ; buna bwam ! buna bwam , bo Yesu nô myobe mam. ». Mais Mouto de se ressaisir et dire :«mais ma sœur tu ne me dis pas tout , où travaillerais-je ? Donnes moi toutes les informations je suis confuse» , Aya répondit :«C'est un travail de ménagère dans des domiciles au Loukstan dans les Emirats Arabes . On te fait ton visa et on paye ton billet d'avion toi tu t'occupes juste de ton passeport , la chance . Tu vas enfin quitter la misère du mboa¹» ; Mouto stupéfaite se demanda vraiment si c'est rassurant de quitter la terre qui l'a vu naître et aller sur un territoire inconnu dont elle ne sait rien, mais revoyant encore sa misère et celle de sa famille par là , elle se dit qu'il faut tenter l'aventure . Et c'est ainsi qu'après avoir entamé les démarches d'obtention de son passeport , elle se mit à préparer psychologiquement sa famille à son départ .Son passeport obtenu , sa valise faite Mouto entra en contact avec l'ambassade du Loukstan et par là même avec l'agence qui aura sa charge. Lundi 09 Mai 2017 à l'aéroport dans la capitale ,c'est le départ , tout le monde est en pleurs , voilà Mouto qui monte à bord de l'avion partagée par la joie de pouvoir construire sa vie et aider sa famille et la tristesse de quitter cette famille et sa terre natale ; 07h15 plus tard c'est l'atterrissage dans la capitale du Loukstan, Oban . Dès la descente de l'avion , la jeune femme est accueillie par les responsables de l'agence de travail qui avait pris contact avec Aya sur les réseaux sociaux quand elle était encore au pays.
(Début du supplice)
Mouto fut placer dans un foyer celui des Tarhùn où elle passa sic mois dans un climat froid , les maîtres de maison à la moindre erreur de la part de Mouto l'assaillaient avec des insultes racistes, des crachats et des gifles la vie là-bas de Mouto oscillait entre surexploitation, maltraitance et violences autant physiques que verbales mais Mouto pu percevoir son salaire durant ce semestre et envoyer à sa famille , un jour son patron la viola Mouto décida de subir car il fallait subvenir aux besoins de sa famille , mais les marques de dédain se poursuivaient alors elle décida de s'en aller , elle fit appel à l'agence qui prit compte sa situation et la plaça dans un second foyer .
Les Ahmed , second foyer où Mouto fut placer durant trois mois avec patronne une femme très jalouse qui voyait Mouto comme une rivale et pourtant Mouto était là pour un but précis assurer le devenir de sa famille , mais la dame du fait sa jalousie à la vue du moindre regard échangé entre Mouto et le patron de mettait en colère , un jour elle fit une crise elle frappa Mouto jusqu'au sang , elle était couverte de bleus et saignait , l'ayant vu dans cet état le patron prit sur lui de mettre Mouto en sécurité , il se mit d'accord avec l'agence qui avait placé Mouto et ils trouvèrent un nouveau lieu de travail . Mouto était tellement en colère d'avoir une fois de plus laisser échapper une chance .
Le domicile de Louis Osman un grand avocat défenseur du droit des femmes mais sous cette couverture il était un pervers et vicieux qui vit en Mouto un nouveau gibier , il l'agressa un soir où elle dormait et il lui dit :«Appelles moi maître , c'est moi qui te paie tu m'appartiens» Mouto choquée répondit virilement :«Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'ont fait tous les autres , mais je ne vous appellerai pas maître.» , énervé monsieur Louis de mit à la cogner au sang avec toute sa colère jusqu'à ce qu'elle s'évanouit. Le jour suivant profitant de l'absence de son patron Mouto décida de survivre, elle fugua et alla se réfugier auprès de son ambassade . Qui décida de l'exiler en Europe pour la protéger de son patron.
( La fin du supplice )
«Aucun homme ne me possède , je suis libre» telle était le slogan de Mouto . Le divin l'a toujours protégée. Mouto avait dû subir énormément de sévices et en était toujours traumatisée , elle s'est battue pour survivre et faire survivre sa famille. Son parcours aux Emirats Arabes entre violences physiques et verbales , souffrance mais Mouto a su garder sa dignité, elle a su sauver son honneur et le devenir de sa famille en même temps elle n'a pas eu à choisir même si elle reste traumatisée. Elle s'engagea dans la cause féministe pour la protection des femmes sans voie et vulnérables , Mouto était heureuse de contribuer à la régression du phénomène d'exploitation des femmes en pousse surtout celles de couleur noire. La suite s'annonçait radieuse et plus que laborieuse .
¹-Mboa – pays en Douala
Par Ekwalla Mouen Leonel Christian
Tout commença dans le Sawaland , pays africain. Mouto jeune femme ayant la trentaine , mère d'un garçon , à la recherche d'emploi pour un devenir meilleur pour sa famille, était chez elle à flâner entre les différentes pièces de la maison sans raison particulière, c'est alors que sa meilleure sa sœur Aya qui l'aidait dans son entreprise arriva à toute hâte à la maison entra d'un bond et cria :«Ma sœur une grande nouvelle , j'ai enfin trouvé solution à tous tes problèmes. J'ai eu le réseau pour le travail» et Mouto en larmes lui répondit :« sérieusement ? Ma sœur Dieu est grand , mon cœur est rempli de joie tellement j'en pleure » ; toutes deux ce sont mises à danser tout en chantant sur une musique religieuse en langue Douala «Buna bwam ! buna bwam . A leè mba tata, kanè, nabwa munèngè buna te ; buna bwam ! buna bwam , bo Yesu nô myobe mam. ». Mais Mouto de se ressaisir et dire :«mais ma sœur tu ne me dis pas tout , où travaillerais-je ? Donnes moi toutes les informations je suis confuse» , Aya répondit :«C'est un travail de ménagère dans des domiciles au Loukstan dans les Emirats Arabes . On te fait ton visa et on paye ton billet d'avion toi tu t'occupes juste de ton passeport , la chance . Tu vas enfin quitter la misère du mboa¹» ; Mouto stupéfaite se demanda vraiment si c'est rassurant de quitter la terre qui l'a vu naître et aller sur un territoire inconnu dont elle ne sait rien, mais revoyant encore sa misère et celle de sa famille par là , elle se dit qu'il faut tenter l'aventure . Et c'est ainsi qu'après avoir entamé les démarches d'obtention de son passeport , elle se mit à préparer psychologiquement sa famille à son départ .Son passeport obtenu , sa valise faite Mouto entra en contact avec l'ambassade du Loukstan et par là même avec l'agence qui aura sa charge. Lundi 09 Mai 2017 à l'aéroport dans la capitale ,c'est le départ , tout le monde est en pleurs , voilà Mouto qui monte à bord de l'avion partagée par la joie de pouvoir construire sa vie et aider sa famille et la tristesse de quitter cette famille et sa terre natale ; 07h15 plus tard c'est l'atterrissage dans la capitale du Loukstan, Oban . Dès la descente de l'avion , la jeune femme est accueillie par les responsables de l'agence de travail qui avait pris contact avec Aya sur les réseaux sociaux quand elle était encore au pays.
(Début du supplice)
Mouto fut placer dans un foyer celui des Tarhùn où elle passa sic mois dans un climat froid , les maîtres de maison à la moindre erreur de la part de Mouto l'assaillaient avec des insultes racistes, des crachats et des gifles la vie là-bas de Mouto oscillait entre surexploitation, maltraitance et violences autant physiques que verbales mais Mouto pu percevoir son salaire durant ce semestre et envoyer à sa famille , un jour son patron la viola Mouto décida de subir car il fallait subvenir aux besoins de sa famille , mais les marques de dédain se poursuivaient alors elle décida de s'en aller , elle fit appel à l'agence qui prit compte sa situation et la plaça dans un second foyer .
Les Ahmed , second foyer où Mouto fut placer durant trois mois avec patronne une femme très jalouse qui voyait Mouto comme une rivale et pourtant Mouto était là pour un but précis assurer le devenir de sa famille , mais la dame du fait sa jalousie à la vue du moindre regard échangé entre Mouto et le patron de mettait en colère , un jour elle fit une crise elle frappa Mouto jusqu'au sang , elle était couverte de bleus et saignait , l'ayant vu dans cet état le patron prit sur lui de mettre Mouto en sécurité , il se mit d'accord avec l'agence qui avait placé Mouto et ils trouvèrent un nouveau lieu de travail . Mouto était tellement en colère d'avoir une fois de plus laisser échapper une chance .
Le domicile de Louis Osman un grand avocat défenseur du droit des femmes mais sous cette couverture il était un pervers et vicieux qui vit en Mouto un nouveau gibier , il l'agressa un soir où elle dormait et il lui dit :«Appelles moi maître , c'est moi qui te paie tu m'appartiens» Mouto choquée répondit virilement :«Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'ont fait tous les autres , mais je ne vous appellerai pas maître.» , énervé monsieur Louis de mit à la cogner au sang avec toute sa colère jusqu'à ce qu'elle s'évanouit. Le jour suivant profitant de l'absence de son patron Mouto décida de survivre, elle fugua et alla se réfugier auprès de son ambassade . Qui décida de l'exiler en Europe pour la protéger de son patron.
( La fin du supplice )
«Aucun homme ne me possède , je suis libre» telle était le slogan de Mouto . Le divin l'a toujours protégée. Mouto avait dû subir énormément de sévices et en était toujours traumatisée , elle s'est battue pour survivre et faire survivre sa famille. Son parcours aux Emirats Arabes entre violences physiques et verbales , souffrance mais Mouto a su garder sa dignité, elle a su sauver son honneur et le devenir de sa famille en même temps elle n'a pas eu à choisir même si elle reste traumatisée. Elle s'engagea dans la cause féministe pour la protection des femmes sans voie et vulnérables , Mouto était heureuse de contribuer à la régression du phénomène d'exploitation des femmes en pousse surtout celles de couleur noire. La suite s'annonçait radieuse et plus que laborieuse .
¹-Mboa – pays en Douala
Par Ekwalla Mouen Leonel Christian