Ma LIBERTÉ, mon DROIT!

Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître.
Je ne servirai pas votre détestable orgueil sans bornes qui vous a rendu si aveugle que vous vous êtes cru supérieur. Cette arrogance, qui est plus de l'inimitié en vrai, dont vous faites preuve, vous laisse si bas que je ne me vois m'abaisser jusque là. Vous pouvez, oui, toujours essayer, mais tout homme qui essaiera de me voler ma dignité perdra. Aucune tyrannie ne saura désormais m'asservir. Désolé, mais devant vous, jamais plus je ne plierai le genou.