Sa bouche fraîche et vermeille dansait sur les belles mélodies que composait sa langue . Son accent aussi captivant que sa voix pourrait même faire rougir les dieux . Cette créature divine est ma patronne . Je pourrais faire du bénévole pour son entreprise s'il le faut . Pour moi , la voir quotidiennement vaut plus que des milliards de billet de banque .
- Mr Laurent vous me semblez distraire .
Sa remarque ramena mon esprit .
Je m' excusais et eu à nouveau une énième fois la bénédiction de l'écouter et d'admirer sa beauté troublante .
La journée fut très courte comme tous les autres jours où ma chef fut présente au service . Je maudis ces journées kilométrique où madame s' absentait . Aujourd'hui en rentrant , elle fit tomber sa chaîne , elle ne le su pas . J' inhalais l'odeur de la chaîne , son parfum qui avait le don de réveiller mes sens y était condamné .
Je ne su pas par quel magie je me retrouvais chez elle .
Elle était dans la cuisine , une vraie femme callipyge , elle épulchait des oignons . Quelques chose captivait mon attention,y avait des larmes qui s'échappaient de ses yeux . Ce n'était pas les oignons qui en étaient la cause mais plutôt autre chose . La porte de la cuisine s'ouvrit brusquement , je tiquais, elle même d'ailleurs . C'était un homme au corps d'athlète qui venait de faire son entré .
- Donc comme ça tu ne vas pas confier l'entreprise à ton frère pour t' occuper de la maison , hurla l'homme .
Elle l'ignorait royalement .
- N' est ce pas à toi je m'adresse ? T ' as oublié la correction que je t'ai donné hier ? , il l'a tourna par le bras pour qu'elle lui fit face . Elle reçu une ,deux , trois gifles en une fraction de seconde . Je me jetais instinctivement sur l'homme mais malheureusement je passais à travers son corps . J'étais impuissant .
- Lâche là... , criais je mais il ne pouvait m'entendre .
Elle pleurait , se debattait , cet ogre était imperturbable il n'entendait même pas ces supplications , il continuait à la battre . Je cherchais une solution désespérément .
Je reçu une claque qui me transporta chez moi .
- Ton problème se trouve où ? Pourquoi tu me gifle en plein sommeil ? .
C'était ma sœur , elle me fit comprendre que j' hurlais le nom de ma patronne . J'avais toujours sa chaîne dans la main . Je pris avec empressement mon téléphone pour l'appeler . Troisième appel mais elle ne décrochait pas . Il fesait un peu tard mais le cauchemar que j'avais fait me semblait tellement vrai . Je n'avais aucune idée de là où elle résidait .
Nouvelle journée , je me rendis au service plus tôt que de coutume . Il sonnait 10h avant que Madame fit son apparition . Elle me demandait de la rejoindre dans son bureau . J' eu une boule de peur dans le ventre .
Je rentrais dans la pièce , elle rangeait quelques documents qui étaient éparpillés .
- Tu peux t'asseoir , fit elle sans me regarder .
J' exécutais , pour la première fois je la trouvais bizarre . Je voulu lui demander si tout allait bien .
Elle pris place sur son siège, puis s'excusa de n'avoir pas pris mes appels hier .
- Pourrais tu m'accompagner au poste de police ? .
Sa demande me surpris autant que le mot " Police " .
- Y a t'il un problème Madame ?
Elle me répondit après une minute de silence, je sentis qu'elle combattait contre des larmes rebelles qui voulaient dévoiler le degré de son mal être .
- Il est temps que je fasse ce qui est juste !
- Mr Laurent vous me semblez distraire .
Sa remarque ramena mon esprit .
Je m' excusais et eu à nouveau une énième fois la bénédiction de l'écouter et d'admirer sa beauté troublante .
La journée fut très courte comme tous les autres jours où ma chef fut présente au service . Je maudis ces journées kilométrique où madame s' absentait . Aujourd'hui en rentrant , elle fit tomber sa chaîne , elle ne le su pas . J' inhalais l'odeur de la chaîne , son parfum qui avait le don de réveiller mes sens y était condamné .
Je ne su pas par quel magie je me retrouvais chez elle .
Elle était dans la cuisine , une vraie femme callipyge , elle épulchait des oignons . Quelques chose captivait mon attention,y avait des larmes qui s'échappaient de ses yeux . Ce n'était pas les oignons qui en étaient la cause mais plutôt autre chose . La porte de la cuisine s'ouvrit brusquement , je tiquais, elle même d'ailleurs . C'était un homme au corps d'athlète qui venait de faire son entré .
- Donc comme ça tu ne vas pas confier l'entreprise à ton frère pour t' occuper de la maison , hurla l'homme .
Elle l'ignorait royalement .
- N' est ce pas à toi je m'adresse ? T ' as oublié la correction que je t'ai donné hier ? , il l'a tourna par le bras pour qu'elle lui fit face . Elle reçu une ,deux , trois gifles en une fraction de seconde . Je me jetais instinctivement sur l'homme mais malheureusement je passais à travers son corps . J'étais impuissant .
- Lâche là... , criais je mais il ne pouvait m'entendre .
Elle pleurait , se debattait , cet ogre était imperturbable il n'entendait même pas ces supplications , il continuait à la battre . Je cherchais une solution désespérément .
Je reçu une claque qui me transporta chez moi .
- Ton problème se trouve où ? Pourquoi tu me gifle en plein sommeil ? .
C'était ma sœur , elle me fit comprendre que j' hurlais le nom de ma patronne . J'avais toujours sa chaîne dans la main . Je pris avec empressement mon téléphone pour l'appeler . Troisième appel mais elle ne décrochait pas . Il fesait un peu tard mais le cauchemar que j'avais fait me semblait tellement vrai . Je n'avais aucune idée de là où elle résidait .
Nouvelle journée , je me rendis au service plus tôt que de coutume . Il sonnait 10h avant que Madame fit son apparition . Elle me demandait de la rejoindre dans son bureau . J' eu une boule de peur dans le ventre .
Je rentrais dans la pièce , elle rangeait quelques documents qui étaient éparpillés .
- Tu peux t'asseoir , fit elle sans me regarder .
J' exécutais , pour la première fois je la trouvais bizarre . Je voulu lui demander si tout allait bien .
Elle pris place sur son siège, puis s'excusa de n'avoir pas pris mes appels hier .
- Pourrais tu m'accompagner au poste de police ? .
Sa demande me surpris autant que le mot " Police " .
- Y a t'il un problème Madame ?
Elle me répondit après une minute de silence, je sentis qu'elle combattait contre des larmes rebelles qui voulaient dévoiler le degré de son mal être .
- Il est temps que je fasse ce qui est juste !