Ça a duré une bonne minute. Une vraie minute. Une éternité. Le monde semblait s'arrêter de tourner alors que mes yeux étaient rivés sur Priscille. Dans cette fraction de temps, tout ce qui m'entourait s'estompa, ne laissant place qu'à sa présence envoûtante.
Nous étions dans un café, assis à une table isolée, mais pour moi, il n'y avait rien d'autre que Priscille. Son sourire radieux éclairait la pièce et attirait tous les regards. Chacun de ses gestes était empreint de grâce et d'élégance, captivant mon attention comme un aimant.
Pendant cette minute qui semblait durer une éternité, je me suis perdu dans ses yeux pétillants. Ils étaient comme des étoiles scintillantes dans un ciel nocturne, illuminant ma vie de mille feux. Leur douceur me plongeait dans un océan de tendresse.
Puis, mon regard glissa le long de sa peau si douce. Chaque courbe de son visage était sculptée avec une perfection divine, faisant d'elle une véritable œuvre d'art vivante. Ses cheveux, cascades de séduction, encadraient son visage angélique avec élégance, ajoutant à sa beauté déjà éblouissante une teinte radieuse.
Mais au-delà de sa beauté extérieure, ce qui rendait cette minute si précieuse était sa pureté d'âme et sa bienveillance que je m'imaginais.
Alors que la minute touchait à sa fin, j'eux entrepris de la saluer et lui dire d'une voix rythmique comme un slameur : " Priscille, tu es la définition même de la beauté, une muse qui inspire mes pensées les plus profondes. Je suis béni de m'asseoir à tes côtés. Ta beauté est un trésor que je chérirai pour toujours."
Je répétais, je répétais mille fois cette phrase. Je ne savais pas si cette répétition avait pour but de mémoriser la phrase ou d'apaiser ma peur. Est-ce que j'avais peur de lui parler ? Oui et non! J'avais peur de lui parler car elle était une créature exceptionnelle, unique de son genre. Je ne croyais pas si Dieu pouvait m'accorder cette chance. Dans l'autre fond de moi je n'avais pas peur, car je voyais la sensation salvatrice de mon être au point d'être comblée. J'étais certain que dès que je la saluerai et que je lui dirai la phrase que je répétais, elle sautera sur moi. C'était vraiment ma conviction.
Je me sous-estimais devant sa présence. J'avais l'idée que toute chose qui touchait son être vallait de l'or. À l'écoulement de cette minute, je voulais jouir du moment en contemplant son apparence. Je voulais lui parler, peut-être aussi la draguer mais pourvu qu'elle devienne qui à mon égard ? Parce que pour être franc, je ne méritais pas être une personne à qui elle pouvait compter. Je n'étais pas son semblable, oui c'est évident. Elle était une femme et moi un homme. Après avoir reconnu que je pouvais exprimer mon opinion et que j'étais libre d'exprimer mon admiration et de dire à une personne c'est que je ressentais pour elle, je pris le courage, je la regardai et lui dit: " Salue Priscille..." Par la suite je fus déçu non par le silence qui régnait à mon entourage, mais puisque je venais de me rendre compte que personne n'était devant moi. J'étais à ma table en train de me faire des illusions. Priscille n'a jamais existé.
Nous étions dans un café, assis à une table isolée, mais pour moi, il n'y avait rien d'autre que Priscille. Son sourire radieux éclairait la pièce et attirait tous les regards. Chacun de ses gestes était empreint de grâce et d'élégance, captivant mon attention comme un aimant.
Pendant cette minute qui semblait durer une éternité, je me suis perdu dans ses yeux pétillants. Ils étaient comme des étoiles scintillantes dans un ciel nocturne, illuminant ma vie de mille feux. Leur douceur me plongeait dans un océan de tendresse.
Puis, mon regard glissa le long de sa peau si douce. Chaque courbe de son visage était sculptée avec une perfection divine, faisant d'elle une véritable œuvre d'art vivante. Ses cheveux, cascades de séduction, encadraient son visage angélique avec élégance, ajoutant à sa beauté déjà éblouissante une teinte radieuse.
Mais au-delà de sa beauté extérieure, ce qui rendait cette minute si précieuse était sa pureté d'âme et sa bienveillance que je m'imaginais.
Alors que la minute touchait à sa fin, j'eux entrepris de la saluer et lui dire d'une voix rythmique comme un slameur : " Priscille, tu es la définition même de la beauté, une muse qui inspire mes pensées les plus profondes. Je suis béni de m'asseoir à tes côtés. Ta beauté est un trésor que je chérirai pour toujours."
Je répétais, je répétais mille fois cette phrase. Je ne savais pas si cette répétition avait pour but de mémoriser la phrase ou d'apaiser ma peur. Est-ce que j'avais peur de lui parler ? Oui et non! J'avais peur de lui parler car elle était une créature exceptionnelle, unique de son genre. Je ne croyais pas si Dieu pouvait m'accorder cette chance. Dans l'autre fond de moi je n'avais pas peur, car je voyais la sensation salvatrice de mon être au point d'être comblée. J'étais certain que dès que je la saluerai et que je lui dirai la phrase que je répétais, elle sautera sur moi. C'était vraiment ma conviction.
Je me sous-estimais devant sa présence. J'avais l'idée que toute chose qui touchait son être vallait de l'or. À l'écoulement de cette minute, je voulais jouir du moment en contemplant son apparence. Je voulais lui parler, peut-être aussi la draguer mais pourvu qu'elle devienne qui à mon égard ? Parce que pour être franc, je ne méritais pas être une personne à qui elle pouvait compter. Je n'étais pas son semblable, oui c'est évident. Elle était une femme et moi un homme. Après avoir reconnu que je pouvais exprimer mon opinion et que j'étais libre d'exprimer mon admiration et de dire à une personne c'est que je ressentais pour elle, je pris le courage, je la regardai et lui dit: " Salue Priscille..." Par la suite je fus déçu non par le silence qui régnait à mon entourage, mais puisque je venais de me rendre compte que personne n'était devant moi. J'étais à ma table en train de me faire des illusions. Priscille n'a jamais existé.