Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? peut-être les deux. Peut-être aussi que je ne suis pas du tout. Ne suis-je rien ? Suis-je donc mort ? Mais à la fin, je vis non ! Sinon je n’allais pas me poser toutes ses questions ridicules. Suis-je devenu fou ? Mais... Pourquoi je pense alors ? Je suis sûr qu’un fou ne pense pas. Hm ! Je sais... Peut-être que ça arrive à tout le monde de se poser ces genres questions. Mais... Est-ce que tout le monde y répond ? C’est sûr qu’on n’est pas obligé d’y répondre, ça ne sert à rien de répondre à soi-même. Mais... Ça sert peut-être à quelque chose, personne n’aimerait être ignorant de lui-même de toutes les façons.
Et toutes ces grandes capacités, ces grosses visions que je sens en moi, pourquoi je n’arrive pas à m’émanciper ? Et ce dieu que je vois en moi, pourquoi je me sens toujours limiter ? J’ai peur, qui suis-je ? Suis-je dans un coma ? Je dois reprendre mes sens, comprendre ce qui m’arrive, me reconnaitre, je ne suis pas moi, je ne me reconnais pas.
La vérité m’échappe encore et toujours, on dirait qu’elle ne m’est pas destinée et pourtant elle semble bel et bien être en moi. Elle cache en moi un moi que je n’arrive pas à dénicher. Je vois... Il y a un Être qui me contrôle, sinon, je devrais comprendre. Et si je suis contrôlé ? Ça crain ! Pourquoi diable je ne comprends rien ? Mais... S’il me contrôle vraiment ? Rien, et absolument rien n’est alors venu de moi, tout a été comme préparé et planifié par lui, tout ! Pourquoi a-t-il alors voulu que je le sache ? Pourquoi ne s’est-il pas présenté à moi ? Qui est-il ? Mais... Si j’étais contrôlé, je n’aurais pas de choix non ? pourtant j’en ai. Je ne suis donc pas contrôlé mais je ne comprends toujours pas ce qui m’arrive.
Ces questions me tourmentent, j’ai horreur des questions, ma tête tourne, je suis perdu. Et toutes ces idées, d’où viennent-elles ? Je le sens, elles ne viennent pas de moi, quelqu’un me les dicte, où est-il ? Oui, il est en moi, mais où ? Humm ! Il me faut plus de temps, je dois trouver ma vraie identité, ma vraie vie, mon existence et le sens de tout ce qui m’arrive, je dois me révéler a moi-même, je dois me découvrir.
Et si je n’existais pas encore ? C’est drôle mais si la vraie vie ne commence qu’a la mort, que celle que je pense être vie n’est qu’en définitive qu’une introduction de la vraie vie, un peu comme un long rêve qui prend fin quand on meurt ; et là, on commence à vivre réellement. Alors peu importe ce qui m’arrive, ce n’est qu’un rêve... Je ne peux donc rien comprendre vu que je suis toujours du côté de ceux qui rêvaient, du mauvais côté. Comment faire ? Comment arriverai-je à me convaincre que j’existe vraiment ? Je me dois de croire en mon existence et la rechercher.
Quel fou je suis, personne n’a jamais eu d’idée de rechercher l’existence, c’est clair qu’on ne cherche pas une chose qu’on a déjà, à moins qu’on l’ait perdue et on ne peut pas non plus perdre quelque chose qu’on n’a jamais eu avant... Humm ! J’ai peut-être le début de la réponse à mon énigme :
donc je dois trouver une réalité qui me définit ou qui définit ma vie mais que je n’ai jamais sue,
Je sais... Je dois chercher en moi une réalité de ma vie que je n’ai jamais connue, Je suis moi, je me connais et pourtant je me pose des questions sur moi-même, peut-être parce que seul moi-même je connais vraiment bien ; et je me connais bien pour comprendre qu’il y un autre moi en moi. Peut-être que c’est lui qui veut tout ça, que je le rencontre. Je dois donc trouver ce moi en moi qui me parle ? Je dois me retrouver en moi-même. C’est donc ça mon existence ?
Cette voix n’est pas rien alors, je l’ai toujours ignorée. Elle me parle toujours comme si elle savait bien de quoi j’étais fait, comme si elle me faisait voir qui j’étais. Si l’existence reste cacher en moi sans que je ne le sache, pour quoi je vis alors ? Je vis donc en m’ignorant moi-même ? Je ne vis alors qu’une partie de moi, elle n’a jamais disparu mais je ne l’ai jamais connue. Je prends pourtant mes propres décisions, quoi ? C’est lui qui les prend à ma place ? J’en étais sûr, toutes ces idées ne venaient pas de moi. C’était lui depuis le début, le moi en moi. Mais est-il limité qu’à ça ?
Vu que cette voix vient de moi mais sans être vraiment moi, un autre moi, elle doit venir alors de quelque part en moi, il y a donc un petit monde en moi parce que, si cette voix venait vraiment de moi, pourquoi je doutais ? Le fait de douter prouve que cette voix vient de quelqu’un d’autre, mais de quelqu’un d’autre qui est en moi. C’est absurde ! J’essaye de me faire croire en quelque chose parce que je manque de réponse. Mais... C’est bien ! C’est tout ce qu’il faut faire. Tout n’est que croyance ! Je l’ai... L’énigme est une croyance qui est en moi, qui me définit mais que j’ignore, il ne s’agit donc pas d’une réalité, c’est d’une croyance qu’il s’agit.
Je dois revoir mes croyances, croire qu’à ce que le moi me dit, lui ne vit pas dans l’illusion du monde, il a son monde en moi, et donc il connait tout moi, de quoi je suis capable, mes défauts et mes qualités, mes maux et joies, mes bonheurs et malheurs... Mais ne connait jamais mes doutes, celles-là, je sais qu’elles viennent de ce que le monde m’impose. Il y a donc un dieu en moi, je suis dieu en moi-même. C’est donc ça l’énigme ! Mais... En quoi tout ça a à voir avec l’existence ?
Je sais, en fait je crois... L’existence est la croyance même, celui qui crois existe et pour croire, il faut avoir quelque chose ou quelqu’un ou alors une réalité en qui ou en quoi croire. Je suis constitué de deux moi, le dieu et l’humain. Jusqu’à ce que je prenne conscience de cela, je vivais une seule facette de moi, de fois les deux. Je pensais savoir ou ne pas savoir pourtant je sais tout. C’est de ça que je crois maintenant.
Et toutes ces grandes capacités, ces grosses visions que je sens en moi, pourquoi je n’arrive pas à m’émanciper ? Et ce dieu que je vois en moi, pourquoi je me sens toujours limiter ? J’ai peur, qui suis-je ? Suis-je dans un coma ? Je dois reprendre mes sens, comprendre ce qui m’arrive, me reconnaitre, je ne suis pas moi, je ne me reconnais pas.
La vérité m’échappe encore et toujours, on dirait qu’elle ne m’est pas destinée et pourtant elle semble bel et bien être en moi. Elle cache en moi un moi que je n’arrive pas à dénicher. Je vois... Il y a un Être qui me contrôle, sinon, je devrais comprendre. Et si je suis contrôlé ? Ça crain ! Pourquoi diable je ne comprends rien ? Mais... S’il me contrôle vraiment ? Rien, et absolument rien n’est alors venu de moi, tout a été comme préparé et planifié par lui, tout ! Pourquoi a-t-il alors voulu que je le sache ? Pourquoi ne s’est-il pas présenté à moi ? Qui est-il ? Mais... Si j’étais contrôlé, je n’aurais pas de choix non ? pourtant j’en ai. Je ne suis donc pas contrôlé mais je ne comprends toujours pas ce qui m’arrive.
Ces questions me tourmentent, j’ai horreur des questions, ma tête tourne, je suis perdu. Et toutes ces idées, d’où viennent-elles ? Je le sens, elles ne viennent pas de moi, quelqu’un me les dicte, où est-il ? Oui, il est en moi, mais où ? Humm ! Il me faut plus de temps, je dois trouver ma vraie identité, ma vraie vie, mon existence et le sens de tout ce qui m’arrive, je dois me révéler a moi-même, je dois me découvrir.
Et si je n’existais pas encore ? C’est drôle mais si la vraie vie ne commence qu’a la mort, que celle que je pense être vie n’est qu’en définitive qu’une introduction de la vraie vie, un peu comme un long rêve qui prend fin quand on meurt ; et là, on commence à vivre réellement. Alors peu importe ce qui m’arrive, ce n’est qu’un rêve... Je ne peux donc rien comprendre vu que je suis toujours du côté de ceux qui rêvaient, du mauvais côté. Comment faire ? Comment arriverai-je à me convaincre que j’existe vraiment ? Je me dois de croire en mon existence et la rechercher.
Quel fou je suis, personne n’a jamais eu d’idée de rechercher l’existence, c’est clair qu’on ne cherche pas une chose qu’on a déjà, à moins qu’on l’ait perdue et on ne peut pas non plus perdre quelque chose qu’on n’a jamais eu avant... Humm ! J’ai peut-être le début de la réponse à mon énigme :
donc je dois trouver une réalité qui me définit ou qui définit ma vie mais que je n’ai jamais sue,
Je sais... Je dois chercher en moi une réalité de ma vie que je n’ai jamais connue, Je suis moi, je me connais et pourtant je me pose des questions sur moi-même, peut-être parce que seul moi-même je connais vraiment bien ; et je me connais bien pour comprendre qu’il y un autre moi en moi. Peut-être que c’est lui qui veut tout ça, que je le rencontre. Je dois donc trouver ce moi en moi qui me parle ? Je dois me retrouver en moi-même. C’est donc ça mon existence ?
Cette voix n’est pas rien alors, je l’ai toujours ignorée. Elle me parle toujours comme si elle savait bien de quoi j’étais fait, comme si elle me faisait voir qui j’étais. Si l’existence reste cacher en moi sans que je ne le sache, pour quoi je vis alors ? Je vis donc en m’ignorant moi-même ? Je ne vis alors qu’une partie de moi, elle n’a jamais disparu mais je ne l’ai jamais connue. Je prends pourtant mes propres décisions, quoi ? C’est lui qui les prend à ma place ? J’en étais sûr, toutes ces idées ne venaient pas de moi. C’était lui depuis le début, le moi en moi. Mais est-il limité qu’à ça ?
Vu que cette voix vient de moi mais sans être vraiment moi, un autre moi, elle doit venir alors de quelque part en moi, il y a donc un petit monde en moi parce que, si cette voix venait vraiment de moi, pourquoi je doutais ? Le fait de douter prouve que cette voix vient de quelqu’un d’autre, mais de quelqu’un d’autre qui est en moi. C’est absurde ! J’essaye de me faire croire en quelque chose parce que je manque de réponse. Mais... C’est bien ! C’est tout ce qu’il faut faire. Tout n’est que croyance ! Je l’ai... L’énigme est une croyance qui est en moi, qui me définit mais que j’ignore, il ne s’agit donc pas d’une réalité, c’est d’une croyance qu’il s’agit.
Je dois revoir mes croyances, croire qu’à ce que le moi me dit, lui ne vit pas dans l’illusion du monde, il a son monde en moi, et donc il connait tout moi, de quoi je suis capable, mes défauts et mes qualités, mes maux et joies, mes bonheurs et malheurs... Mais ne connait jamais mes doutes, celles-là, je sais qu’elles viennent de ce que le monde m’impose. Il y a donc un dieu en moi, je suis dieu en moi-même. C’est donc ça l’énigme ! Mais... En quoi tout ça a à voir avec l’existence ?
Je sais, en fait je crois... L’existence est la croyance même, celui qui crois existe et pour croire, il faut avoir quelque chose ou quelqu’un ou alors une réalité en qui ou en quoi croire. Je suis constitué de deux moi, le dieu et l’humain. Jusqu’à ce que je prenne conscience de cela, je vivais une seule facette de moi, de fois les deux. Je pensais savoir ou ne pas savoir pourtant je sais tout. C’est de ça que je crois maintenant.