Nouvelles
2 min
Université Général Lansana Conté de Sonfonia
Les ténèbres dans la banlieue de Conakry
« Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les deux. »
Dans la banlieue, main dans la main femmes, vieux et enfants vivaient dans la joie. Une joie pleine de bonté, on s’aimait entre nous on jouait ensemble et il y’avait de la joie chez les citoyens de la banlieue et moi j’étais très content par ce que je suis un fils de la banlieue.
Un jour les choses dégénèrent dans la cité de joie et la banlieue de joie redevienne les ténèbres de la banlieue de Conakry, Car nous vivons plus dans la joie, les enfants, les femmes et les vieux sont traumatisés par les cris tirés par des loups féroces prêt à en finir avec les enfants qui vivaient autrement dans la citée de joie. Notre cité de la joie n’existe plus car, il suffit un petit remous dans la citée pour s’en prendre aux enfants, femmes et vieux nous tué était pour eux un trophée remporté dans une guerre.
Ceux qui censé nous protégé contre ces exactions passaient leurs temps à nous traiter des diables qui ne respectent la dictature imposée par les despotes. Ils nous assassinés, violés, maltraités et oppressé par la présence des PA qui sont caractérisés par l’ignorance et la haine.
En 2011, alors que j’étais sorti pour une manifestation dans la citée qui était autrement une citée de la joie, j’ai frôlé le pur des choses en échappant de justesse à la mort car deux balles sont passés au-dessus moi et j’ai entendu leurs bruits, soudainement je voie à 20 mètre de moi une personne étalée au sol en train d’agonisé car, il vient de recevoir une balle en pleine poitrine et ce aussi j’ai vu un enfant qui vivaient autrement dans la citée de joie se faire assassiné sous mon regard. Ce jour, je me suis sentit coupable de choses qui se passent dans ma citée qui était autrement une citée de la joie.
Un jour, nous étions arrivés au bord de la route le prince et c’était une nouvelle manifestation, nous nous sommes dirigé vers le grand rondpoint « des jeunes martyres » où il y’avait une très grande ambiance ; tout le monde chanté et dansé et j’ai retrouvé ma citée de joie ce quelques instants, j’ai oublié mes peins et c’est sans pour autant pensé que c’est une joie brusque. On attendait les leaders pour se dirigé vers le point de ralliement. Quelques instants après nous leurs voyons arriver et c’était l’euphorie totale chez les enfants, les femmes et les vieux ; en compagnie des leaders nous nous dirigé vers le lieu des martyres avec une foule immense qui scandé, chanté et dansé. Arriver au siège des jaunes, nous avons trouvé une ligne noire et verte qui avaient à sa possession des bruits terrifiants. L’utilisation de ces bruits nous a dispersé et nous nous sommes avec les amis, ma joie a été une courte durée car, il y’a le retour des loups féroces parmi les citoyens de ma citée.
Chaque manifestants, les loups féroce nous endeuilles, des femmes, des femmes et des vieux sont assassinés dans ma citée et d’autre emprisonné il y’a un adage peule qui dit « Pötö pötö kö hako ginbhal » c’est à dire pousse toi, pousse toi c’est jusqu’au mûr ; arriver là-bas c’est la réplique. Un jour ou l’autre nous serons les gagnants enfants de la citée.
Je me pose la question de savoir quand est ce que la joie reviendra dans ma citée ?
Dans la banlieue, main dans la main femmes, vieux et enfants vivaient dans la joie. Une joie pleine de bonté, on s’aimait entre nous on jouait ensemble et il y’avait de la joie chez les citoyens de la banlieue et moi j’étais très content par ce que je suis un fils de la banlieue.
Un jour les choses dégénèrent dans la cité de joie et la banlieue de joie redevienne les ténèbres de la banlieue de Conakry, Car nous vivons plus dans la joie, les enfants, les femmes et les vieux sont traumatisés par les cris tirés par des loups féroces prêt à en finir avec les enfants qui vivaient autrement dans la citée de joie. Notre cité de la joie n’existe plus car, il suffit un petit remous dans la citée pour s’en prendre aux enfants, femmes et vieux nous tué était pour eux un trophée remporté dans une guerre.
Ceux qui censé nous protégé contre ces exactions passaient leurs temps à nous traiter des diables qui ne respectent la dictature imposée par les despotes. Ils nous assassinés, violés, maltraités et oppressé par la présence des PA qui sont caractérisés par l’ignorance et la haine.
En 2011, alors que j’étais sorti pour une manifestation dans la citée qui était autrement une citée de la joie, j’ai frôlé le pur des choses en échappant de justesse à la mort car deux balles sont passés au-dessus moi et j’ai entendu leurs bruits, soudainement je voie à 20 mètre de moi une personne étalée au sol en train d’agonisé car, il vient de recevoir une balle en pleine poitrine et ce aussi j’ai vu un enfant qui vivaient autrement dans la citée de joie se faire assassiné sous mon regard. Ce jour, je me suis sentit coupable de choses qui se passent dans ma citée qui était autrement une citée de la joie.
Un jour, nous étions arrivés au bord de la route le prince et c’était une nouvelle manifestation, nous nous sommes dirigé vers le grand rondpoint « des jeunes martyres » où il y’avait une très grande ambiance ; tout le monde chanté et dansé et j’ai retrouvé ma citée de joie ce quelques instants, j’ai oublié mes peins et c’est sans pour autant pensé que c’est une joie brusque. On attendait les leaders pour se dirigé vers le point de ralliement. Quelques instants après nous leurs voyons arriver et c’était l’euphorie totale chez les enfants, les femmes et les vieux ; en compagnie des leaders nous nous dirigé vers le lieu des martyres avec une foule immense qui scandé, chanté et dansé. Arriver au siège des jaunes, nous avons trouvé une ligne noire et verte qui avaient à sa possession des bruits terrifiants. L’utilisation de ces bruits nous a dispersé et nous nous sommes avec les amis, ma joie a été une courte durée car, il y’a le retour des loups féroces parmi les citoyens de ma citée.
Chaque manifestants, les loups féroce nous endeuilles, des femmes, des femmes et des vieux sont assassinés dans ma citée et d’autre emprisonné il y’a un adage peule qui dit « Pötö pötö kö hako ginbhal » c’est à dire pousse toi, pousse toi c’est jusqu’au mûr ; arriver là-bas c’est la réplique. Un jour ou l’autre nous serons les gagnants enfants de la citée.
Je me pose la question de savoir quand est ce que la joie reviendra dans ma citée ?