— Bon, je vous préviens les filles, demain c'est le grand jour ! Demain c'est la première fois que nous affronterons les Valseuses de Brest ! Vous connaissez leur réputation ! Demain c'est un match de ligue 1 ! Nous devrons donner tout ce que nous avons en nous, et si ça ne suffit pas, nous puiserons encore plus loin, jusqu'à nos dernières ressources ! Demain, nous donnerons tout ce que nous avons, et même plus, c'est ok les filles ?
— Ouais !!!!
Sur le terrain, Margot, la capitaine des Stars Sisters de Mulhouse, venait de briefer son équipe. Tout le monde connaissait son tempérament de feu, mais au fond, toutes les filles l'aimaient bien, et surtout, personne n'osait la décevoir.
— Allez les filles, c'est parti ! On court en petites foulées, allez, allez ! Stop ! On lève les bras en l'air, on descend en flexions sur les genoux, on se relève d'un bond et on repart en petites foulées !
Depuis deux heures, Margot entraînait les Stars Sisters, sans répit, puis, le coup de sifflet tant attendu, mettant fin au supplice, retentit.
— Bravo les filles, beau travail, belle énergie, ça fait plaisir à voir, rendez- vous demain pour le jour de gloire !
— Nous les Stars Sisters, on est des winners !!! Entonnèrent les filles toutes en chœurs. Vidées, en sueur, épuisées, elles regagnèrent les vestiaires.
— Je n'en peux plus, elle m'a achevé ! Pesta Marjorie.
—Et moi donc ! J'ai les genoux en compotes et les pieds en sang ! Grommela Andréa.
Les douze filles se douchèrent, se rhabillèrent et rentrèrent chez elles, éreintées.
Le lendemain matin. Briefing au Stade Nautique de Mulhouse.
— Les filles, aujourd'hui, c'est le jour J, le grand jour que nous attendons toutes ! Je vous rappelle trois choses importantes :
1, ce match est d'une importance capitale. Pour la première fois nous sommes en ligue 1, face aux Valseuses de Brest.
2, ici on n'est pas chez nous, nous devons donc nous montrer deux fois plus battantes, c'est pour cela qu'on nous surnomme les doubles battantes.
3, donnez-vous à fond, et n'oubliez pas que ce n'est qu'un jeu, alors amusez-vous, prenez du plaisir !
— Ouais !!!
Les filles attendaient dans les vestiaires avec fébrilité. Puis enfin, ce fût au tour de l'équipe de Handball qu'elles étaient venues soutenir, « Les gagnantes » d'entrer sur le terrain, pour un match contre les handballeuses de Mulhouse, « les Fatales. »
Les Pom-Pom Girls de Margot, vêtues d'un tutu rouge et d'un tee-shirt blanc,
avec aux mains des pompons de toutes les couleurs, entamèrent en chœur leur hymne, en se trémoussant comme des marionnettes, face aux Pom-Pom Girls de Brest, les Vitaminettes :
On est les battantes, ouais !
Victoire aux Gagnantes, ouais !
On ramène la coupe,
Pas d'pitié pour les perdantes, ouais !
On n'craint pas les fatales, ouais !
Elles toucheront pas la balle, ouais !
Et après le match,
Elles vont se faire la malle, ouais !
Chez les Stars Sisters, ouais !
Il n'y a pas de losers, ouais,
On prend les Vitaminettes,
On les jette aux oubliettes, oouuuhhhh !!!
— Ouais !!!!
Sur le terrain, Margot, la capitaine des Stars Sisters de Mulhouse, venait de briefer son équipe. Tout le monde connaissait son tempérament de feu, mais au fond, toutes les filles l'aimaient bien, et surtout, personne n'osait la décevoir.
— Allez les filles, c'est parti ! On court en petites foulées, allez, allez ! Stop ! On lève les bras en l'air, on descend en flexions sur les genoux, on se relève d'un bond et on repart en petites foulées !
Depuis deux heures, Margot entraînait les Stars Sisters, sans répit, puis, le coup de sifflet tant attendu, mettant fin au supplice, retentit.
— Bravo les filles, beau travail, belle énergie, ça fait plaisir à voir, rendez- vous demain pour le jour de gloire !
— Nous les Stars Sisters, on est des winners !!! Entonnèrent les filles toutes en chœurs. Vidées, en sueur, épuisées, elles regagnèrent les vestiaires.
— Je n'en peux plus, elle m'a achevé ! Pesta Marjorie.
—Et moi donc ! J'ai les genoux en compotes et les pieds en sang ! Grommela Andréa.
Les douze filles se douchèrent, se rhabillèrent et rentrèrent chez elles, éreintées.
Le lendemain matin. Briefing au Stade Nautique de Mulhouse.
— Les filles, aujourd'hui, c'est le jour J, le grand jour que nous attendons toutes ! Je vous rappelle trois choses importantes :
1, ce match est d'une importance capitale. Pour la première fois nous sommes en ligue 1, face aux Valseuses de Brest.
2, ici on n'est pas chez nous, nous devons donc nous montrer deux fois plus battantes, c'est pour cela qu'on nous surnomme les doubles battantes.
3, donnez-vous à fond, et n'oubliez pas que ce n'est qu'un jeu, alors amusez-vous, prenez du plaisir !
— Ouais !!!
Les filles attendaient dans les vestiaires avec fébrilité. Puis enfin, ce fût au tour de l'équipe de Handball qu'elles étaient venues soutenir, « Les gagnantes » d'entrer sur le terrain, pour un match contre les handballeuses de Mulhouse, « les Fatales. »
Les Pom-Pom Girls de Margot, vêtues d'un tutu rouge et d'un tee-shirt blanc,
avec aux mains des pompons de toutes les couleurs, entamèrent en chœur leur hymne, en se trémoussant comme des marionnettes, face aux Pom-Pom Girls de Brest, les Vitaminettes :
On est les battantes, ouais !
Victoire aux Gagnantes, ouais !
On ramène la coupe,
Pas d'pitié pour les perdantes, ouais !
On n'craint pas les fatales, ouais !
Elles toucheront pas la balle, ouais !
Et après le match,
Elles vont se faire la malle, ouais !
Chez les Stars Sisters, ouais !
Il n'y a pas de losers, ouais,
On prend les Vitaminettes,
On les jette aux oubliettes, oouuuhhhh !!!