Toute histoire commence un jour, quelque part dans un petit village africain de la République Démocratique du Congo. Il était neuf heures passait de quelques minutes; les écoliers de l'école primaire Katala1 jouaient pendant la récréation comme d'habitude. Subitement,un tir lointain,oui des tirs des roquettes et des balles réelles qui retentissaient à proximité de notre village. C'était l'étonnement total, la confusion et le bouleversement,chacun prenait sa direction. J'entendais des cris,des pleurs,des gémissements des écoliers autrefois paisibles qui étaient en face d'une dure réalité qui afflige la société humaine. Ne sachant plus la direction de notre maison, je suivais inconscient, désespéré le tumulte d'une foule agitée et ce n'état que vers seize heures que j'ai eu la chance de retrouver un adulte qui. connaissait. mon père. Il me prit sur ses épaules et m'emmena en brousse où par surprise, ma famille s'était réfugié.
Partout,il y avait des blessés mais personne ne venait au secours. Nous avions pu manger que vers vingt heures, un pauvre plat de patate douce cuite au poudre de sésame. Les hommes ne purent manger et dormir car ils suppliaient les enfants et les femmes qui pleuraient en se lamentant des disparus. Les hommes leurs disaient: « Taisez vous, avant que le maï maï sachent nous localiser et viennent nous tuer». Enfant, j'ai vite compris que toute personne est vulnérable au pire réalité de la vie, les hommes étaient très épuisés. Très tôt matin, les hommes se reunirent et se donnèrent ordre d'aller à la recherche de la nourriture. Il ne pouvaient pas aller au village, ils partirent creuser les ignames pour notre camp de fortune et un autre groupe faisait la garde en inspectant tout mouvement suspect.
Le lendemain matin, nous aperçûmes un groupe de maî maï furieux, armes des machettes, des haches, des flèches empoisonnées. et des calibres. Ils venaient de trouver leur proie et commençaient à commettre les exécutions sommères en chantant. Ce groupe fouillait tout le monde dans une humiliation profonde. La chance de survive à cette hécatombe ne souria pas à tous les réfugiés. Ils se saisirent d'un homme qui me connaissait passe dialecte du village et lui firent un interrogatoire qui tourna mal. Il fût. condamné à mort par décapitation. Puis ils allumèrent un feu et coupèrent des organes comme le foi, le cœur, le poumons qu'ils mirent sur le feu et le mangèrent avec précipitation. Selon eux, on devient vaillant, fort,courageux et vainqueur après la consommation de la chair humaine. Le chef de ce cannibalordonna de tuer selon un tirage au sort magique. Ils parvinrent à massacrer vingt deux personnes et une femme fût violée publiquement et coupée en morceaux qu'ils emportèrent comme nourriture.
Peu après leurs départ ,les hommes vaillants du camp prirent les cadavres étalés inhumèrent dans une fosse commune. Ils donnèrent ordre à tout d'aller survivant calmement chercher un autre abris. Un vieillard rassasié des jours conseillant tout le monde d'aller se cacher dans une forêt. Personne ne pouvait consoler l'autre car les traumatismes étaient. insurmontables à l'heure. Nous entendions des chants mélancoliques d'oiseaux qui paraissaient consoler un peuple qui venait de vivre une scène ignoble et horrible de leurs parcours terrestres. Le soleil ne tarda pas à l'heure tomber,aucun repas ne fût servi cette nuit sombre où cauchemars étaient notre hôte. Vieillards, jeunes et adultes ne purent comprendre, expliquer, prévoir cet évènement.
La vie dans la forêt n'était pas facile, tous travaillait à la maintenance de notre abris. Les femmes allaient à la cueillette des fruits sauvages et chercher les bois morts pour le chauffage et la cuisson des repas du camp. Elles étaient fortes, courageuses, mais ne sachant pas ce qui les attendaient. Les hommes se reveillaient et partaient en quête des animaux sauvages en employant les techniques ancestrales des pièges. Ils passèrent une journée entière en brousse sans rien attraper. Un certain chasseur du camp prit le risque mortel d'aller clandestinement au village récupérer son fusil calibre et devint le héros de chasse qui apportait la viande dans le camp. Il partait accompagner des transporteurs qui ramenaient des singes, des antilles, des phacochères, des porc epics et des castors. Le camp tout entier admirait un vieillard assis sur une branche morte qu'il faisait office d'un médecin laboratain traditionnel. Il traitait le maux de tête, du ventre, de la diarrhée et des gémissements. Le vieillard avait son secret contre les morsures de serpent, de scorpions, des abeilles et des mouches tsé-tsé. Il apprenait des mille pattes qu'il plait et utilisaientcette. solution comme anti moustiques.
Trois semaines plus tard,nous rentrées dans notre village. Les cadavres en décomposition jonchés le sol et dégagés des odeurs nauséabondes. Les pluies torrentielles tombaient chaque jour,le choléra commença vite à sévir et les morts fût nombreux. A six reprises,il y eût d'incursions maï maï avec les nombreux massacres et violations de droits humains. On fuyait en brousse on rentrait au village. La septième incursion se soldat par une défaite sanglante de maï maï maï qui s'en prirent de brûler les maisons du villages. une fois informée, mon père prit la décision d'aller à Lwena,une cité située à une centaine de kilomètres.
En route, les villageois nous acceuillaient en nous donnant les biens de premier nécessité. Le huitième jour, nous étions arrivés à Lwena où la grand mère et nos cousins nous attendaient sur le pont d'entrée de la cité.En nous voyant venir pied nu et rongé par la guerre,elle éleva sa voix et commença à pleurer et à se poser les multiples questions qui faisait réfléchir les habitants de cette cité paisible. Tous nous regardaient d'un oeil plein de pitié, de compassion et de regret. Des nos jours, la guerre fait des ravages dans plusieurs régions du monde sous l'hypocrisie, la traitrise de sociétés d'armement qui tirent des sommes colossales d'argent alors que la race humaine est confronté à toutes sortes des calamités.
Partout,il y avait des blessés mais personne ne venait au secours. Nous avions pu manger que vers vingt heures, un pauvre plat de patate douce cuite au poudre de sésame. Les hommes ne purent manger et dormir car ils suppliaient les enfants et les femmes qui pleuraient en se lamentant des disparus. Les hommes leurs disaient: « Taisez vous, avant que le maï maï sachent nous localiser et viennent nous tuer». Enfant, j'ai vite compris que toute personne est vulnérable au pire réalité de la vie, les hommes étaient très épuisés. Très tôt matin, les hommes se reunirent et se donnèrent ordre d'aller à la recherche de la nourriture. Il ne pouvaient pas aller au village, ils partirent creuser les ignames pour notre camp de fortune et un autre groupe faisait la garde en inspectant tout mouvement suspect.
Le lendemain matin, nous aperçûmes un groupe de maî maï furieux, armes des machettes, des haches, des flèches empoisonnées. et des calibres. Ils venaient de trouver leur proie et commençaient à commettre les exécutions sommères en chantant. Ce groupe fouillait tout le monde dans une humiliation profonde. La chance de survive à cette hécatombe ne souria pas à tous les réfugiés. Ils se saisirent d'un homme qui me connaissait passe dialecte du village et lui firent un interrogatoire qui tourna mal. Il fût. condamné à mort par décapitation. Puis ils allumèrent un feu et coupèrent des organes comme le foi, le cœur, le poumons qu'ils mirent sur le feu et le mangèrent avec précipitation. Selon eux, on devient vaillant, fort,courageux et vainqueur après la consommation de la chair humaine. Le chef de ce cannibalordonna de tuer selon un tirage au sort magique. Ils parvinrent à massacrer vingt deux personnes et une femme fût violée publiquement et coupée en morceaux qu'ils emportèrent comme nourriture.
Peu après leurs départ ,les hommes vaillants du camp prirent les cadavres étalés inhumèrent dans une fosse commune. Ils donnèrent ordre à tout d'aller survivant calmement chercher un autre abris. Un vieillard rassasié des jours conseillant tout le monde d'aller se cacher dans une forêt. Personne ne pouvait consoler l'autre car les traumatismes étaient. insurmontables à l'heure. Nous entendions des chants mélancoliques d'oiseaux qui paraissaient consoler un peuple qui venait de vivre une scène ignoble et horrible de leurs parcours terrestres. Le soleil ne tarda pas à l'heure tomber,aucun repas ne fût servi cette nuit sombre où cauchemars étaient notre hôte. Vieillards, jeunes et adultes ne purent comprendre, expliquer, prévoir cet évènement.
La vie dans la forêt n'était pas facile, tous travaillait à la maintenance de notre abris. Les femmes allaient à la cueillette des fruits sauvages et chercher les bois morts pour le chauffage et la cuisson des repas du camp. Elles étaient fortes, courageuses, mais ne sachant pas ce qui les attendaient. Les hommes se reveillaient et partaient en quête des animaux sauvages en employant les techniques ancestrales des pièges. Ils passèrent une journée entière en brousse sans rien attraper. Un certain chasseur du camp prit le risque mortel d'aller clandestinement au village récupérer son fusil calibre et devint le héros de chasse qui apportait la viande dans le camp. Il partait accompagner des transporteurs qui ramenaient des singes, des antilles, des phacochères, des porc epics et des castors. Le camp tout entier admirait un vieillard assis sur une branche morte qu'il faisait office d'un médecin laboratain traditionnel. Il traitait le maux de tête, du ventre, de la diarrhée et des gémissements. Le vieillard avait son secret contre les morsures de serpent, de scorpions, des abeilles et des mouches tsé-tsé. Il apprenait des mille pattes qu'il plait et utilisaientcette. solution comme anti moustiques.
Trois semaines plus tard,nous rentrées dans notre village. Les cadavres en décomposition jonchés le sol et dégagés des odeurs nauséabondes. Les pluies torrentielles tombaient chaque jour,le choléra commença vite à sévir et les morts fût nombreux. A six reprises,il y eût d'incursions maï maï avec les nombreux massacres et violations de droits humains. On fuyait en brousse on rentrait au village. La septième incursion se soldat par une défaite sanglante de maï maï maï qui s'en prirent de brûler les maisons du villages. une fois informée, mon père prit la décision d'aller à Lwena,une cité située à une centaine de kilomètres.
En route, les villageois nous acceuillaient en nous donnant les biens de premier nécessité. Le huitième jour, nous étions arrivés à Lwena où la grand mère et nos cousins nous attendaient sur le pont d'entrée de la cité.En nous voyant venir pied nu et rongé par la guerre,elle éleva sa voix et commença à pleurer et à se poser les multiples questions qui faisait réfléchir les habitants de cette cité paisible. Tous nous regardaient d'un oeil plein de pitié, de compassion et de regret. Des nos jours, la guerre fait des ravages dans plusieurs régions du monde sous l'hypocrisie, la traitrise de sociétés d'armement qui tirent des sommes colossales d'argent alors que la race humaine est confronté à toutes sortes des calamités.