Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les deux.
En vérité, j’ai passé une grande partie de mon existence à trouver des réponses à cette question. Oui Il me les fallait, il me les fallait absolument parce que je m’étais embarqué dans quelque chose que visiblement je n’avais pas bien compris et auxquelles j’avais certes réfléchie, mais pas avec suffisamment de recul ; l’abstinence sexuel.
A peine allais je commencer mes études universitaires que j’ai pris connaissance d’une information qui, je l’avais senti, allait systématiquement changer ma vie dans un sens auquel je n’avais jamais pensé. J’étais surpris, je ne m’y attendais pas. C’était comme si le monde m’était tomber sur la tête. Il n’y avait que ça qui occupais mon esprit. J’avais parfois envi de faire comme si je n’avais rien écouté, mais impossible par ce que le message était clair et percutante vue la reforme qu’il venait effectuer dans le plan que j’avais établie pour ma vie. Je venais d’apprendre, de source coranique que je devais rester puceau jusqu’au mariage.
Pour moi qui avait des antécédents, il était compliqué d’accepter une telle information. Enfant, je réfléchissais à comment faire l’expérience de cette chose qui se discutait très souvent autour de moi et qu’à l’occasion je voyais les adultes pratiqués à la télé.
J’avais entre 8 et 9 ans quand j’ai appris que le sexe ne servait pas qu’à uriner. J’étais donc à la recherche de cet autre plaisir qu’il procurait quand dans une circonstance particulièrement inhabituelle j’ai fait mon premier test. C’était avec une amie alors que j’avais entre 9 et 10 ans. Les choses sont allées très vite. D’abord debout collés l’un sur l’autre de façon inhabituelle, ensuite elle souleva sa jupe puis se coucha par terre. Je montai donc sur elle puis je collai mon sexe contre la sienne et puis je frottai quelque instant et bingo. A cette époque, j’ignorais qu’il fallait mettre mon sexe à l’intérieur de la sienne. Je savais juste que je devais faire vite de peur que quelqu’un nous surprenne.
Du collège au lycée alors que j’avais été édifier ici et là sur pal mal de concept, d’astuce et de techniques de séduction que j’avais hâte de tester auprès de la jeune gente féminine qui, à l’époque, nous en faisaient voir de toutes les couleurs, j’ai été influencer par des enseignements sur la législation islamique. Je les avais reçus de certains camarades frères et sœurs musulmans que j’ai rencontré au collège et qui incarnaient mieux que moi la culture islamique du moins en apparence. Ces informations, en particulier celles en lien avec la sexualité, suscitaient en moi des questions qui restaient sans réponses. A l’époque, il fallait jouer au plus pieu pour être accepté par le groupe. Je n’avais donc pas intérêt à communiquer à la face de tous ces jeunes coreligionnaires, certains aux allures conservateurs, ces questions ambiguës qui me taraudaient la tête et surtout pas mes aspirations quant à la gente féminine.
J’avais 17 ans quand j’ai définitivement compris que je n’avais à prouver quoi que ce soit à qui que ce soit après avoir vu des frères musulmans qui n’avais pour envi que le sexe et qui prononçais à longueur de temps des paroles vulgaires et des sœurs musulmanes apparemment sérieuses qui s’habillais de manière que tout homme ne pouvait qu’avoir envie de les suivre des yeux et mêmes de les toucher ; choses qui arrivaient bien souvent. J’avais hâte de rattraper, tous ces moments dissuasifs de ma vie et de pouvoir enfin refaire, une fois que j’aurai mis pied sur le campus, l’expérience que j’avais tenté à l’âge de 10 ans mais cette fois de façon plus assidu. Me dire maintenant que je dois attendre jusqu’au mariage, c’était quand même lourd à porter.
En fait, je faisais partir à cette époque de personnes, en qui, les paroles du divin réussissaient à coloniser l’être qu’ils auraient aimé être au profit de personnes prudentes et attentives aux règles et lois évidentes de la nature. Cette information, je ne l’avais pas accepté tout de suite à l’époque. Je cherchais des raisons pour me faire une idée autre de la situation. Je restais convaincu que ça ne pouvait pas être ainsi. Comment et pourquoi l’on devrait attendre jusqu’au mariage pour pratiquer le sexe ? J’élaborais des hypothèses. Pour les confirmer, je devais aller à la recherche d’informations mais des informations sures. Je ne voulais surtout pas être un hors la loi. Je cherchais en effet des raisons solides pour pouvoir braver cet interdit.
Lorsque j’avais attend mes 22 ans, la situation étaient devenu encore plus difficile pour moi. Je la vivais seule, je n’osais pas la raconter. Je craignais sans doute les jugements des jeunes de mon âge, aux égos démesurés, à qui je ne me voyais pas parlés de ces questions me concernant surtout qu’à 22 ans je n’avais jamais fait l’amour.
J’avais en face une énigme que je devais résoudre à tout prix. J’avais comme une barrière virtuelle en laquelle j’avais foi mais dont le message ne me convainquait pas totalement. Je continuais donc par creuser ici et là pour en savoir plus mais surtout pour m’autoriser ce qui m’était interdit par ma religion. Je scrutais tous ce qui parlait de sexualité, des articles, des vidéos, des forums. J’avais beaucoup appris sur cette thématique. Je cherchais surtout à comprendre l’avis, la position des uns et des autres sur le sujet et le constat étais claire ; ils étaient divergents, très divergents.
C’est dans ces recherches, que j’avais découvert la pornographie et la masturbation qui était d’ailleurs conseillé par certains bords. J’en avais appris assez et je m’y étais adonner avec beaucoup d’enthousiasme ; j’avais pris gout. Je me disais que l’interdiction de pratiquer le sexe avant le mariage ne m’interdisais pas de me masturber. J’avais donc trouver un substitut parfais. Je me masturbais deux à trois fois par jour sans me culpabiliser. Je ne bravais aucun interdit, afin c’est ce que je pensais. Pour moi tant que je ne mettais pas mon pénis dans aucun sexe féminin, je continuais de demeurer dans le cadre prescrit par la législation islamique.
Irrésistiblement, me masturber, ne m’empêchait pas de continuer à penser au rapport sexuel. Je continuais donc mes recherches. Paradoxalement, cette recherche permanente m’a peu à peu amené à découvrir une science qui m’était inconnu et qui très vite a retenu mon attention ; la spiritualité. J’ai eu comme une révélation parce que vue dans cette dimension, les recommandations coraniques était beaucoup plus claires. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai compris le réel enjeu du sexe et le mystère qui tournait autour. J’avais compris que le rapport sexuel était une chose trop sérieuse pour qu’il soit juste considérer comme un truc fun. C’est une question qui ne concerne en rien le corps mais plutôt l’âme et c’est tout l’enjeu. Une sexualité désordonnée procure certes du plaisir au corps mais détruit l’âme. Elle rend vulnérable à des forces invisibles incroyablement mauvaises.
Ces nouvelles bases connaissances que j’avais de la sexualité avait impacter plusieurs autres aspects de ma vie. J’avais une façon autre de voir le monde. Je me sentais mature. Je ne cherchais désormais qu’à me maintenir à ce niveau de conscience et j’étais convaincu qu’il me fallait m’intéressé d’avantage au sens des paroles du divin et aux enseignements sur la spiritualité.
Aujourd’hui je suis plus que fier de la relation que j’entretiens avec la nature. Quoi que je sois passé par ces différentes situations dans ma vie, je reste encore un puceau et cela plus pour longtemps. J’ai 27 ans, je suis fiancé et mon mariage est pour bientôt. Il est vrai que c’est pour moi un moment tant attendu mais aujourd’hui, ce n’est pas juste le fait que, je veille finalement faire l’amour dans un cadre légal qui me fait le plus plaisir mais plutôt l’état d’esprit dans lequel je vais consommer le sexe de ma future femme.
En vérité, j’ai passé une grande partie de mon existence à trouver des réponses à cette question. Oui Il me les fallait, il me les fallait absolument parce que je m’étais embarqué dans quelque chose que visiblement je n’avais pas bien compris et auxquelles j’avais certes réfléchie, mais pas avec suffisamment de recul ; l’abstinence sexuel.
A peine allais je commencer mes études universitaires que j’ai pris connaissance d’une information qui, je l’avais senti, allait systématiquement changer ma vie dans un sens auquel je n’avais jamais pensé. J’étais surpris, je ne m’y attendais pas. C’était comme si le monde m’était tomber sur la tête. Il n’y avait que ça qui occupais mon esprit. J’avais parfois envi de faire comme si je n’avais rien écouté, mais impossible par ce que le message était clair et percutante vue la reforme qu’il venait effectuer dans le plan que j’avais établie pour ma vie. Je venais d’apprendre, de source coranique que je devais rester puceau jusqu’au mariage.
Pour moi qui avait des antécédents, il était compliqué d’accepter une telle information. Enfant, je réfléchissais à comment faire l’expérience de cette chose qui se discutait très souvent autour de moi et qu’à l’occasion je voyais les adultes pratiqués à la télé.
J’avais entre 8 et 9 ans quand j’ai appris que le sexe ne servait pas qu’à uriner. J’étais donc à la recherche de cet autre plaisir qu’il procurait quand dans une circonstance particulièrement inhabituelle j’ai fait mon premier test. C’était avec une amie alors que j’avais entre 9 et 10 ans. Les choses sont allées très vite. D’abord debout collés l’un sur l’autre de façon inhabituelle, ensuite elle souleva sa jupe puis se coucha par terre. Je montai donc sur elle puis je collai mon sexe contre la sienne et puis je frottai quelque instant et bingo. A cette époque, j’ignorais qu’il fallait mettre mon sexe à l’intérieur de la sienne. Je savais juste que je devais faire vite de peur que quelqu’un nous surprenne.
Du collège au lycée alors que j’avais été édifier ici et là sur pal mal de concept, d’astuce et de techniques de séduction que j’avais hâte de tester auprès de la jeune gente féminine qui, à l’époque, nous en faisaient voir de toutes les couleurs, j’ai été influencer par des enseignements sur la législation islamique. Je les avais reçus de certains camarades frères et sœurs musulmans que j’ai rencontré au collège et qui incarnaient mieux que moi la culture islamique du moins en apparence. Ces informations, en particulier celles en lien avec la sexualité, suscitaient en moi des questions qui restaient sans réponses. A l’époque, il fallait jouer au plus pieu pour être accepté par le groupe. Je n’avais donc pas intérêt à communiquer à la face de tous ces jeunes coreligionnaires, certains aux allures conservateurs, ces questions ambiguës qui me taraudaient la tête et surtout pas mes aspirations quant à la gente féminine.
J’avais 17 ans quand j’ai définitivement compris que je n’avais à prouver quoi que ce soit à qui que ce soit après avoir vu des frères musulmans qui n’avais pour envi que le sexe et qui prononçais à longueur de temps des paroles vulgaires et des sœurs musulmanes apparemment sérieuses qui s’habillais de manière que tout homme ne pouvait qu’avoir envie de les suivre des yeux et mêmes de les toucher ; choses qui arrivaient bien souvent. J’avais hâte de rattraper, tous ces moments dissuasifs de ma vie et de pouvoir enfin refaire, une fois que j’aurai mis pied sur le campus, l’expérience que j’avais tenté à l’âge de 10 ans mais cette fois de façon plus assidu. Me dire maintenant que je dois attendre jusqu’au mariage, c’était quand même lourd à porter.
En fait, je faisais partir à cette époque de personnes, en qui, les paroles du divin réussissaient à coloniser l’être qu’ils auraient aimé être au profit de personnes prudentes et attentives aux règles et lois évidentes de la nature. Cette information, je ne l’avais pas accepté tout de suite à l’époque. Je cherchais des raisons pour me faire une idée autre de la situation. Je restais convaincu que ça ne pouvait pas être ainsi. Comment et pourquoi l’on devrait attendre jusqu’au mariage pour pratiquer le sexe ? J’élaborais des hypothèses. Pour les confirmer, je devais aller à la recherche d’informations mais des informations sures. Je ne voulais surtout pas être un hors la loi. Je cherchais en effet des raisons solides pour pouvoir braver cet interdit.
Lorsque j’avais attend mes 22 ans, la situation étaient devenu encore plus difficile pour moi. Je la vivais seule, je n’osais pas la raconter. Je craignais sans doute les jugements des jeunes de mon âge, aux égos démesurés, à qui je ne me voyais pas parlés de ces questions me concernant surtout qu’à 22 ans je n’avais jamais fait l’amour.
J’avais en face une énigme que je devais résoudre à tout prix. J’avais comme une barrière virtuelle en laquelle j’avais foi mais dont le message ne me convainquait pas totalement. Je continuais donc par creuser ici et là pour en savoir plus mais surtout pour m’autoriser ce qui m’était interdit par ma religion. Je scrutais tous ce qui parlait de sexualité, des articles, des vidéos, des forums. J’avais beaucoup appris sur cette thématique. Je cherchais surtout à comprendre l’avis, la position des uns et des autres sur le sujet et le constat étais claire ; ils étaient divergents, très divergents.
C’est dans ces recherches, que j’avais découvert la pornographie et la masturbation qui était d’ailleurs conseillé par certains bords. J’en avais appris assez et je m’y étais adonner avec beaucoup d’enthousiasme ; j’avais pris gout. Je me disais que l’interdiction de pratiquer le sexe avant le mariage ne m’interdisais pas de me masturber. J’avais donc trouver un substitut parfais. Je me masturbais deux à trois fois par jour sans me culpabiliser. Je ne bravais aucun interdit, afin c’est ce que je pensais. Pour moi tant que je ne mettais pas mon pénis dans aucun sexe féminin, je continuais de demeurer dans le cadre prescrit par la législation islamique.
Irrésistiblement, me masturber, ne m’empêchait pas de continuer à penser au rapport sexuel. Je continuais donc mes recherches. Paradoxalement, cette recherche permanente m’a peu à peu amené à découvrir une science qui m’était inconnu et qui très vite a retenu mon attention ; la spiritualité. J’ai eu comme une révélation parce que vue dans cette dimension, les recommandations coraniques était beaucoup plus claires. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai compris le réel enjeu du sexe et le mystère qui tournait autour. J’avais compris que le rapport sexuel était une chose trop sérieuse pour qu’il soit juste considérer comme un truc fun. C’est une question qui ne concerne en rien le corps mais plutôt l’âme et c’est tout l’enjeu. Une sexualité désordonnée procure certes du plaisir au corps mais détruit l’âme. Elle rend vulnérable à des forces invisibles incroyablement mauvaises.
Ces nouvelles bases connaissances que j’avais de la sexualité avait impacter plusieurs autres aspects de ma vie. J’avais une façon autre de voir le monde. Je me sentais mature. Je ne cherchais désormais qu’à me maintenir à ce niveau de conscience et j’étais convaincu qu’il me fallait m’intéressé d’avantage au sens des paroles du divin et aux enseignements sur la spiritualité.
Aujourd’hui je suis plus que fier de la relation que j’entretiens avec la nature. Quoi que je sois passé par ces différentes situations dans ma vie, je reste encore un puceau et cela plus pour longtemps. J’ai 27 ans, je suis fiancé et mon mariage est pour bientôt. Il est vrai que c’est pour moi un moment tant attendu mais aujourd’hui, ce n’est pas juste le fait que, je veille finalement faire l’amour dans un cadre légal qui me fait le plus plaisir mais plutôt l’état d’esprit dans lequel je vais consommer le sexe de ma future femme.