«Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés? Peut-être les deux.» Se dit insouciamment encore une autre fois le jeune garçon. À priori, ce sont ses mots qui nous touchent le cœur. À posteriori, du sang se trouvait partout sur le sol, sous ses pieds, sur ses mains, ses habits. Une grosse entaille traversait son front. Il tenait un couteau et regardait dans toutes les directions, cherchant on ne sait trop quoi. Soudain, une sirène! C’était la police. Mais, Gaston tenait en main ferme son couteau et prêt à l’utiliser.
Arrivés sur place, les policiers comprirent très vite que le suspect fut en situation de panique. En voyant les policiers avancer vers lui, le type prit la fuite. Après une heure de course à sa trousse, la chasse à l’homme prit fin. Il fut capturé à environ 9 km près de la sortie de la ville. Praville, la ville de toutes les bizarreries. Les policiers firent appel au renfort afin d’assurer son transport. Le jeune garçon était grand et costaud, disons qu’il inspire un peu la peur.
Tout le long du trajet, il n’arrêta pas de transpirer. Il fut tout en sueur comme l’un de ses athlètes qu’on voyait aux jeux olympiques. Il ne cessa de répéter: l’animal! l’animal! Mais les policiers furent perplexes vis-à-vis de ses agissements. Au contraire, ils lui intimèrent l'ordre de se taire.
Arrivé au commissariat, on le conduisit en salle d’interrogatoire. Après une heure de répit, le chef de police décida d’interroger Gaston, lequel est fatigué et dont le visage visiblement marqué par la peur. Le suspect tout désorienté, commença à expliquer les faits:
Depuis hier soir, j’entendis des bruits dans le jardin. Ce matin au réveil, j’eus encore l’impression d’écouter des claquements. Ce fut à ce moment que je sortis pour vérifier ce qui se tramait. Dans la cour du jardin, il y avait des traces de pattes d’un animal qui ne m’était pas familier. De loin, j’apercevais la queue d’un chat mais cette queue me parait trop grande pour être la queue d’un animal domestique. Ainsi, je soupçonnais que c’était un tigre. Je courus vers le salon pour appeler la police, mais l’animal féroce déjà après moi, me renversa à même le sol d’un seul coup de patte. Je n’ai trouvé autre chose que le couteau que j’utilisais ce matin même pour tartiner mon pain. Je n’avais pas d’autre choix que de l’utiliser pour me défendre contre l’animal sans pitié. Les voisins devraient entendre les bruits et vous ont appelés. Cependant, à votre arrivée, l’animal était déjà parti et puis, je pris la fuite en étant épouvanté.
Séance tenante, le chef de police laissa la salle d’interrogatoire afin d’analyser en profondeur l’affaire en compagnie des autres experts. Ensuite en quittant leur bureau, coup de théâtre dans la sale d’attente, la télé allumée, on annonça dans la rubrique insolite du flash d’info de cette après-midi, qu’il y a trois jours qu’un tigre avait échappé du cirque qu’on nomme «Tour à Tour» pendant un spectacle dans le centre-ville. La présentatrice profita aussi de l’occasion pour donner quelques conseils de sécurité à suivre étant donné que l’animal rodait toujours dans la ville.
L’enquête policière a duré toute la journée. Par ailleurs ce qui réjouit le cœur de sa mère, c’est que Gaston était libéré à la tombée de la nuit. Tirés d’affaire, ils furent heureux.
Arrivés sur place, les policiers comprirent très vite que le suspect fut en situation de panique. En voyant les policiers avancer vers lui, le type prit la fuite. Après une heure de course à sa trousse, la chasse à l’homme prit fin. Il fut capturé à environ 9 km près de la sortie de la ville. Praville, la ville de toutes les bizarreries. Les policiers firent appel au renfort afin d’assurer son transport. Le jeune garçon était grand et costaud, disons qu’il inspire un peu la peur.
Tout le long du trajet, il n’arrêta pas de transpirer. Il fut tout en sueur comme l’un de ses athlètes qu’on voyait aux jeux olympiques. Il ne cessa de répéter: l’animal! l’animal! Mais les policiers furent perplexes vis-à-vis de ses agissements. Au contraire, ils lui intimèrent l'ordre de se taire.
Arrivé au commissariat, on le conduisit en salle d’interrogatoire. Après une heure de répit, le chef de police décida d’interroger Gaston, lequel est fatigué et dont le visage visiblement marqué par la peur. Le suspect tout désorienté, commença à expliquer les faits:
Depuis hier soir, j’entendis des bruits dans le jardin. Ce matin au réveil, j’eus encore l’impression d’écouter des claquements. Ce fut à ce moment que je sortis pour vérifier ce qui se tramait. Dans la cour du jardin, il y avait des traces de pattes d’un animal qui ne m’était pas familier. De loin, j’apercevais la queue d’un chat mais cette queue me parait trop grande pour être la queue d’un animal domestique. Ainsi, je soupçonnais que c’était un tigre. Je courus vers le salon pour appeler la police, mais l’animal féroce déjà après moi, me renversa à même le sol d’un seul coup de patte. Je n’ai trouvé autre chose que le couteau que j’utilisais ce matin même pour tartiner mon pain. Je n’avais pas d’autre choix que de l’utiliser pour me défendre contre l’animal sans pitié. Les voisins devraient entendre les bruits et vous ont appelés. Cependant, à votre arrivée, l’animal était déjà parti et puis, je pris la fuite en étant épouvanté.
Séance tenante, le chef de police laissa la salle d’interrogatoire afin d’analyser en profondeur l’affaire en compagnie des autres experts. Ensuite en quittant leur bureau, coup de théâtre dans la sale d’attente, la télé allumée, on annonça dans la rubrique insolite du flash d’info de cette après-midi, qu’il y a trois jours qu’un tigre avait échappé du cirque qu’on nomme «Tour à Tour» pendant un spectacle dans le centre-ville. La présentatrice profita aussi de l’occasion pour donner quelques conseils de sécurité à suivre étant donné que l’animal rodait toujours dans la ville.
L’enquête policière a duré toute la journée. Par ailleurs ce qui réjouit le cœur de sa mère, c’est que Gaston était libéré à la tombée de la nuit. Tirés d’affaire, ils furent heureux.