« Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les deux. » Je passai une très belle soirée, à contempler ce ciel plein de belles étoiles. Ensuite, je suis allé dans ma chambre et me suis plongé dans un sommeil gracieux. J’attendais à la porte du roi sommeil quand soudain je me sens projeté dans un vide. Je tombai quelque part où tout autour de moi semble flou. Je me frottais les yeux pour mieux les ouvrir peut-être que j’ai les yeux fermés. Je m’efforce de les écarquiller mais il n’y a pas de différence entre ce que je vois depuis. Et si j’étais devenu aveugle, là, je comprendrais mieux pourquoi tout est si flou. Un vent fort souffla et mes pieds semblent s’enfoncer. J’essaie de courir pour me protéger mais ils s’enfonçaient d’avantage. Où suis-je ? C’est quoi cet endroit aussi étrange, comment est-ce que je me suis retrouvé ici ? Cet endroit ne ressemble en rien à ma chambre. De toutes mes forces, je criais à gorge déployée espérant que quelqu’un m’entend et vole à mon secours. Mais je n’entendis même pas les échos. Où est allé le son de ma voix, lui aussi ne va tout de même pas m’abandonner ici. Je ne m’entends même pas parler. J’ai peur, je ne vois personne, n’entends personne. Je suis surement seul ici avec le peu d’espoir qui me reste. L’amour et ses frères m’ont déjà abandonnés à mon triste sort en cherchant une sortie. Ils sont tous partis si vite que je ne pus les suivre même pas de regard pour voir où se trouverait la sortie. Le vent devenait de plus en plus fort. Je ne pouvais pas lui résister longtemps, à quoi bon si je ne sais pas où allé après. Je me laissais tomber de peur que la force aussi m’abandonne comme eux. Le sol semble beaucoup sableux. J’espérais que le vent me couvre de sable mais malheureusement lui aussi ne veut pas de moi. Qu’ai-je fait au bon Dieu pour mériter un si triste sort ? Je sais que je ne suis pas saint mais je l’ai tous les jours prié pour qu’il ne me réserve pas une telle punition. Je sais que même si personne ne peut m’entendre ici, toi seul tu m’entends. N’a-t-on pas dit que rien ne t’échappe ? Alors pour l’amour que tu as pour l’homme que je suis, je te demande de me soulager de ceci, s’il le faut, prends ma vie en plus. De toute façon elle ne me sait pas à grande chose ici. Je m’apitoyais quand soudain, un éclair parcourut très rapidement les lieux, tellement si fort qu’il m’éblouit. Sur mon visage se dessina un joli sourire à l’idée que je ne suis pas encore aveugle. Mais cette joie fut de très courte durée quand une voix que je n’avais jamais entendue raisonna :
Lui : Mon enfant, j’ai entendu ta prière et tes cris, je veux bien te l’accorder mais tu devras faire une chose pour moi avant.
Moi : Es-tu vraiment ce que je pense actuellement ? Tu es mon Dieu vraiment ? Alors dis-moi ce qui se passe, où suis-je, comment suis-je venu ici et comment devrais-je en sortir ?
Lui : Mon enfant une chose à la fois. Je ne peux pas te donner les réponses à tout ce que tu veux. Tu as fait une prière et je suis venue ici juste pour exaucer ta prière, rien d’autre. Tu as demandé que je prenne ta vie car pour toi elle t’est inutile. Voilà pourquoi je suis venue.
Moi : Qu’est-ce que ça peut te faire que j’ai ces réponse ou pas, d’autant que tu es venue ici pour me prendre la seul chose qui me reste. Tu n’as rien entendu des milliers de cris que j’ai poussés pour appeler au secours. C’est seulement là où je demande de me prendre ma vie que tu as entendu. Ce n’est pas ta faute. Et d’ailleurs, prends-le en même temps qu’on y est.
Lui : C’est exactement ce que je vais faire mais pas avant que tu me dises ce que je veux savoir.
Moi : Quoi donc tu ne sais pas de moi et que moi qui doit te le dire vieux barbu, si c’est vraiment toi.
Lui : Oh ! Que c’est fort simple. Je ne sais pas l’heure qu’il fait actuellement. Je dois aller dormir un peu. Je suis beaucoup trop fatigué maintenant pour t’aider. Appelle-moi exactement à la mi-journée et je viendrais te prendre ta misérable vie. Si tu m’appelle avant ou après, je ne viendrais pas. Et je ne te laisse d’ailleurs pas le choix. C’est ainsi.
Moi : Mais comment veux-tu que je t’appelle à la mi-journée ? Mon Dieu quel péché ai-je commis de si grave, même s’ils sont tous grave selon tes pasteurs. Tu vois bien que je n’ai aucun moyen de connaitre le temps. Je te jure sur ma tête que je ne peux pas.
Lui : c’est alors ton choix. Je ne peux pas t’aider si tu ne fais pas un peu d’effort toi-même. Tu dois m’aider à t’aider. Le seul moment libre que j’ai, c’est ça je viens de te dire. Mais tu ne veux pas. Ce n’est pas grave. Je te préviens quand même, tu vivras alors ici sans jamais connaitre la fin.
Moi : pardon, il doit y avoir un autre moyen, demande moi toute autre chose et je ferais mais pas ça, s’il te plait.
Puis un long silence sans fin, il ne me répondit pas. Je le criais de toutes mes forces mais il ne me répondit pas. Qu’est-ce que je viens de faire, je viens de l’appeler alors que rien ne me dit qu’on est déjà à la mi-journée. Et si on était encore au petit matin ? Je crois que je viens de perdre ma seule chance d’être délivré de cet enfer. Je m’efforçai pour pleurer mais pas une seule goutte de larme ne perlait sur mes joues. Non, non pas toi, il ne me reste plus rien sinon le peu d’espoir mais lui aussi se prépare déjà à partir. Tout à coup, il me semble avoir vu une lumière qui a disparu aussi vite qu’elle est apparu. J’en riais bêtement, c’est impossible dans ces ténèbres. Je crois que je suis devenu complètement fou. Mais le peu d’espoir qui me restait me poussa à regarder encore. Elle est maintenant fixe. Une peur m’envahit mais avec l’espoir que c’est peut-être ma dernière chance, je mobilisai mes forces et me dirigeai vers elle tant bien que mal. Le trajet ne fut pas de tout repos. Elle semble s’éloigner à chacun de mes pas. Cette fois, il semble qu’elle ne bouge plus et brille plus fort puis elle s’éteigne juste devant moi. J’eus peur que ce soit mes yeux qui me jouerait des tours et qu’ils viennent de s’en aller eux aussi. Tombant sur le sol, je l’implorais de revenir, racontant rien et n’importe quoi. Et comme si elle m’écoutait, elle revint. Aussitôt je me jetais dessus de peur qu’elle s’en aille encore. En voulant la regarder sous moi, une forte lumière m’aveugle et une force m’attira. Je me réveillai comme tirer de mon sommeil. Le jour venais de se lever. Je souri heureux que ce soit un rêve pas comme les autres. Le brouillard était encore épais bientôt le jour se leva et la lumière resplendit.
Lui : Mon enfant, j’ai entendu ta prière et tes cris, je veux bien te l’accorder mais tu devras faire une chose pour moi avant.
Moi : Es-tu vraiment ce que je pense actuellement ? Tu es mon Dieu vraiment ? Alors dis-moi ce qui se passe, où suis-je, comment suis-je venu ici et comment devrais-je en sortir ?
Lui : Mon enfant une chose à la fois. Je ne peux pas te donner les réponses à tout ce que tu veux. Tu as fait une prière et je suis venue ici juste pour exaucer ta prière, rien d’autre. Tu as demandé que je prenne ta vie car pour toi elle t’est inutile. Voilà pourquoi je suis venue.
Moi : Qu’est-ce que ça peut te faire que j’ai ces réponse ou pas, d’autant que tu es venue ici pour me prendre la seul chose qui me reste. Tu n’as rien entendu des milliers de cris que j’ai poussés pour appeler au secours. C’est seulement là où je demande de me prendre ma vie que tu as entendu. Ce n’est pas ta faute. Et d’ailleurs, prends-le en même temps qu’on y est.
Lui : C’est exactement ce que je vais faire mais pas avant que tu me dises ce que je veux savoir.
Moi : Quoi donc tu ne sais pas de moi et que moi qui doit te le dire vieux barbu, si c’est vraiment toi.
Lui : Oh ! Que c’est fort simple. Je ne sais pas l’heure qu’il fait actuellement. Je dois aller dormir un peu. Je suis beaucoup trop fatigué maintenant pour t’aider. Appelle-moi exactement à la mi-journée et je viendrais te prendre ta misérable vie. Si tu m’appelle avant ou après, je ne viendrais pas. Et je ne te laisse d’ailleurs pas le choix. C’est ainsi.
Moi : Mais comment veux-tu que je t’appelle à la mi-journée ? Mon Dieu quel péché ai-je commis de si grave, même s’ils sont tous grave selon tes pasteurs. Tu vois bien que je n’ai aucun moyen de connaitre le temps. Je te jure sur ma tête que je ne peux pas.
Lui : c’est alors ton choix. Je ne peux pas t’aider si tu ne fais pas un peu d’effort toi-même. Tu dois m’aider à t’aider. Le seul moment libre que j’ai, c’est ça je viens de te dire. Mais tu ne veux pas. Ce n’est pas grave. Je te préviens quand même, tu vivras alors ici sans jamais connaitre la fin.
Moi : pardon, il doit y avoir un autre moyen, demande moi toute autre chose et je ferais mais pas ça, s’il te plait.
Puis un long silence sans fin, il ne me répondit pas. Je le criais de toutes mes forces mais il ne me répondit pas. Qu’est-ce que je viens de faire, je viens de l’appeler alors que rien ne me dit qu’on est déjà à la mi-journée. Et si on était encore au petit matin ? Je crois que je viens de perdre ma seule chance d’être délivré de cet enfer. Je m’efforçai pour pleurer mais pas une seule goutte de larme ne perlait sur mes joues. Non, non pas toi, il ne me reste plus rien sinon le peu d’espoir mais lui aussi se prépare déjà à partir. Tout à coup, il me semble avoir vu une lumière qui a disparu aussi vite qu’elle est apparu. J’en riais bêtement, c’est impossible dans ces ténèbres. Je crois que je suis devenu complètement fou. Mais le peu d’espoir qui me restait me poussa à regarder encore. Elle est maintenant fixe. Une peur m’envahit mais avec l’espoir que c’est peut-être ma dernière chance, je mobilisai mes forces et me dirigeai vers elle tant bien que mal. Le trajet ne fut pas de tout repos. Elle semble s’éloigner à chacun de mes pas. Cette fois, il semble qu’elle ne bouge plus et brille plus fort puis elle s’éteigne juste devant moi. J’eus peur que ce soit mes yeux qui me jouerait des tours et qu’ils viennent de s’en aller eux aussi. Tombant sur le sol, je l’implorais de revenir, racontant rien et n’importe quoi. Et comme si elle m’écoutait, elle revint. Aussitôt je me jetais dessus de peur qu’elle s’en aille encore. En voulant la regarder sous moi, une forte lumière m’aveugle et une force m’attira. Je me réveillai comme tirer de mon sommeil. Le jour venais de se lever. Je souri heureux que ce soit un rêve pas comme les autres. Le brouillard était encore épais bientôt le jour se leva et la lumière resplendit.