Toute histoire commence un jour, quelque part mais mon histoire, elle, débute bien avant le jour et au-delà du monde connu.
Bœni, un petit royaume que je ne saurais situe son placement exacte, je sais juste qu’il se trouve en Afrique dans l’océan indien. Bœni est gouverné par un Roi appeler Kafire. IL est le meilleur des Rois et tout son peuple l’aime. Quoi de plus normale car Bœni est en plein essor économique, la richesse coule à flots, la terre est généreuse car oui, Boeni tire sa riche de l’agriculture et de la pèche. La richesse de Boeni fessait que chaque jour fut un jour de fête, pas un jour ne passait sans qu’il est de la fête. Occasion de dépense excessive et sans compter. Mais aujourd’hui ce n’est pas une fête comme les autres car aujourd’hui le Rois fête ses 25 ans de règne, occasion pour lui de choisir sa quatrième et dernière épouse.
Pour cette occasion tous les coffres du royaume sont ouverts, la trésorerie a obtenu carte blanche pour que cette jour reste dans les annales. Pour fêter son union avec la belle Afida , le Roi est prêt à tous pour marquer les esprits. Car tout le monde sait qu’Afida est la belle de tous les jeunes de moins de 22 ans. Personne ne fut donc étonner de la décision du Roi de faire d’elle la mère de ces héritiers car bien que le roi possédait déjà trois femmes, il n’avait cependant pas d’héritiers. Afida était plus que belle, elle était raffinée, intelligente mais surtout elle venait d’une grande famille de riche. Perle rare et innocente elle était destinée à épouser un homme qui avait quarante ans de plus qu’elle...()
Mais le cœur d’Afida était hélas déjà pris. Elle entretenait une relation secrète avec un jeune intellect de la cour royale, lui-même cousin du roi : Eddy. Eddy était plus qu’intelligent que beau, ces poèmes faisaient battre tous les cœurs de filles et femmes de Boeni, mais Eddy n’avait d’yeux que pour Afida. Contraints par une décision imposée et acceptée par tout le royaume, nos jeunes héros n’ont pas eu d’autre choix que de se résigner au mariage .Ils se promettent cependant de toujours s’aimer et de se voir en secret..... Bien de temps s’est écoulé depuis que le roi Kafire a dansé le tango de hache avec sa belle, il a cueilli le jus de miel rougeâtre, jouissant ainsi de la jeunesse de la belle à sa guise. En l’espace de deux ans Afida porta quatre grossesses mais sans pour autant donner la vie. Tous ces grossesses prenait fin ente le deuxième et le troisième trimestre sans qu’aucun toubib ne puisse expliquer le pourquoi. Le peuple de Boeni hanté par l’espoir d’avoir un successeur à l’image de Kafire, se mirent à insulter leur reine, la traita de dévergondée ou de n’est pas être femme complète. Désespérée et accablée de ne point pouvoir être utile à son peuple ou d’être mère, elle trouva refuge auprès de sa seule amie, Amidha, l’ainé des quatre femmes du Roi. Bien après le mariage, son amour de toujours, Eddy, pris congé auprès du roi pour partir étudie à l’étranger. Seule et isolée des siennes, Afida lia vite d’amitié avec la doyenne et régente de la maison et cela malgré leurs trente ans d’âge de différence. Elle vit en elle sa jeunesse jadis perdue et Afida trouva en elle la force de survivre. Cela remontais bien avant qu’elle tomba enceinte du 4eme grossesse, au cours d’une discussion entre roi et reine, Afida demanda à Kafire qu’elle ne voulait plus tomber enceinte car elle était fatiguée de toujours perdre le bébé mais le roi refusant sa proposition et sur une crise de colère, il porta la main sur la belle innocente...
Et après la mort de quatrième fœtus , elle éprouva une immense chagrin qu’elle s’ouvrit les veines pour essayer d’en finir, et sans l’intervention d’Amidha, elle y aurait laissé la vie. Depuis ce jour-là une relation de complicité s’était installée entre les deux femmes .cependant Amidha resta fidèle et loyal a son roi. Afida était conscients que Amidha partageait un lourd secret avec le roi .mais jamais elle ne céda à la pression de son amie. Parfois sous la pression elle laissait fuitée que cela aller de sa vie. Il n’avait aucun doute que le roi avait un mystère, un secret qui planait sur sa tête et qui expliquait pourquoi, aucun de ces quatre femmes n’arrivaient à terme de leurs grossesses .Le temps était venu de trouver des réponses aux questions,. Cela aller de sa vie car depuis qu’elle a décidé de n’est plus tomber enceinte, le roi voulait prendre une cinquième femme pour porter les fœtus à sa place. Il n’avait aucun doute que le roi désirait voir ces femme tombent enceint mais pas qu’elles enfantent. Mais hélas la mission d’Afida était sans vaine car durant plus d’un an, elle était toujours à la case de départ.
Cependant un évènement inattendu se produisant, au cours d’une succession de malheureux évènements Amidha se trouvait sur son lit de mort, Afida resta à ces cotes pour l’aide à accueillir la mort. Il faut dire que lorsqu’on sait que c’est la fin du voyage, bien de chose changent. Et durant tout son séjour à l’agonie, Amidha vue la noirceur de son roi qui fut jadis son mari .A aucun moment le roi n’a rendu visite à sa femme .Pour lui sa mort était l’occasion de prendre une autre femme, selon la constitution qui régissait le royaume le roi n avait droit qu’a quatre femmes alors bien qu’il essaya de prendre une cinquième pour porter ces fœtus. Ce qui lui était impossible car il risquait de froisser les oulamawis.
« Ma fille, je sais que l’ange de la mort est tout près, je le sent chaque jour et chaque seconde, il aspire ma vie des pieds à la tête. Alors je te conjure Afida de bien vouloir me pardonner. »
—Je n’ai rien à te pardonner, mon amie, tu as toujours été bonne avec moi, charitable et aimante. Tu m’as soutenu dans les moments les plus durs de ma vie ainsi je te suis à jamais reconnaissante. Paix à ton âme, je ne point de colère ou de haine à ton égard.
–Tu es toujours aussi innocente que le jour où tu es entrée dans cette maison mais tu ignores les mystères qui rôdent dans ces murs, une fois morte je ne saurais pas là pour te protégé alors il te faudra être forte.
—Me protégé de quoi. rétorqua brusquement Afida.
—Ecoute ma fille, je sais que je meurs pour qu’il puisse prendre autre femme.
— Ne dit pas ça ma sœur,
—Il a des choses que tu dois savoir, j’aurais dû avoir le courage de te les avouer depuis le longtemps.
—Alors parle, parle ma sœur ! cria-t-elle avec colère.
En espace de quelque seconde elle avait perdu son calme.
—Calmes toi, rétorqua la marraine avec douceur, je veux tout te dire mais promets-moi de ne pas me juger.
—je te promets, dit-elle avec calme et douceur.
Sans pour autant savoir
Elle se redressa comme si elle cherchait les dernières forces en elle .Elle but un verre d’eaux, question peut être de bien nettoyer sa gorge .Vérifiant si les portes étaient bel et bien fermées.
« Quand j’ai épousé Kafire j’avais à peine 16 ans, je ne le connaissais pas et je ne l’avais jamais vue avant le jour de nos noces .Mes parent m’avait affirmé que j’étais choisi parmi toutes les filles du Boeni pour être la reine du nouveaux roi. C’était une fierté disaient t ils !
Elle laissa échapper un sourire d’ironie sans pour autant s’arrêter.
—j’étais heureuse, j’allais être la femme du roi, la reine. Mais hélas, mon bonheur fut court, le jour même de nos noces, j’ai vu en lui le monstre qu’il était.
Les deux femmes baissèrent les yeux comme si elles se remémorer le même calvaire.
— je crois qu’il est inutile que je te détaille c’est qu’il ma fait cette nuit-là .On partage le même homme donc je suis sûre que tu as connu, c’est que j’ai connu ou pire encore. Au cours de mon mariage j’ai porté six grossesses sans jamais arriver à terme. Et à chaque fausse couche, il se précipitait pour m’a engrosser, encore et encore. Mais au bout d’un certain temps je ne te tombais plus enceinte alors il prit une seconde femme et la même chose se produit avec elle. Naridra porta sept grossesses avant de devenir stérile comme moi et il prit encore une troisième femme, Salima. Elle fut la plus belle de nous trois mais sa beauté ne lui fut d’aucune aide. Plus tard on découvrit qu’elle était de nature stérile alors le roi se débarrassa d’elle. Quand je dis ‘’débarrasser’’ je parle bien sûr de meurtre. Il se débarrassa d’elle étant stérile pour prendre chaina comme quatrième femme. Tu n’es pas la quatrième femme du roi, tu es la cinquième femme du roi. Et C’est là où je su, ou je compris.
–que tu as compris quoi ?demanda Afida.
Il était difficile pour elle de ne pas intervenir, elle se sentait proche de la vérité et il faillait qu’elle sache.
—Nos enfants ne sont jamais morts, ils sont offerts en offrande....... ils vivent au-delà du monde connu.
—mais comment, je ne comprends pas.
—Je te promets de te dire sans rien oublie mais tu dois être patiente .Pour le moment j’ai trop dit et je dois me reposer.
Afida sortit de la chambre avec autant de questions que de réponses. Comment est-ce qu’on offre des enfants en offrande et pourquoi ??
Bœni, un petit royaume que je ne saurais situe son placement exacte, je sais juste qu’il se trouve en Afrique dans l’océan indien. Bœni est gouverné par un Roi appeler Kafire. IL est le meilleur des Rois et tout son peuple l’aime. Quoi de plus normale car Bœni est en plein essor économique, la richesse coule à flots, la terre est généreuse car oui, Boeni tire sa riche de l’agriculture et de la pèche. La richesse de Boeni fessait que chaque jour fut un jour de fête, pas un jour ne passait sans qu’il est de la fête. Occasion de dépense excessive et sans compter. Mais aujourd’hui ce n’est pas une fête comme les autres car aujourd’hui le Rois fête ses 25 ans de règne, occasion pour lui de choisir sa quatrième et dernière épouse.
Pour cette occasion tous les coffres du royaume sont ouverts, la trésorerie a obtenu carte blanche pour que cette jour reste dans les annales. Pour fêter son union avec la belle Afida , le Roi est prêt à tous pour marquer les esprits. Car tout le monde sait qu’Afida est la belle de tous les jeunes de moins de 22 ans. Personne ne fut donc étonner de la décision du Roi de faire d’elle la mère de ces héritiers car bien que le roi possédait déjà trois femmes, il n’avait cependant pas d’héritiers. Afida était plus que belle, elle était raffinée, intelligente mais surtout elle venait d’une grande famille de riche. Perle rare et innocente elle était destinée à épouser un homme qui avait quarante ans de plus qu’elle...()
Mais le cœur d’Afida était hélas déjà pris. Elle entretenait une relation secrète avec un jeune intellect de la cour royale, lui-même cousin du roi : Eddy. Eddy était plus qu’intelligent que beau, ces poèmes faisaient battre tous les cœurs de filles et femmes de Boeni, mais Eddy n’avait d’yeux que pour Afida. Contraints par une décision imposée et acceptée par tout le royaume, nos jeunes héros n’ont pas eu d’autre choix que de se résigner au mariage .Ils se promettent cependant de toujours s’aimer et de se voir en secret..... Bien de temps s’est écoulé depuis que le roi Kafire a dansé le tango de hache avec sa belle, il a cueilli le jus de miel rougeâtre, jouissant ainsi de la jeunesse de la belle à sa guise. En l’espace de deux ans Afida porta quatre grossesses mais sans pour autant donner la vie. Tous ces grossesses prenait fin ente le deuxième et le troisième trimestre sans qu’aucun toubib ne puisse expliquer le pourquoi. Le peuple de Boeni hanté par l’espoir d’avoir un successeur à l’image de Kafire, se mirent à insulter leur reine, la traita de dévergondée ou de n’est pas être femme complète. Désespérée et accablée de ne point pouvoir être utile à son peuple ou d’être mère, elle trouva refuge auprès de sa seule amie, Amidha, l’ainé des quatre femmes du Roi. Bien après le mariage, son amour de toujours, Eddy, pris congé auprès du roi pour partir étudie à l’étranger. Seule et isolée des siennes, Afida lia vite d’amitié avec la doyenne et régente de la maison et cela malgré leurs trente ans d’âge de différence. Elle vit en elle sa jeunesse jadis perdue et Afida trouva en elle la force de survivre. Cela remontais bien avant qu’elle tomba enceinte du 4eme grossesse, au cours d’une discussion entre roi et reine, Afida demanda à Kafire qu’elle ne voulait plus tomber enceinte car elle était fatiguée de toujours perdre le bébé mais le roi refusant sa proposition et sur une crise de colère, il porta la main sur la belle innocente...
Et après la mort de quatrième fœtus , elle éprouva une immense chagrin qu’elle s’ouvrit les veines pour essayer d’en finir, et sans l’intervention d’Amidha, elle y aurait laissé la vie. Depuis ce jour-là une relation de complicité s’était installée entre les deux femmes .cependant Amidha resta fidèle et loyal a son roi. Afida était conscients que Amidha partageait un lourd secret avec le roi .mais jamais elle ne céda à la pression de son amie. Parfois sous la pression elle laissait fuitée que cela aller de sa vie. Il n’avait aucun doute que le roi avait un mystère, un secret qui planait sur sa tête et qui expliquait pourquoi, aucun de ces quatre femmes n’arrivaient à terme de leurs grossesses .Le temps était venu de trouver des réponses aux questions,. Cela aller de sa vie car depuis qu’elle a décidé de n’est plus tomber enceinte, le roi voulait prendre une cinquième femme pour porter les fœtus à sa place. Il n’avait aucun doute que le roi désirait voir ces femme tombent enceint mais pas qu’elles enfantent. Mais hélas la mission d’Afida était sans vaine car durant plus d’un an, elle était toujours à la case de départ.
Cependant un évènement inattendu se produisant, au cours d’une succession de malheureux évènements Amidha se trouvait sur son lit de mort, Afida resta à ces cotes pour l’aide à accueillir la mort. Il faut dire que lorsqu’on sait que c’est la fin du voyage, bien de chose changent. Et durant tout son séjour à l’agonie, Amidha vue la noirceur de son roi qui fut jadis son mari .A aucun moment le roi n’a rendu visite à sa femme .Pour lui sa mort était l’occasion de prendre une autre femme, selon la constitution qui régissait le royaume le roi n avait droit qu’a quatre femmes alors bien qu’il essaya de prendre une cinquième pour porter ces fœtus. Ce qui lui était impossible car il risquait de froisser les oulamawis.
« Ma fille, je sais que l’ange de la mort est tout près, je le sent chaque jour et chaque seconde, il aspire ma vie des pieds à la tête. Alors je te conjure Afida de bien vouloir me pardonner. »
—Je n’ai rien à te pardonner, mon amie, tu as toujours été bonne avec moi, charitable et aimante. Tu m’as soutenu dans les moments les plus durs de ma vie ainsi je te suis à jamais reconnaissante. Paix à ton âme, je ne point de colère ou de haine à ton égard.
–Tu es toujours aussi innocente que le jour où tu es entrée dans cette maison mais tu ignores les mystères qui rôdent dans ces murs, une fois morte je ne saurais pas là pour te protégé alors il te faudra être forte.
—Me protégé de quoi. rétorqua brusquement Afida.
—Ecoute ma fille, je sais que je meurs pour qu’il puisse prendre autre femme.
— Ne dit pas ça ma sœur,
—Il a des choses que tu dois savoir, j’aurais dû avoir le courage de te les avouer depuis le longtemps.
—Alors parle, parle ma sœur ! cria-t-elle avec colère.
En espace de quelque seconde elle avait perdu son calme.
—Calmes toi, rétorqua la marraine avec douceur, je veux tout te dire mais promets-moi de ne pas me juger.
—je te promets, dit-elle avec calme et douceur.
Sans pour autant savoir
Elle se redressa comme si elle cherchait les dernières forces en elle .Elle but un verre d’eaux, question peut être de bien nettoyer sa gorge .Vérifiant si les portes étaient bel et bien fermées.
« Quand j’ai épousé Kafire j’avais à peine 16 ans, je ne le connaissais pas et je ne l’avais jamais vue avant le jour de nos noces .Mes parent m’avait affirmé que j’étais choisi parmi toutes les filles du Boeni pour être la reine du nouveaux roi. C’était une fierté disaient t ils !
Elle laissa échapper un sourire d’ironie sans pour autant s’arrêter.
—j’étais heureuse, j’allais être la femme du roi, la reine. Mais hélas, mon bonheur fut court, le jour même de nos noces, j’ai vu en lui le monstre qu’il était.
Les deux femmes baissèrent les yeux comme si elles se remémorer le même calvaire.
— je crois qu’il est inutile que je te détaille c’est qu’il ma fait cette nuit-là .On partage le même homme donc je suis sûre que tu as connu, c’est que j’ai connu ou pire encore. Au cours de mon mariage j’ai porté six grossesses sans jamais arriver à terme. Et à chaque fausse couche, il se précipitait pour m’a engrosser, encore et encore. Mais au bout d’un certain temps je ne te tombais plus enceinte alors il prit une seconde femme et la même chose se produit avec elle. Naridra porta sept grossesses avant de devenir stérile comme moi et il prit encore une troisième femme, Salima. Elle fut la plus belle de nous trois mais sa beauté ne lui fut d’aucune aide. Plus tard on découvrit qu’elle était de nature stérile alors le roi se débarrassa d’elle. Quand je dis ‘’débarrasser’’ je parle bien sûr de meurtre. Il se débarrassa d’elle étant stérile pour prendre chaina comme quatrième femme. Tu n’es pas la quatrième femme du roi, tu es la cinquième femme du roi. Et C’est là où je su, ou je compris.
–que tu as compris quoi ?demanda Afida.
Il était difficile pour elle de ne pas intervenir, elle se sentait proche de la vérité et il faillait qu’elle sache.
—Nos enfants ne sont jamais morts, ils sont offerts en offrande....... ils vivent au-delà du monde connu.
—mais comment, je ne comprends pas.
—Je te promets de te dire sans rien oublie mais tu dois être patiente .Pour le moment j’ai trop dit et je dois me reposer.
Afida sortit de la chambre avec autant de questions que de réponses. Comment est-ce qu’on offre des enfants en offrande et pourquoi ??