Toute histoire commence un jour, quelque part. Au crépuscule, hier vendredi, 9 Novembre 2017, fut notre début d'enfer.
Un jour que par test le seigneur décida de nous envoyer balader aux enfers "la Migration Clandestine". Nous étions 224 noirs sortis de differents horizons par cause de la decadence économique et politique des pays d'origine de chacun. De koulé Mali à Gao, tout était parfait avec l'espoir de franchir les frontières jusqu'en Europe sans risque mortel. L'Europe que nous pensions pouvoir bienvenir n'a pas été construite qu'hier nous l'avions oublier alors nous ne faisions qu'avancer comme le dieu de la migration le souhaitait "superstition du destin". Après la ville de Gao, de pire en pire, le nombre diminua de 51 un moment et 37 au autre. Le Sahara, les Touaregs aussi appelé Azawads de ce côté du Mali, se sont partagés du nombre comme si nous étions des Madeleines. Le comble dans tout ça est de voir son frère mourir de soif ou de faim sans rien faire alors que nous l'avons cette chose qu'il crie au besoin fatal. Mais par peur de ne subir le même sort, nous nous abstenimes de tout acte social. Nous demeurimes donc le coeur meurtri au sens de "la non assistance d'une personne en danger" bien qu'aucune loi du désert ne la prevoit et alors ?
Comme dans un long mauvais rêve, le chemin de l'enfer n'arrêtait de nous ouvrir ses portes comme le dieu de la migration le souhaitait indubitablement.
De la première ville d'Algérie (Borge)au bord de la mer en Libye quelque part à Tripoli, nous étions plus qu'une vingtaine. Le désert à presque tous raclé sur son passage... Maliens, guineens, sénégalais ivoiriens et tant d'autres, nous ne fîmes qu'un dès lors que l'espoir ni était plus.
D'ajout en ajout, nous attendions enfin le plein du zodiaque pour le lancement en vadrouille du convoi même si au final nous voulumes retourner chez nous, nous étions condamné à respecter le principe du compte à rebours. Dans l'hypothèse que si le désert en a pu occir une centaine, combien en fera l'océan Atlantique ? La peur au ventre, nous étions condamné à respecter le principe du compte à rebours.
C'est en fin que le seigneur des épreuves, vu notre courage, dévotion, et prise de conscience nous rappelle aux origines afin que nous puissions discutailler les conséquences affreuses avec les autres jeunes gens prêt à parcourir le monde par l'issue de la migration clandestine.
Les terres d'affrique sont toutes liées aux terres d'Europe car même si nous sommes séparés par les mers, océans et autres, n'oublions aucunement qu'au fond de ces eaux toutes ces dites terres ne font aucune différence. Donc, forcément liées l'une à l'autre. La terre, le monde n'en a jamais eu deux. Cette différence est né de l'obéissance de nos différends. Le substratum de la lutte contre les Migrations Clandestines est le recours aux dynamisme économique universel...
Un jour que par test le seigneur décida de nous envoyer balader aux enfers "la Migration Clandestine". Nous étions 224 noirs sortis de differents horizons par cause de la decadence économique et politique des pays d'origine de chacun. De koulé Mali à Gao, tout était parfait avec l'espoir de franchir les frontières jusqu'en Europe sans risque mortel. L'Europe que nous pensions pouvoir bienvenir n'a pas été construite qu'hier nous l'avions oublier alors nous ne faisions qu'avancer comme le dieu de la migration le souhaitait "superstition du destin". Après la ville de Gao, de pire en pire, le nombre diminua de 51 un moment et 37 au autre. Le Sahara, les Touaregs aussi appelé Azawads de ce côté du Mali, se sont partagés du nombre comme si nous étions des Madeleines. Le comble dans tout ça est de voir son frère mourir de soif ou de faim sans rien faire alors que nous l'avons cette chose qu'il crie au besoin fatal. Mais par peur de ne subir le même sort, nous nous abstenimes de tout acte social. Nous demeurimes donc le coeur meurtri au sens de "la non assistance d'une personne en danger" bien qu'aucune loi du désert ne la prevoit et alors ?
Comme dans un long mauvais rêve, le chemin de l'enfer n'arrêtait de nous ouvrir ses portes comme le dieu de la migration le souhaitait indubitablement.
De la première ville d'Algérie (Borge)au bord de la mer en Libye quelque part à Tripoli, nous étions plus qu'une vingtaine. Le désert à presque tous raclé sur son passage... Maliens, guineens, sénégalais ivoiriens et tant d'autres, nous ne fîmes qu'un dès lors que l'espoir ni était plus.
D'ajout en ajout, nous attendions enfin le plein du zodiaque pour le lancement en vadrouille du convoi même si au final nous voulumes retourner chez nous, nous étions condamné à respecter le principe du compte à rebours. Dans l'hypothèse que si le désert en a pu occir une centaine, combien en fera l'océan Atlantique ? La peur au ventre, nous étions condamné à respecter le principe du compte à rebours.
C'est en fin que le seigneur des épreuves, vu notre courage, dévotion, et prise de conscience nous rappelle aux origines afin que nous puissions discutailler les conséquences affreuses avec les autres jeunes gens prêt à parcourir le monde par l'issue de la migration clandestine.
Les terres d'affrique sont toutes liées aux terres d'Europe car même si nous sommes séparés par les mers, océans et autres, n'oublions aucunement qu'au fond de ces eaux toutes ces dites terres ne font aucune différence. Donc, forcément liées l'une à l'autre. La terre, le monde n'en a jamais eu deux. Cette différence est né de l'obéissance de nos différends. Le substratum de la lutte contre les Migrations Clandestines est le recours aux dynamisme économique universel...