Maître? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître...Écoutez Monsieur! Avez -vous une seule et unique raison qui m'oblige à vous assigner cette appellation, ce titre par le quel j'ai eu la mauvaise habitude d'appeler mes professeurs de la fondamentale, par ignorance propre et influence ignorante de mes homologues?
Oui, bien sûr Monsieur, ça été l'ignorance la plus parfaitement ignoble d'appeler le petit chien désossé du voisin par le beau surnom de mon grand' papa en disant "Psssss, psssss, Crèmin! Crèmin! Crèmin! L'ayant vu avancer désespérément, je cours à sa rencontre pour jeter dans sa gueule bavante un morceau de pain qu'il arrive à peine ā mastiquer.
J'éprouve alors une horrible honte pour avoir identifié ce petit chien éclopé à un père aimable, responsable et respectueux. Bien qu'en réalité, Je n'aie commis cette indécente désinvolture que pour se moquer de mon vieux père et rigoler avec la famille. Cet insolence m'a valu l'exaspération de mon grand 'papa qui m'a claqué avec sa main tremblante due à un syndrome parkinsonien et qui ne cesse de me jeter des propos ignominieux et maudissant...
A cet effet, je me suis rendu compte que j'ai pêché contre moi-même et contre le ciel pour avoir appelé, par analogie , mon grand-père, "petit chien désossé" et mes professeurs de la fondamentale, maître, alors qu'en réalité ces noms ne leurs conviennent pas. Cependant j'espère que le bon Dieu, le seul vrai maître, me pardonne de ces malséances. Et je jure désormais d'appeler chacun par son nom et/ou son réel titre exprimant sa professionnalité...
Mais vous je vous ai toujours connu comme cultivateur-entrepreneur, pourquoi vouloir à tout prix être appelé Maître ? D' où venez-vous avec cette folie de défendre en tant que maître mes contemporains et moi alors que , je constate, vous êtes dénué de toutes responsabilités envers vos champs de bananiers, voua ne voulez même pas assumer la simple tâche de mettre un croc solide sous les régimes de banane en vue d'empêcher qu'ils soient ravagés par le vent turbulent venant des points cardinaux de la cité . J'ai toujours appris que celui qui se veut imcomber de grandes charges doit pouvoir avant tout se responsabiliser dans les petites...
Et voilà, même le titre de cultivateur ne te convient plus car vous venez de tout perdre par inaptitude à défendre vos plantations...
- Bonh! Euhhh! Tu me demandes une seule et unique raison pourque tu m'appelles maître ?je vois que c'est ça ton plus grand souci. Eh bien ! Sois attentif à ce que je te dis maintenant et garde ces mots bien dans ton petit crâne enfantin. Tu vois combien j'étais attentif à toutes ces conneries inutiles mais plaisantes que tu racontes en vue de me persuader sur le fait qu'il t'es impossible de reconnaître en moi le maître salvateur et defenseur à qui revient les lourdes responsabilités de donner un audeur paradisiaque à notre misérable cité ,depuis des décennies, putrefiée. Cependant, je reste fermement convaincu que je suis Maître VITEAS, l'honorable et prestigieux Maître qui se veut être l'éternel défenseur et leader de la cité et à qui tu dois inévitablement honneur, respect et obéissance , de surcroît, je suis irréversiblement ton maître et celui de tes contemporains.
- Ahh non! Monsieur VITEAS, comment pensez-vous que mon esprit accepterait une telle canaillerie ? Suite à ce sentiment de culpabilité que je ressens encore vues les erreurs que j'ai faites depuis mon plus jeune âge, je ne serai plus me permettre d'appeler une personne par un nom qui ne lui ressemble en rien. Tu dois aussi reconnaître, Monsieur, en plus de votre orgueil et votre arrogance caracteristique, que vous êtes, aux yeux de la quasi-totalité des habitants éclairés de la cité, un type aux neurones brûlés qui se fait toujours sourd, muet et aveugle devant les maux que nous endurons...
Oui, Mr. VITEAS, vous auriez dû nous montrer que vous nous entendez et voyez, vous fonctionnez comme un fou, faisant semblant ne pas partager la même cité que nous...
En te jetant dessus un regard, je vois votre calebasse avec vos sublimes oreilles et vos yeux paraissant scintillants me rappelant le vieux maigre âne de mon grand-père, Monsieur Crèmin, ainsi surnommé par les habitants de la cité ,rudes cultivateurs , à extrême gibbosité et grand fumeur aux dents très noircies . De son vrai nom Monsieur CADET, derrière son surnom « Crèmin » est caché une « identité de courreur de Jupe». D'un air moqueur, les gens profèrent que Mr. Crèmin "prend la crème" de pas mal de jeunes et veilles femmes nécessiteuses mariées ou pas gravement frappées par cette famine de l'année 77 en échange à des bourgeons de patate, de l'arbre veritable, des maniocs et autres aliments qu'il contient dans ses jardins qu'il entretient toujours...
C'est horrible et insupportable de constater des femmes corpulentes se blotissent aux bras du vieux père Crèmin...Et triste réalité, c'est ce qui passe continuellement dans notre cité, ceux qui ont du pouvoir abuse malhonnêtement les opprimés, et figurez- vous, Mr. VITEAS, vous n'êtes pas un bon exemple en ce sens, et voilà qu'en dépit de tout, vous voulez encore vous ériger en maître pour faire fructifier et défendre ces genres de non-chalance dans la cité.....
Hélas ! Laissez- moi vous dire en toute franchise, Mr. VITEAS; une fois que nous n'ayons pas mis un terme à l'orgeuil et l'obscurantisme, une fois continuer à laisser notre défense sur le compte de prétendu Maître ignorant, notre cité ne saurait passer de cet état d'ignominie à une véritable cité où l'on célèbre la vie .. Tout ce que je veux de vous, c'est une prise de conscience, vous avec qui j'ai des liens de parenté, me confie le grand-père Crèmin, je le confirme en remontant moi-même ma généalogie.
Certes , j'aimerrais voir votre émergence mais encore plus j'aimerais voir le bonheur de ma cité qui ne saurait aucunement émerger avec un prétendu avocat comme vous. A cet effet, je vous conseille de rester avec votre titre de cultivateur-entrepreneur. Pour le bien de la cité, vous devez rester à votre place et travailler pour améliorer votre petit être...
Oui, je pense qu'il serait bénéfique à notre cité que chaque animal connaisse son nom et la mission qu'il peut mieux accomplir pour pallier la déchéance sociale qui bat son plein ici. C'est anormal de voir ici un agneau qui se veut être honoré et glorifié comme maître de la forêt à la place du lion et une tortue, orgueilleuse, qui se dit être plus grand coureur que le lièvre...
Non! Non! Je n'ai rien contre vous comme vous l'entendez, je demande uniquement que chacun d'entre nous ici soit apprécié à sa juste valeur.....l'appelation " maître" est réservé au Bon Dieu, aux quelques défenseurs de droits humains dignes de ce nom que nous avons dans la cité....mais ce n'est pas encore dévolue à vous ,Monsieur VITEAS....
- À ces mots, je ne peux plus t'entendre parler, éloigne-toi de mes yeux, espèce de salopard. Ta vision des choses sera vite étouffée, je te rassure que tu ne reste impuni tant ce maître VITEAS que tu refuse d'ainsi appeler ne cesse d'exister...
Oui, bien sûr Monsieur, ça été l'ignorance la plus parfaitement ignoble d'appeler le petit chien désossé du voisin par le beau surnom de mon grand' papa en disant "Psssss, psssss, Crèmin! Crèmin! Crèmin! L'ayant vu avancer désespérément, je cours à sa rencontre pour jeter dans sa gueule bavante un morceau de pain qu'il arrive à peine ā mastiquer.
J'éprouve alors une horrible honte pour avoir identifié ce petit chien éclopé à un père aimable, responsable et respectueux. Bien qu'en réalité, Je n'aie commis cette indécente désinvolture que pour se moquer de mon vieux père et rigoler avec la famille. Cet insolence m'a valu l'exaspération de mon grand 'papa qui m'a claqué avec sa main tremblante due à un syndrome parkinsonien et qui ne cesse de me jeter des propos ignominieux et maudissant...
A cet effet, je me suis rendu compte que j'ai pêché contre moi-même et contre le ciel pour avoir appelé, par analogie , mon grand-père, "petit chien désossé" et mes professeurs de la fondamentale, maître, alors qu'en réalité ces noms ne leurs conviennent pas. Cependant j'espère que le bon Dieu, le seul vrai maître, me pardonne de ces malséances. Et je jure désormais d'appeler chacun par son nom et/ou son réel titre exprimant sa professionnalité...
Mais vous je vous ai toujours connu comme cultivateur-entrepreneur, pourquoi vouloir à tout prix être appelé Maître ? D' où venez-vous avec cette folie de défendre en tant que maître mes contemporains et moi alors que , je constate, vous êtes dénué de toutes responsabilités envers vos champs de bananiers, voua ne voulez même pas assumer la simple tâche de mettre un croc solide sous les régimes de banane en vue d'empêcher qu'ils soient ravagés par le vent turbulent venant des points cardinaux de la cité . J'ai toujours appris que celui qui se veut imcomber de grandes charges doit pouvoir avant tout se responsabiliser dans les petites...
Et voilà, même le titre de cultivateur ne te convient plus car vous venez de tout perdre par inaptitude à défendre vos plantations...
- Bonh! Euhhh! Tu me demandes une seule et unique raison pourque tu m'appelles maître ?je vois que c'est ça ton plus grand souci. Eh bien ! Sois attentif à ce que je te dis maintenant et garde ces mots bien dans ton petit crâne enfantin. Tu vois combien j'étais attentif à toutes ces conneries inutiles mais plaisantes que tu racontes en vue de me persuader sur le fait qu'il t'es impossible de reconnaître en moi le maître salvateur et defenseur à qui revient les lourdes responsabilités de donner un audeur paradisiaque à notre misérable cité ,depuis des décennies, putrefiée. Cependant, je reste fermement convaincu que je suis Maître VITEAS, l'honorable et prestigieux Maître qui se veut être l'éternel défenseur et leader de la cité et à qui tu dois inévitablement honneur, respect et obéissance , de surcroît, je suis irréversiblement ton maître et celui de tes contemporains.
- Ahh non! Monsieur VITEAS, comment pensez-vous que mon esprit accepterait une telle canaillerie ? Suite à ce sentiment de culpabilité que je ressens encore vues les erreurs que j'ai faites depuis mon plus jeune âge, je ne serai plus me permettre d'appeler une personne par un nom qui ne lui ressemble en rien. Tu dois aussi reconnaître, Monsieur, en plus de votre orgueil et votre arrogance caracteristique, que vous êtes, aux yeux de la quasi-totalité des habitants éclairés de la cité, un type aux neurones brûlés qui se fait toujours sourd, muet et aveugle devant les maux que nous endurons...
Oui, Mr. VITEAS, vous auriez dû nous montrer que vous nous entendez et voyez, vous fonctionnez comme un fou, faisant semblant ne pas partager la même cité que nous...
En te jetant dessus un regard, je vois votre calebasse avec vos sublimes oreilles et vos yeux paraissant scintillants me rappelant le vieux maigre âne de mon grand-père, Monsieur Crèmin, ainsi surnommé par les habitants de la cité ,rudes cultivateurs , à extrême gibbosité et grand fumeur aux dents très noircies . De son vrai nom Monsieur CADET, derrière son surnom « Crèmin » est caché une « identité de courreur de Jupe». D'un air moqueur, les gens profèrent que Mr. Crèmin "prend la crème" de pas mal de jeunes et veilles femmes nécessiteuses mariées ou pas gravement frappées par cette famine de l'année 77 en échange à des bourgeons de patate, de l'arbre veritable, des maniocs et autres aliments qu'il contient dans ses jardins qu'il entretient toujours...
C'est horrible et insupportable de constater des femmes corpulentes se blotissent aux bras du vieux père Crèmin...Et triste réalité, c'est ce qui passe continuellement dans notre cité, ceux qui ont du pouvoir abuse malhonnêtement les opprimés, et figurez- vous, Mr. VITEAS, vous n'êtes pas un bon exemple en ce sens, et voilà qu'en dépit de tout, vous voulez encore vous ériger en maître pour faire fructifier et défendre ces genres de non-chalance dans la cité.....
Hélas ! Laissez- moi vous dire en toute franchise, Mr. VITEAS; une fois que nous n'ayons pas mis un terme à l'orgeuil et l'obscurantisme, une fois continuer à laisser notre défense sur le compte de prétendu Maître ignorant, notre cité ne saurait passer de cet état d'ignominie à une véritable cité où l'on célèbre la vie .. Tout ce que je veux de vous, c'est une prise de conscience, vous avec qui j'ai des liens de parenté, me confie le grand-père Crèmin, je le confirme en remontant moi-même ma généalogie.
Certes , j'aimerrais voir votre émergence mais encore plus j'aimerais voir le bonheur de ma cité qui ne saurait aucunement émerger avec un prétendu avocat comme vous. A cet effet, je vous conseille de rester avec votre titre de cultivateur-entrepreneur. Pour le bien de la cité, vous devez rester à votre place et travailler pour améliorer votre petit être...
Oui, je pense qu'il serait bénéfique à notre cité que chaque animal connaisse son nom et la mission qu'il peut mieux accomplir pour pallier la déchéance sociale qui bat son plein ici. C'est anormal de voir ici un agneau qui se veut être honoré et glorifié comme maître de la forêt à la place du lion et une tortue, orgueilleuse, qui se dit être plus grand coureur que le lièvre...
Non! Non! Je n'ai rien contre vous comme vous l'entendez, je demande uniquement que chacun d'entre nous ici soit apprécié à sa juste valeur.....l'appelation " maître" est réservé au Bon Dieu, aux quelques défenseurs de droits humains dignes de ce nom que nous avons dans la cité....mais ce n'est pas encore dévolue à vous ,Monsieur VITEAS....
- À ces mots, je ne peux plus t'entendre parler, éloigne-toi de mes yeux, espèce de salopard. Ta vision des choses sera vite étouffée, je te rassure que tu ne reste impuni tant ce maître VITEAS que tu refuse d'ainsi appeler ne cesse d'exister...