Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner comme l'on fait tous les autres mais je ne vous appellerais pas maître.
Le jeune Res âgé de 18ans était scolarisé à l'école primaire publique. Chaque matin, c'était devenu une coutume qu'il se présente en retard, mais ce jour, le maitre en eu marre et sortit son bâton pour l'événement.
_ flap... flap. Des coups retentirent
Après, il se dirigea à sa place, à mi-chemin le maitre l'interpella et sans mâcher ses mots, il répondit,
_Ce qui me pousse à être en retard ? ce n'est pas de ma faute si chaque matin, des corvées font offices de petit déjeuner, le chemin glissant et vertigineux vers la rivière constituant quant à lui un vrai champ de bataille qui traverse la brousse avant de s'enfoncer dans une forêt où grouille soldats et animaux sauvages.
_Si j'ai déjà envisagé de quitter les souffrances scolaires ? Mon père fût mon exemple, toujours à ramener la faute vers mes grands-parents qui selon lui, aurais dû lui forcer à poursuivre sa scolarité quand il est allé vers la Capital, et y revenir plus maigre que Simba le chien du voisin après qu'il ait gâché sa vie dans l'alcool, soi-disant remède miracle a ses problèmes ; et dans de nombreux stupéfiants.
_Mais oui, tout le monde ne mange pas à sa fin, surtout vous qui ne trouvez même plus la force de nous frapper, par contre celle de nous tabasser réside en vous.
_ Vous m'avez mal compris, la douleur est partagée, de toute façon la faute est celle des hautes autorités qui brûle l'argent des dons dans leur Villa, scolarisant leur enfant dans des écoles luxueux et nous profitant de la douce chaleur du sol, et le tableau noir situe que sur nos bouts de papiers qui font offices de livres pour évoluer dans une société qui fait tout sauf nous soutenir.
Apres ces mots, le maître, sans un bruit, alla faire son rapport. A son retour, il portait dans sa main l'une des rares feuilles propres que seul M. le directeur gardait jalousement dans son cartable, et un petit bout de papier tout froisser et sur lequel était marqué le renvoi de Res, comme quoi la loi du plus fort est toujours la meilleure.
Le jeune Res âgé de 18ans était scolarisé à l'école primaire publique. Chaque matin, c'était devenu une coutume qu'il se présente en retard, mais ce jour, le maitre en eu marre et sortit son bâton pour l'événement.
_ flap... flap. Des coups retentirent
Après, il se dirigea à sa place, à mi-chemin le maitre l'interpella et sans mâcher ses mots, il répondit,
_Ce qui me pousse à être en retard ? ce n'est pas de ma faute si chaque matin, des corvées font offices de petit déjeuner, le chemin glissant et vertigineux vers la rivière constituant quant à lui un vrai champ de bataille qui traverse la brousse avant de s'enfoncer dans une forêt où grouille soldats et animaux sauvages.
_Si j'ai déjà envisagé de quitter les souffrances scolaires ? Mon père fût mon exemple, toujours à ramener la faute vers mes grands-parents qui selon lui, aurais dû lui forcer à poursuivre sa scolarité quand il est allé vers la Capital, et y revenir plus maigre que Simba le chien du voisin après qu'il ait gâché sa vie dans l'alcool, soi-disant remède miracle a ses problèmes ; et dans de nombreux stupéfiants.
_Mais oui, tout le monde ne mange pas à sa fin, surtout vous qui ne trouvez même plus la force de nous frapper, par contre celle de nous tabasser réside en vous.
_ Vous m'avez mal compris, la douleur est partagée, de toute façon la faute est celle des hautes autorités qui brûle l'argent des dons dans leur Villa, scolarisant leur enfant dans des écoles luxueux et nous profitant de la douce chaleur du sol, et le tableau noir situe que sur nos bouts de papiers qui font offices de livres pour évoluer dans une société qui fait tout sauf nous soutenir.
Apres ces mots, le maître, sans un bruit, alla faire son rapport. A son retour, il portait dans sa main l'une des rares feuilles propres que seul M. le directeur gardait jalousement dans son cartable, et un petit bout de papier tout froisser et sur lequel était marqué le renvoi de Res, comme quoi la loi du plus fort est toujours la meilleure.