« Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître. »
Le silence pourrait posséder une sagesse populaire collective pour certains parmi nous et une connotation humoristique pour l'autre. Inconscient de cela que je me transforme vers un adolescent mutism et jobastre de ce que je rempli dans ma destinée ou existence.
Maman disait maintes fois que seuls les ados sont infortunés et inconscients parce qu'ils sont jeunes et ne savent pas qui est un renard et qui est un loup. Nous avions un meutes de moutons avec laquelle, cela m'estime satisfaite et bienheureux. Comme le dit le poète à propose du bonheur: « De tous les édifices humains, le plus fragile c'est le bonheur».
Ça résonne en moi que les poètes vécurent une époque si pénible que personne ne pourra jamais être enterré à leur place !
Ce sont eux qui connaissent l'esprit de béatitude de l'existence.
L'histoire de ma vie avec notre village silencieux, les moutons, le hurlement du loup dans le village d'à côté, mon père et ma mère et la malédiction de la nature sur les humains.
- Oui, papa,
- ça-passa quoi ? de quoi t'es si propice ? ce qui délecte-tu ? Pourquoi aurais-tu pas apporté d'eau? nous n'avons pas d'eau à boire, sait-on?
Mon père avait du nez que j'étais le seul à pouvoir incarner le rôle du loup et du renard dans la sereine de notre patelin où seuls les jours s'écoulaient en silence et les nuits au muet comme si personne n'y habitait.
Jour après jour, comme disent les proverbes, aujourd'hui n'est pas demain et demain n'est pas aujourd'hui papa!
- Mon père: ‘'Ha ha ha, qu'est-ce que tu as planté de philosophie dans ton esprit''
- Je vis comme toutes les autres créatures, alors père, que je sois un loup ou un renard, nous devons élever notre bétail !
Le temps passa sauf que rien ne évoluer dans nos destins.
À l'instar de ma première vue que le jour suit la nuit et vice versa.
Je lus en silence un chef-d'œuvre sur un rocher, regardant mon bétail, sur-le-champ, je entendus un des agneaux gémir: « Ma', Ma', Ma', Loup Loup »
Ignorant que le loup vint anéantir
ma gaieté.
La lecture me passa au crible jusqu'à ce que le son soit étouffé, j'ai eu l'impression que le ciel allait pleuvoir, sans savoir que le loup était venu et avait tout mangé. Dans le passé, si quelqu'un ignorait ses habitudes, il pensait qu'il était ivre.
- Mon père plissa les yeux avec colère : « Je t'ai dit de faire attention à eux !
Pourquoi t'était si silencieux ! as-tu été mordu par un serpent? Ou avez-vous avalé votre langue?
- "Ah, non, non, papa, je ne savais pas que je les avais perdus de vue à cause du bruit de la foudre," dis-je d'une voix pleine d'émotion et de peur.
La vie continuait comme cela, dans tous les cas où je me taisais, j'avais l'impression que je devais pleurer ou je regardais la vie comme si les planètes pleuraient au-dessus de nous.
-Pourquoi es-tu si triste, mon fils ?
-Maman, je ne sais pas si la vie était si calme, pourquoi?
-C'est une mélodie attristant
,non?
- Dis-je " oui maman, éventuellement".
-Lève-toi, fiston, va avec ton père récolter les mauvaises herbes et t'occuper des bétails, cela ferait mieux de te taire ici et de penser à cette satanée planète.
Alors ma mère, consciente que cette planète ne sert à rien, soutint perpétuellement mon étrange comportement qui semblait silencieux.
Le soir, il y avait un autre goût que je me tirai avec mon père, cueillir des mauvaises herbes ; "Mon fils, même les mauvaises herbes ont une âme."
Papa, pour tout dire: « Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître. »
Nous rentrions à la maison avec mon père quand nous avons fini de désherber ; Soudain, j'ai senti une voix familière venant du paisible village à côté de notre patelin: "Oh les gens, loup, loup." Dis-je à mon père
- C'est le son des villageois qui crient : "Peut-être que le loup est allé manger leurs moutons ?"
« Oui, répondit-il avec empressement, allons à leur secours.
Ainsi que les anciens coopérèrent les uns avec les autres dans un esprit de collaboration.
La journée continua jusqu'à ce que nous arrivions au village où la voix se fit entendre. Nous levâmes les yeux et criâmes, mais personne ne répondit ;
- "Fils, allons-y. Ce n'est pas encore la nuit. Ce village est vide et calme.
-" dis-je sans hésitation. J'avais beaucoup de questions sans réponse. S'il n'y a personne dans le village, à qui doit-elle être ? Pas moi, mon père le savait aussi ! Eh bien, était-ce la voix qui était si connu?Amplement de ces points et venaient jusqu'à ce que nous soyons arrivés à mi-chemin de notre patelin.
Soudanais, le bruit des nuages, du vent et de la pluie mêlé aux points sans réponse de mon esprit sans aucune perception ni ressentir !
Je prétendis fréquemment dans la vie que lorsque les gens sont confrontés au silence et aux points sans réponse dans leur fond, ils sont vraiment tête-à-tête;.
Autrement dit, toute habitude peut donner un perception le sens et l'interprétation de ces points.
Comme s'il pleuvait des années et des jours passèrent ; Je me demandais juste si ce jour devait être un rêve ou un fantasme. Les fantasmes dût-il avoir la sagesse!
Notre vie dans notre paisible patelin se prolongea comme la joie que nous eûmes avec les moutons et mes darons ; le bonheur fût toujours une dure réalité pour les hommes.
Ce fût un matin froid, et les moutons se sont tus de peur des loups, sans crier gare, je perçus comme ma mère pleurer ; c'était le jour où mon père nous quitta toujours, ne laissant que ma mère et moi seuls avec les moutons et le paisible patelin.
Notre vie fut si dur après le décès de mon père, c'était lui qui me réconfortait de temps en temps et qui était toujours un camarade dans notre paisible patelin.
Les jours passaient et je ne cessais de penser au jour où j'avais entendu cette voix quand je fus avec mon père ; Jusqu'au jour où je ramassais les mauvaises herbes et faisais paître les moutons et les moutons dansaient et mangeaient les herbes ; au coup, le loup entra dans notre danse et nous choqua tous en silence : « Hoo loup, espèce d'impitoyable? Ne nous as-tu pas laissé passer une journée à danser et à s'amuser?
- Loup : " Pourquoi ne te poses-tu pas la question ? Avec l'arrivée de vous les humains, cette planète a été maudite. Vous vous plaignez toujours de moi ?
Quand il a répondu de cette façon, il regarda derrière lui et partit précipitamment.
Ce à quoi je ne pensais pas m'est venu. Ce que le loup a dit était incontestable. La voix qui venait du village à côté de notre patelin lorsque j'étais avec mon père était la voix du loup. Je pensais aux paroles de ma mère qu'elle dit de plus en plus ; fiston : « Cette planète est maudite par son silence après l'homme.
Donc une malédiction qui ne finira jamais jusqu'au jour où le silence des humains avec les autres créatures et le bonheur que les humains ont pour leurs propres intérêts, et la danse des moutons par peur des loups et le hurlement des loups par peur des humains.
Le silence pourrait posséder une sagesse populaire collective pour certains parmi nous et une connotation humoristique pour l'autre. Inconscient de cela que je me transforme vers un adolescent mutism et jobastre de ce que je rempli dans ma destinée ou existence.
Maman disait maintes fois que seuls les ados sont infortunés et inconscients parce qu'ils sont jeunes et ne savent pas qui est un renard et qui est un loup. Nous avions un meutes de moutons avec laquelle, cela m'estime satisfaite et bienheureux. Comme le dit le poète à propose du bonheur: « De tous les édifices humains, le plus fragile c'est le bonheur».
Ça résonne en moi que les poètes vécurent une époque si pénible que personne ne pourra jamais être enterré à leur place !
Ce sont eux qui connaissent l'esprit de béatitude de l'existence.
L'histoire de ma vie avec notre village silencieux, les moutons, le hurlement du loup dans le village d'à côté, mon père et ma mère et la malédiction de la nature sur les humains.
- Oui, papa,
- ça-passa quoi ? de quoi t'es si propice ? ce qui délecte-tu ? Pourquoi aurais-tu pas apporté d'eau? nous n'avons pas d'eau à boire, sait-on?
Mon père avait du nez que j'étais le seul à pouvoir incarner le rôle du loup et du renard dans la sereine de notre patelin où seuls les jours s'écoulaient en silence et les nuits au muet comme si personne n'y habitait.
Jour après jour, comme disent les proverbes, aujourd'hui n'est pas demain et demain n'est pas aujourd'hui papa!
- Mon père: ‘'Ha ha ha, qu'est-ce que tu as planté de philosophie dans ton esprit''
- Je vis comme toutes les autres créatures, alors père, que je sois un loup ou un renard, nous devons élever notre bétail !
Le temps passa sauf que rien ne évoluer dans nos destins.
À l'instar de ma première vue que le jour suit la nuit et vice versa.
Je lus en silence un chef-d'œuvre sur un rocher, regardant mon bétail, sur-le-champ, je entendus un des agneaux gémir: « Ma', Ma', Ma', Loup Loup »
Ignorant que le loup vint anéantir
ma gaieté.
La lecture me passa au crible jusqu'à ce que le son soit étouffé, j'ai eu l'impression que le ciel allait pleuvoir, sans savoir que le loup était venu et avait tout mangé. Dans le passé, si quelqu'un ignorait ses habitudes, il pensait qu'il était ivre.
- Mon père plissa les yeux avec colère : « Je t'ai dit de faire attention à eux !
Pourquoi t'était si silencieux ! as-tu été mordu par un serpent? Ou avez-vous avalé votre langue?
- "Ah, non, non, papa, je ne savais pas que je les avais perdus de vue à cause du bruit de la foudre," dis-je d'une voix pleine d'émotion et de peur.
La vie continuait comme cela, dans tous les cas où je me taisais, j'avais l'impression que je devais pleurer ou je regardais la vie comme si les planètes pleuraient au-dessus de nous.
-Pourquoi es-tu si triste, mon fils ?
-Maman, je ne sais pas si la vie était si calme, pourquoi?
-C'est une mélodie attristant
,non?
- Dis-je " oui maman, éventuellement".
-Lève-toi, fiston, va avec ton père récolter les mauvaises herbes et t'occuper des bétails, cela ferait mieux de te taire ici et de penser à cette satanée planète.
Alors ma mère, consciente que cette planète ne sert à rien, soutint perpétuellement mon étrange comportement qui semblait silencieux.
Le soir, il y avait un autre goût que je me tirai avec mon père, cueillir des mauvaises herbes ; "Mon fils, même les mauvaises herbes ont une âme."
Papa, pour tout dire: « Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître. »
Nous rentrions à la maison avec mon père quand nous avons fini de désherber ; Soudain, j'ai senti une voix familière venant du paisible village à côté de notre patelin: "Oh les gens, loup, loup." Dis-je à mon père
- C'est le son des villageois qui crient : "Peut-être que le loup est allé manger leurs moutons ?"
« Oui, répondit-il avec empressement, allons à leur secours.
Ainsi que les anciens coopérèrent les uns avec les autres dans un esprit de collaboration.
La journée continua jusqu'à ce que nous arrivions au village où la voix se fit entendre. Nous levâmes les yeux et criâmes, mais personne ne répondit ;
- "Fils, allons-y. Ce n'est pas encore la nuit. Ce village est vide et calme.
-" dis-je sans hésitation. J'avais beaucoup de questions sans réponse. S'il n'y a personne dans le village, à qui doit-elle être ? Pas moi, mon père le savait aussi ! Eh bien, était-ce la voix qui était si connu?Amplement de ces points et venaient jusqu'à ce que nous soyons arrivés à mi-chemin de notre patelin.
Soudanais, le bruit des nuages, du vent et de la pluie mêlé aux points sans réponse de mon esprit sans aucune perception ni ressentir !
Je prétendis fréquemment dans la vie que lorsque les gens sont confrontés au silence et aux points sans réponse dans leur fond, ils sont vraiment tête-à-tête;.
Autrement dit, toute habitude peut donner un perception le sens et l'interprétation de ces points.
Comme s'il pleuvait des années et des jours passèrent ; Je me demandais juste si ce jour devait être un rêve ou un fantasme. Les fantasmes dût-il avoir la sagesse!
Notre vie dans notre paisible patelin se prolongea comme la joie que nous eûmes avec les moutons et mes darons ; le bonheur fût toujours une dure réalité pour les hommes.
Ce fût un matin froid, et les moutons se sont tus de peur des loups, sans crier gare, je perçus comme ma mère pleurer ; c'était le jour où mon père nous quitta toujours, ne laissant que ma mère et moi seuls avec les moutons et le paisible patelin.
Notre vie fut si dur après le décès de mon père, c'était lui qui me réconfortait de temps en temps et qui était toujours un camarade dans notre paisible patelin.
Les jours passaient et je ne cessais de penser au jour où j'avais entendu cette voix quand je fus avec mon père ; Jusqu'au jour où je ramassais les mauvaises herbes et faisais paître les moutons et les moutons dansaient et mangeaient les herbes ; au coup, le loup entra dans notre danse et nous choqua tous en silence : « Hoo loup, espèce d'impitoyable? Ne nous as-tu pas laissé passer une journée à danser et à s'amuser?
- Loup : " Pourquoi ne te poses-tu pas la question ? Avec l'arrivée de vous les humains, cette planète a été maudite. Vous vous plaignez toujours de moi ?
Quand il a répondu de cette façon, il regarda derrière lui et partit précipitamment.
Ce à quoi je ne pensais pas m'est venu. Ce que le loup a dit était incontestable. La voix qui venait du village à côté de notre patelin lorsque j'étais avec mon père était la voix du loup. Je pensais aux paroles de ma mère qu'elle dit de plus en plus ; fiston : « Cette planète est maudite par son silence après l'homme.
Donc une malédiction qui ne finira jamais jusqu'au jour où le silence des humains avec les autres créatures et le bonheur que les humains ont pour leurs propres intérêts, et la danse des moutons par peur des loups et le hurlement des loups par peur des humains.