Toute histoire commence un jour, quelque part, celui-ci prit départ à Saint-Louis. Parmi les nombreux toits qui composent cette ville. L’une avait la particularité d’abriter un jeune homme nommé Modou qui s’aventura avec un destin si dramatique, que sa vie semblée être un chaos. Hélas ce n’était pas le fruit du hasard c’est plutôt par succession d’événements malheureux, qui fond que l’on n’y voit qu’accident vous vous dites surement comment et pourquoi ? Voici l’histoire.
Ce matin là, Modou respirait avec un grand souffle, tout en s’étirant le corps alourdi. Et de sorte à ne pas perdre le veloutier couverture qu’il avait au touchait dont il se renfrognait, afin d’éviter la sensation froide que l’octroyait l’air. Il entendait aussi des bruits coutumiers à cette heure, au loin. Il sentait aussi l’odeur douce, calme et triste de la brise matinale. Il découvrait la nature à travers ces sens comme un nouveau né s’émerveillerait de le faire dans ce bas monde. En parlant de cela, celle qui la mit bas au monde.
Khady, sa mère et lui vivaient ensemble depuis plus de deux décennies. Elle la vue naître grandir et s’imposer, lorsqu’il, allait se réfugiait contre elle quand il entendait le ciel grondait, ou pour sa première rentrée d’où il était timide d’aller rejoindre ses camarades de classe, ou quand il lui contait s’est fabuleux exploit à la fin de la journée. Elle la instruit à la vie sociale à bas âge faire éduquer à l’école coranique et à l’école Jules ferrique. Depuis lors elle ne cesse de lui inculquer les bonnes mœurs.
N’empêche qu’hier nuit, peut soucieux des mœurs Modou s'était rendu à un lieu loin des habitations citadines, où des inconnus se faisaient discrets pour se converger, à une heure silencieuse de la nuit. Le local ou faisait le point focal des hommes peu soucieux des mœurs. N’était qu’une demeure dont la musique s’étouffait à se contenir. Cette ambiance féerique avait lieu seulement la nuit, le jour vide, déserté, hantée. Le soir la boîte de nuit devenait envahie.
Sa mère Khady, ce matin-là avait débuté la journée par un sentiment étrange. Étrangeté due à son intuition qui l’alertait quelque chose. Chose auquel elle ignorait .Elle ignorait de même pourquoi cela l’est advenu de savoir qu’elle éprouve ce sentiment sans raison, ce qui n’atténuait pas sa curiosité. Cependant elle s’est dirigé vers la chambre de Modou pour se rassurait qu’il n’était pas question de son fils en aucun cas, de lui, et là elle ne tardât pas à assouvir sa curiosité.
« Réveil toi paresseux » lui hurla sa mère. Puisqu’une lueur matinale, Modou avait des rayons de soleil qui l’obligent à se délectait de sa couverture. Il ne voulait même pas avoir la conscience d’esprit d’avoué qu’en réalité qu’il est réveillé. Mais qu’il le voulait ou non, sa mère c’était déjà précipité pour ouvrir la fenêtre. Avec une si longue voyage à faire ce jour-là, dormir jusqu’à cette heure n’était que du macrophage de la lassitude, donc Modou ne pouvait que s’éjectait au lit. Espérant avoir une belle journée, moins rude que celle d’hier ainsi c’était normal ça valais la peine qu’il ait dormit exagérément après une si inqualifiable soirée la veille ! Il se leva et regarda avec amertume cette citation de Jules RENARD inscrit dans le mur qui est en face de son lit : avant de considérer comme du déjà-vu ce qu’il a vécu la vielle
«On dit toujours au bachelier qu’il ne connaît pas le monde, et on lui laisse espérer qu’une fois libre, il ira de surprise en surprise. S’il n’oublie pas instantanément et provisoirement, sa vie de collège qu’il ne se rappellera que plus tard, il s’apercevrait tout de suite, dehors, qu’il ne découvre rien de neuf, que les hommes diffèrent à peine des collégiens, et que, même chez les femmes, ses trouvailles ne sont pas surprenantes. »
Ce jour-là Modou devait faire un voyage en Casamance chez un ami dit Sadio. Sadio était venus avec sa famille commerçante qui venait périodiquement à Saint-Louis vendre leurs fruits saisonniers venant du sud. En n’attendant que la paix se rétablisse en Casamance à la suite de la rébellion des séparatistes dont sa famille s’est exilée. Ses études étant bouleversées par ce choc socioculturel, il était obligé de lés poursuivre à Saint-Louis d’où débuta son amitié avec Modou.
Modou avait l’habitude d’aller là-bas cependant il y allait toujours accompagner de Sadio durant les vacances. Cela fait maintenant trois ans que Sadio est resté là-bas, peut être c’est son terroir natal qui là manquer durant ses quatre années passait au collège, Avant qu’il décide de rentrer en Casamance près de sa famille. Quant à Modou pour conserver son amitié avec lui, il s’était rendu là-bas quatre fois de suite, les trois fois avec Sadio, et la dernière fois tout seul. Et cette fois-ci sa mère tenait qu’il y va à nouveau renouer cette amitié maintenant devenue une vraie fraternité entre les deux familles. Il comptait y aller cet après-midi, même s’il s'est réveillé tardivement, et même s’il n’avait pas encore averti son voisinage de son voyage, encore même s’il n’avait pas accompli le rituel que sa famille perpétuer depuis longtemps pour leur Totem vivant dans le fleuve, dénommé Mame Coumba Bang. Il devait partir ce jour-là
Après des heures de préparation, il s’aménagea comme il se devait pour faire une escale à Dakar du fait qu’il devait prendre là-bas le bateau le « Joola »pour se rendre en Casamance. Il partit après le repas de midi, sa route jusqu’à Dakar lui prit que quatre heures de temps, après son arrivée à Dakar le soir, il y passa la nuit chez une tante, avant de prendre le bateau le « Joola » le lendemain pour se rendre en Casamance. Il arriva en Casamance deux jours après son départ de Saint-Louis. Il fut accueilli avec joie et hospitalité, avant qu’il décide de retourner à Saint-Louis après deux semaines de séjour là-bas.
Modou, comme à chaque visite en Casamance il ne restait là-bas qu'une quinzaine de jours il aime beaucoup parler de la belle verdure là-bas mais il ne restait jamais plus deux ou trois semaines dans une autre ville que saint Louis depuis c'est dix ans.
Après c'être convenu de rentrer en Saint-Louis. Il alla prendre le bateau le « Joola » le jeudi 26 septembre à Ziguinchor à 13h 30. Modou était toujours étonné que des véhicules, des colis et de grande réserve fruitiers en large amont puissent être embarqués dans le bateau y ajoutent les passagers dont lui il y faisait partie. Mais il saluait toujours que dans le bateau les enfants moins de 5 ans ne payassent pas les membres de familles de militaires et aussi les musiciens. Dans le bateau les passagers étaient dans une atmosphère détendue, Modou avait avec lui un roman auquel il voulait terminer durant le trajet, et il s’était mis assis prés d’une femme qui était avec son enfant, dont il ne connaissait pas, mais ils les avaient aidés en leur tenant leur valise à eux.
Aux environs de 18 heures lorsqu'il partit de son escale à Karabane, pour se mettre en route directement vers Dakar. Il y avait une atmosphère de paix de jovialité le passager discuté et parfois ricané jusqu'à ce que l'on n'oublie toute chagrine, Modou avait même été obligé de ranger son bouquin tant les discussions le l'empêcher de se concentrer.
Mais un sentiment de doute venait envahir les passagers. Modou essayait de répondre aux questions de la dame assise prés de lui en le calmant. En le disant que tout allait bien. Mais les aller et retour du personnel technique du bateau, fini par alimenter une rumeur qui s'installa vite dans l'esprit de toue les passagers.
Aux alentours de 23 heures pendant que la mère de Modou attendait son retour avec impatience. Et que la famille de chacun des passagers n'avait guère de mauvaise présomption. Modou et les passagers de ce géant de l’Atlantique s'apprêtaient à vivre un effroyable naufrage pendant que le personnel du bateau savait belle et bien qu'il n'y avait plus grand-chose à faire. Leurs familles ignoraient l'atroce tragédie qu'ils s'apprêtaient à vivre.
Modou fit regret de ne pas avoir fait là rituelle qu'il lui était recommandé au fleuve avant d'entamer le voyage. Pendant ce temps des hommes qui étaient en face de la mort, gardaient toujours leur mort inculqué durant leur séjour au bois sacre, celle de ne pas pleurer, de ne pas crier ni de craindre la mort. Ces braves hommes ne sachant quoi criait ni comment crier d'attester la venue de la mort avec dévotion. Les femmes qui refusèrent de céder à la mort, prirent leurs enfants les consolèrent aux tristes et tragiques réalités. Cette mère assise près de Modou voyant la mort venir inéluctablement, prit la tête de son fils le mit sur son torse. Elle croisa ses bras sur le dos de l’enfant et se communièrent avec lui vers Dieu et attendrit la mort. Les passagers tous prient de panique ne se soucia guère des biens de ce bas monde. Tout apeurés, tous prirent au piège par l’eau, se débattaient pour se tenir à la surface de l’eau qui, froide comme la mort, s’accaparait de leur vie irrévocablement. Un amas de cris de douleur d’atrocité faisait un bruit sourd céda après à un silence total. Le « Joola » pencha de côté submergea d'eau. En laissant que quelque vie s'échappait par canneau de sauvetage. La providence accabla aussi peu de passagers la fortune d’être des rescapés du bateau le « Joola » qui devint sanctuaire d'âme innocent.
Durant toute cette nuit-là, les quelques passagers rescapés on put gagner le coq du navire, ils y restaient jusqu’à l’aube. Aux moments où les albatros faisaient leur raid avec leurs cris qui perturbaient le silence, qui avait fait place aux lamentations aux cris envers Dieu. Des passagers ayant de la bonne fortune étaient accrochés à ce géant des mers, qui n’a fait que 22 ans de service avec ses plus de 1200 passagers qu'il transportait ce jour-là vers Dakar. Modou était accroché lui aussi à une plie de bagages dont il se laissait amener par la valse des petites vagues. À des heures près du lever du soleil certains des rescapés devinrent naufragés suite à des fatigue et crampe issu de l’accident. Tandis que d'autres se maintient dans leur lutte entre la vie et la mort. À la vitesse d’un exténuement toute la vie vécue de Modou se vit en images avant qu'il se laissa emportait au fond de l’océan. Pendant que les lueurs du crépuscule de l’aube luminé le ciel témoins de la tragédie, Modou allait somnoler à jamais, il psalmodie des prières lentement et longuement. Puis un moteur de pirogue qu’il entendait au loin devint si audible, que vite, un des piroguiers vint vers lui et ils plongèrent le cherchèrent et le tirèrent hors de l'océan avant qu'il s'engloutisse dans l’océan à jamais.
Les personnes qui sont venus à sa secousse étaient des habitants d'un village de pêcheurs aux environs de Karabane et de Banjul. Les gens qui l’avaient secouru, c'était des piroguiers qui étaient les premiers à être au courant du chavirement du Joola, ces piroguiers avaient amené les autres rescapés dans les navires de pêche qui étaient près d'eux, c'est Modou qui était le seul à être amené dans leur village en terre ferme.
Plus tard quand il fut poser au rivage de l'océan comme un trésor incompréhensible péchés au bord de l'océan. Modou savourait la vie à nouveau en respirant l’air, il ne croyait pas toujours qu’il avait échappé de justesse a la mort. La mort, l’homme vivant ne l'a pas encore vécu donc il l’ignore, l’homme déjà mort la déjà vécue mais ne peut guère confesser ce mystère. Seul l’homme qui a été au seuil de la vie et de l’au-delà peut nous dire ce qu’il ressemble puisqu’il ne l'a pas franchi. Mais ce jour-là il se délectait juste d'un silence absolu vers des sonorités troubles jusqu’à ce qu’il entendît le bruit qui l’entourait, il lui a fallu du temps pour se rappeler de ce qui s'était passé. Il ne croyait pas à l’idée qu’il a été sur le point de mourir.
Il regardait le ciel bleu sous un autre aspect les rayons du ciel lui faisant un si étrange sentiment. Et ce tas du monde penché sur lui le rappelait la gravitait de la situation. Il ne voyait que des personnes qui lui parler une langue inconnue à lui, jusque-là. Un homme dans la foule lui parla wolof avec un accent qui est plutôt le propre à une peuplade de la Gambie. Modou lui fit comprendre qu’il se sentait bien à présent, sans savoir exactement ce qu’il voulait lui dire. Il restait toujours pensif. La foule maintenait un dialogue pour se plaindre du naufrage des passagers. Tout en faisant sans cesse des louanges à Dieu des quelques rescapés repêchés. Pendant qu’ils se discutaient sur ses origines, sur sa situation et la chance qu’il a eues. Un homme âgé décida de l’aider à se délecter de son gilet de sauvetage.
Et là il toussa et éternua jusqu'à recevoir toute la compassion de ceux qui était autour de lui. Un grand vague d’eau se rapprocha de la foule, et fessa un marrée d’eau qui fessa un esprit d’insécurité à Modou lui qui considérait l'océan comme un cauchemar. Mais la population qui étaient présents, ne semblait pas être gênée par ce vague d’eau brusque qui fit mouiller leurs pieds et leurs habits, ils semblaient être habitués à cela. C'était des habitants d'un village de pêcheurs. Tandis que l’ont l’éloigné des mouvements irréguliers des vagues. Il était face à des personnes qu’il ne connaissait pas, mais qui eux, le connaissait puisqu’il l’on repêchait a la noyade. Ses pécheurs robustes l’avaient tenu à la main pour le hisser plus loin de la rive. Sous l’Escort de la foule...
Il fit amener dans la maison de l'une des chefs. Chez cet homme il y réponda toute la matinée. Plus tard, le soir venue, il sortit de la chambre où il se reposait sans même qu’on le lui demande, il se dirigea vers la cour où était assis toute la famille qui l'avait accueillie. Il hésita à s’assoir aux différentes places libres qu’il avait à sa vue, jusqu’à ce que l’une des jeunes qui étaient là, lui proposa là ou prendre place. Il n’hésitât pas à prendre place là où il avait été indiquer. On essaya de lui faire parler sur les différents sujets qu'ils discutaient, mais il garda silence. Jusqu’à ce que l'un des enfants lui pose cette question :
-Tu étais dans le bateau le « Joola ».
-Oui. lui réponda Modou.
-Pourquoi le bateau a coulé ? Reprit l'enfant
Modou prit une longue inspiration avant de donner sa réponse lors de son expiration dans une aire sincère et digne," l'État n'a pas été vigilant".
Il prit contact avec sa mère et la famille de Sadio et les proches de sa famille pour leur faire savoir qu'il est vivant. Ils restèrent là-bas chez sa famille d'hôtes durant deux jours. Et par voie routière il s'en alla à Dakar y reposer durant peu de temps, avant de retourner à Saint-Louis.
Ce matin là, Modou respirait avec un grand souffle, tout en s’étirant le corps alourdi. Et de sorte à ne pas perdre le veloutier couverture qu’il avait au touchait dont il se renfrognait, afin d’éviter la sensation froide que l’octroyait l’air. Il entendait aussi des bruits coutumiers à cette heure, au loin. Il sentait aussi l’odeur douce, calme et triste de la brise matinale. Il découvrait la nature à travers ces sens comme un nouveau né s’émerveillerait de le faire dans ce bas monde. En parlant de cela, celle qui la mit bas au monde.
Khady, sa mère et lui vivaient ensemble depuis plus de deux décennies. Elle la vue naître grandir et s’imposer, lorsqu’il, allait se réfugiait contre elle quand il entendait le ciel grondait, ou pour sa première rentrée d’où il était timide d’aller rejoindre ses camarades de classe, ou quand il lui contait s’est fabuleux exploit à la fin de la journée. Elle la instruit à la vie sociale à bas âge faire éduquer à l’école coranique et à l’école Jules ferrique. Depuis lors elle ne cesse de lui inculquer les bonnes mœurs.
N’empêche qu’hier nuit, peut soucieux des mœurs Modou s'était rendu à un lieu loin des habitations citadines, où des inconnus se faisaient discrets pour se converger, à une heure silencieuse de la nuit. Le local ou faisait le point focal des hommes peu soucieux des mœurs. N’était qu’une demeure dont la musique s’étouffait à se contenir. Cette ambiance féerique avait lieu seulement la nuit, le jour vide, déserté, hantée. Le soir la boîte de nuit devenait envahie.
Sa mère Khady, ce matin-là avait débuté la journée par un sentiment étrange. Étrangeté due à son intuition qui l’alertait quelque chose. Chose auquel elle ignorait .Elle ignorait de même pourquoi cela l’est advenu de savoir qu’elle éprouve ce sentiment sans raison, ce qui n’atténuait pas sa curiosité. Cependant elle s’est dirigé vers la chambre de Modou pour se rassurait qu’il n’était pas question de son fils en aucun cas, de lui, et là elle ne tardât pas à assouvir sa curiosité.
« Réveil toi paresseux » lui hurla sa mère. Puisqu’une lueur matinale, Modou avait des rayons de soleil qui l’obligent à se délectait de sa couverture. Il ne voulait même pas avoir la conscience d’esprit d’avoué qu’en réalité qu’il est réveillé. Mais qu’il le voulait ou non, sa mère c’était déjà précipité pour ouvrir la fenêtre. Avec une si longue voyage à faire ce jour-là, dormir jusqu’à cette heure n’était que du macrophage de la lassitude, donc Modou ne pouvait que s’éjectait au lit. Espérant avoir une belle journée, moins rude que celle d’hier ainsi c’était normal ça valais la peine qu’il ait dormit exagérément après une si inqualifiable soirée la veille ! Il se leva et regarda avec amertume cette citation de Jules RENARD inscrit dans le mur qui est en face de son lit : avant de considérer comme du déjà-vu ce qu’il a vécu la vielle
«On dit toujours au bachelier qu’il ne connaît pas le monde, et on lui laisse espérer qu’une fois libre, il ira de surprise en surprise. S’il n’oublie pas instantanément et provisoirement, sa vie de collège qu’il ne se rappellera que plus tard, il s’apercevrait tout de suite, dehors, qu’il ne découvre rien de neuf, que les hommes diffèrent à peine des collégiens, et que, même chez les femmes, ses trouvailles ne sont pas surprenantes. »
Ce jour-là Modou devait faire un voyage en Casamance chez un ami dit Sadio. Sadio était venus avec sa famille commerçante qui venait périodiquement à Saint-Louis vendre leurs fruits saisonniers venant du sud. En n’attendant que la paix se rétablisse en Casamance à la suite de la rébellion des séparatistes dont sa famille s’est exilée. Ses études étant bouleversées par ce choc socioculturel, il était obligé de lés poursuivre à Saint-Louis d’où débuta son amitié avec Modou.
Modou avait l’habitude d’aller là-bas cependant il y allait toujours accompagner de Sadio durant les vacances. Cela fait maintenant trois ans que Sadio est resté là-bas, peut être c’est son terroir natal qui là manquer durant ses quatre années passait au collège, Avant qu’il décide de rentrer en Casamance près de sa famille. Quant à Modou pour conserver son amitié avec lui, il s’était rendu là-bas quatre fois de suite, les trois fois avec Sadio, et la dernière fois tout seul. Et cette fois-ci sa mère tenait qu’il y va à nouveau renouer cette amitié maintenant devenue une vraie fraternité entre les deux familles. Il comptait y aller cet après-midi, même s’il s'est réveillé tardivement, et même s’il n’avait pas encore averti son voisinage de son voyage, encore même s’il n’avait pas accompli le rituel que sa famille perpétuer depuis longtemps pour leur Totem vivant dans le fleuve, dénommé Mame Coumba Bang. Il devait partir ce jour-là
Après des heures de préparation, il s’aménagea comme il se devait pour faire une escale à Dakar du fait qu’il devait prendre là-bas le bateau le « Joola »pour se rendre en Casamance. Il partit après le repas de midi, sa route jusqu’à Dakar lui prit que quatre heures de temps, après son arrivée à Dakar le soir, il y passa la nuit chez une tante, avant de prendre le bateau le « Joola » le lendemain pour se rendre en Casamance. Il arriva en Casamance deux jours après son départ de Saint-Louis. Il fut accueilli avec joie et hospitalité, avant qu’il décide de retourner à Saint-Louis après deux semaines de séjour là-bas.
Modou, comme à chaque visite en Casamance il ne restait là-bas qu'une quinzaine de jours il aime beaucoup parler de la belle verdure là-bas mais il ne restait jamais plus deux ou trois semaines dans une autre ville que saint Louis depuis c'est dix ans.
Après c'être convenu de rentrer en Saint-Louis. Il alla prendre le bateau le « Joola » le jeudi 26 septembre à Ziguinchor à 13h 30. Modou était toujours étonné que des véhicules, des colis et de grande réserve fruitiers en large amont puissent être embarqués dans le bateau y ajoutent les passagers dont lui il y faisait partie. Mais il saluait toujours que dans le bateau les enfants moins de 5 ans ne payassent pas les membres de familles de militaires et aussi les musiciens. Dans le bateau les passagers étaient dans une atmosphère détendue, Modou avait avec lui un roman auquel il voulait terminer durant le trajet, et il s’était mis assis prés d’une femme qui était avec son enfant, dont il ne connaissait pas, mais ils les avaient aidés en leur tenant leur valise à eux.
Aux environs de 18 heures lorsqu'il partit de son escale à Karabane, pour se mettre en route directement vers Dakar. Il y avait une atmosphère de paix de jovialité le passager discuté et parfois ricané jusqu'à ce que l'on n'oublie toute chagrine, Modou avait même été obligé de ranger son bouquin tant les discussions le l'empêcher de se concentrer.
Mais un sentiment de doute venait envahir les passagers. Modou essayait de répondre aux questions de la dame assise prés de lui en le calmant. En le disant que tout allait bien. Mais les aller et retour du personnel technique du bateau, fini par alimenter une rumeur qui s'installa vite dans l'esprit de toue les passagers.
Aux alentours de 23 heures pendant que la mère de Modou attendait son retour avec impatience. Et que la famille de chacun des passagers n'avait guère de mauvaise présomption. Modou et les passagers de ce géant de l’Atlantique s'apprêtaient à vivre un effroyable naufrage pendant que le personnel du bateau savait belle et bien qu'il n'y avait plus grand-chose à faire. Leurs familles ignoraient l'atroce tragédie qu'ils s'apprêtaient à vivre.
Modou fit regret de ne pas avoir fait là rituelle qu'il lui était recommandé au fleuve avant d'entamer le voyage. Pendant ce temps des hommes qui étaient en face de la mort, gardaient toujours leur mort inculqué durant leur séjour au bois sacre, celle de ne pas pleurer, de ne pas crier ni de craindre la mort. Ces braves hommes ne sachant quoi criait ni comment crier d'attester la venue de la mort avec dévotion. Les femmes qui refusèrent de céder à la mort, prirent leurs enfants les consolèrent aux tristes et tragiques réalités. Cette mère assise près de Modou voyant la mort venir inéluctablement, prit la tête de son fils le mit sur son torse. Elle croisa ses bras sur le dos de l’enfant et se communièrent avec lui vers Dieu et attendrit la mort. Les passagers tous prient de panique ne se soucia guère des biens de ce bas monde. Tout apeurés, tous prirent au piège par l’eau, se débattaient pour se tenir à la surface de l’eau qui, froide comme la mort, s’accaparait de leur vie irrévocablement. Un amas de cris de douleur d’atrocité faisait un bruit sourd céda après à un silence total. Le « Joola » pencha de côté submergea d'eau. En laissant que quelque vie s'échappait par canneau de sauvetage. La providence accabla aussi peu de passagers la fortune d’être des rescapés du bateau le « Joola » qui devint sanctuaire d'âme innocent.
Durant toute cette nuit-là, les quelques passagers rescapés on put gagner le coq du navire, ils y restaient jusqu’à l’aube. Aux moments où les albatros faisaient leur raid avec leurs cris qui perturbaient le silence, qui avait fait place aux lamentations aux cris envers Dieu. Des passagers ayant de la bonne fortune étaient accrochés à ce géant des mers, qui n’a fait que 22 ans de service avec ses plus de 1200 passagers qu'il transportait ce jour-là vers Dakar. Modou était accroché lui aussi à une plie de bagages dont il se laissait amener par la valse des petites vagues. À des heures près du lever du soleil certains des rescapés devinrent naufragés suite à des fatigue et crampe issu de l’accident. Tandis que d'autres se maintient dans leur lutte entre la vie et la mort. À la vitesse d’un exténuement toute la vie vécue de Modou se vit en images avant qu'il se laissa emportait au fond de l’océan. Pendant que les lueurs du crépuscule de l’aube luminé le ciel témoins de la tragédie, Modou allait somnoler à jamais, il psalmodie des prières lentement et longuement. Puis un moteur de pirogue qu’il entendait au loin devint si audible, que vite, un des piroguiers vint vers lui et ils plongèrent le cherchèrent et le tirèrent hors de l'océan avant qu'il s'engloutisse dans l’océan à jamais.
Les personnes qui sont venus à sa secousse étaient des habitants d'un village de pêcheurs aux environs de Karabane et de Banjul. Les gens qui l’avaient secouru, c'était des piroguiers qui étaient les premiers à être au courant du chavirement du Joola, ces piroguiers avaient amené les autres rescapés dans les navires de pêche qui étaient près d'eux, c'est Modou qui était le seul à être amené dans leur village en terre ferme.
Plus tard quand il fut poser au rivage de l'océan comme un trésor incompréhensible péchés au bord de l'océan. Modou savourait la vie à nouveau en respirant l’air, il ne croyait pas toujours qu’il avait échappé de justesse a la mort. La mort, l’homme vivant ne l'a pas encore vécu donc il l’ignore, l’homme déjà mort la déjà vécue mais ne peut guère confesser ce mystère. Seul l’homme qui a été au seuil de la vie et de l’au-delà peut nous dire ce qu’il ressemble puisqu’il ne l'a pas franchi. Mais ce jour-là il se délectait juste d'un silence absolu vers des sonorités troubles jusqu’à ce qu’il entendît le bruit qui l’entourait, il lui a fallu du temps pour se rappeler de ce qui s'était passé. Il ne croyait pas à l’idée qu’il a été sur le point de mourir.
Il regardait le ciel bleu sous un autre aspect les rayons du ciel lui faisant un si étrange sentiment. Et ce tas du monde penché sur lui le rappelait la gravitait de la situation. Il ne voyait que des personnes qui lui parler une langue inconnue à lui, jusque-là. Un homme dans la foule lui parla wolof avec un accent qui est plutôt le propre à une peuplade de la Gambie. Modou lui fit comprendre qu’il se sentait bien à présent, sans savoir exactement ce qu’il voulait lui dire. Il restait toujours pensif. La foule maintenait un dialogue pour se plaindre du naufrage des passagers. Tout en faisant sans cesse des louanges à Dieu des quelques rescapés repêchés. Pendant qu’ils se discutaient sur ses origines, sur sa situation et la chance qu’il a eues. Un homme âgé décida de l’aider à se délecter de son gilet de sauvetage.
Et là il toussa et éternua jusqu'à recevoir toute la compassion de ceux qui était autour de lui. Un grand vague d’eau se rapprocha de la foule, et fessa un marrée d’eau qui fessa un esprit d’insécurité à Modou lui qui considérait l'océan comme un cauchemar. Mais la population qui étaient présents, ne semblait pas être gênée par ce vague d’eau brusque qui fit mouiller leurs pieds et leurs habits, ils semblaient être habitués à cela. C'était des habitants d'un village de pêcheurs. Tandis que l’ont l’éloigné des mouvements irréguliers des vagues. Il était face à des personnes qu’il ne connaissait pas, mais qui eux, le connaissait puisqu’il l’on repêchait a la noyade. Ses pécheurs robustes l’avaient tenu à la main pour le hisser plus loin de la rive. Sous l’Escort de la foule...
Il fit amener dans la maison de l'une des chefs. Chez cet homme il y réponda toute la matinée. Plus tard, le soir venue, il sortit de la chambre où il se reposait sans même qu’on le lui demande, il se dirigea vers la cour où était assis toute la famille qui l'avait accueillie. Il hésita à s’assoir aux différentes places libres qu’il avait à sa vue, jusqu’à ce que l’une des jeunes qui étaient là, lui proposa là ou prendre place. Il n’hésitât pas à prendre place là où il avait été indiquer. On essaya de lui faire parler sur les différents sujets qu'ils discutaient, mais il garda silence. Jusqu’à ce que l'un des enfants lui pose cette question :
-Tu étais dans le bateau le « Joola ».
-Oui. lui réponda Modou.
-Pourquoi le bateau a coulé ? Reprit l'enfant
Modou prit une longue inspiration avant de donner sa réponse lors de son expiration dans une aire sincère et digne," l'État n'a pas été vigilant".
Il prit contact avec sa mère et la famille de Sadio et les proches de sa famille pour leur faire savoir qu'il est vivant. Ils restèrent là-bas chez sa famille d'hôtes durant deux jours. Et par voie routière il s'en alla à Dakar y reposer durant peu de temps, avant de retourner à Saint-Louis.