Le gang des tueurs (Roman policier et fiction)

Par un jour de mauvais temps, le 22 novembre 2022 dans la ville de Gilou, il y eut un attentat mortel.
 
Le tueur s'était enfui juste avant l'arrivée des policiers.
Les policiers avaient découvert une tache de sang avec un message qui disait :
- Donnez moi 12 millions d'euros sinon il y aura un autre attentat.
Sébastien, policier gradé, nous dit :
- Ne versez pas l'argent ! 
Tout le monde l'écouta et l'enquête commença.
 
Dans la nuit, ce que l'on craignait arriva, mais cette fois sous forme de cyber-attaque sur l'hôpital de Gilou. Tous les habitants étaient désespérés parce qu'il y avait des données importantes sur eux, dans les fichiers de l'hôpital.
 
Un agent a retrouvé par hasard dans les toilettes du commissariat un autre message qui disait :
« Agent 212, on envoie une bombe sur la ville de Gilou demain ! »
On ne savait pas qui était l'agent 212 mais on avait déjà un indice sur la date d'envoi de la bombe et la localisation de la cible.
De suite, nous avons appelé des militaires en renfort.
Ceux-ci sont arrivés le lendemain. Ce que nous ne savions pas c'est que plus d'une centaine de tueurs étaient déjà à l'affut. 
 
Ah oui, j'oubliais, je m'appelle Sam. Je suis policier au commissariat de Gilou et j'ai vingt ans.
Gilou est une petite ville qui contient une source surnaturelle, qui donne plein d'argent au maire de la ville, monsieur Bougak.
 
Bon, revenons au fait que nous nous retrouvons face à des tueurs. Le chef des tueurs s'appelait Gara. Il avait une balafre et des gros muscles. 
J'ai commencé à tirer sur eux avec ma mitraillette et les militaires m'ont suivi. Gara, voyant cela, mécontent ordonna par talkie-walkie :
- Faites exploser la bombe ! 
 
Le tueur répondit : - ok.  Et il appuya sur la télécommande pour la faire exploser sur la ville, par chance cet endroit était désert. 
Voyant cela, moi je courus, courus, courus jusqu'à me casser les pieds. Il y avait un immeuble en ruine et je m'y suis réfugié. Je sentis quelqu'un derrière moi... Je pris ma mitraillette et je me retournai. Gara était là juste derrière moi avec Sébastien. Je ne le croyais pas. Sébastien était l'agent 212. Il me fit un clin d'œil. Je compris tout de suite ce que voulait signifier ce clin d'œil alors je tirais sur Gara. 
Sébastien me dit :
- Je faisais semblant d'être avec les tueurs pour découvrir leur chef. 
Gara qu'on croyait mort se releva et appela ses hommes. Il avait un gilet pare-balle que nous n'avions pas vue. Il dit alors :
- Venez me cherchez bande de fainéants. 
 
Il nous tira dessus et toucha Sébastien. Il cria en s'enfuyant : 
- Salut les nazes, je vais dire ce qu'il s'est passé au chef suprême.
Je ne répondis rien car je pleurai la mort de mon ami.
 
Deux heures plus tard, les policiers me demandèrent ce qui c'était passé ici.
Je répondis : 
- On a tué Sébastien.
Le commissaire qui s'appelait Hector dit :
- Sam, si tu veux, je peux t'apprendre comment te défendre et venger la mort de ton ami
- Ne perdez pas votre temps avec un malheureux comme moi. 
- Je ne perds pas mon temps, je crois en toi.
Je rougis et lui dis :
- OK, apprenez moi.
 
Du coup, il m'apprit plusieurs techniques de combat pendant quinze jours. Dès que je sortis de cet entrainement intensif, je me sentis plus fort et plus malin que jamais. 
Deux jours plus tard, un informateur me dit qu'il pouvait m'indiquer où Gara et le chef suprême se cachaient contre une certaine somme d'argent.
Je lui donnai donc ce qu'il voulait et il m'indiqua le lieu de la planque.
 
Nous voici partis vers cette direction avec mes collègues. Arrivés sur place un mot indiquait comme quoi l'informateur de la planque était du gang des tueurs. Je me suis dépêché de rentrer pour voir s'il était encore là et pour l'interroger. Malheureusement, il n'y avait plus personne...
- Mince, dis –je
Là je vis le commissaire Hector.
 
Il me dit : - ce n'est pas grave. Et me remonta le moral. Je suis rentré chez moi et j'ai regardé un bon film pour me détendre. Tout d'un coup, j'entendis un bruit comme une explosion de bombe, je sentis mon immeuble s'effondrer. Je me suis relevé très vite. J'ai appelé le commissaire Hector qui m'a dit :
- J'appelle les pompiers ! Ne t'inquiète pas !
 
Les pompiers sont arrivés et m'ont sauvé. Après les avoir remercié, je suis revenu dans mon bâtiment détruit et, de là, j'ai vu au moins dix hélicoptères ennemis arriver sur Gilou. Ça se passe très mal. Je suis descendu à toute vitesse, j'ai demandé à un militaire de me prêter son fusil silencieux.
Grâce à ce fusil, j'ai tiré sur un hélicoptère et il est tombé non loin de moi. Et là le choc, c'était celui de Gara et... du commissaire Hector. Celui qui m'a tout appris était le chef suprême. Je voulais le tuer quand il me dit :
 -Je te conseille de ne pas tirer, regarde autour de toi, tu es cerné. Tu tires et c'est la mort pour toi. Ah  ah ah.
-Je m'en fiche complétement, dis-je, je veux sauver Gilou. Alors meure.
-Ah ah ah, alors tu veux ça.
- Oui, si c'est pour sauver Gilou, je le veux.
- Alors meure avec moi. 
Il y eu un combat tragique et nous fûmes tous ensanglantés.
Je dis : 
 - Policiers avec moi pour la sécurité de la ville.
Le commissaire Hector cria : 
-Tueurs avec moi pour s'emparer de la ville et de sa source.
Et c'est comme ça, après un long combat que les policiers et les militaires rentrèrent victorieux sans victime dans leur camp. Par contre, le gang des tueurs, lui, a subi beaucoup de pertes.
Moi, Sam, je fus récompensé par le maire de Gilou. Il me dit que je pourrai me la couler douce dans un hôtel cinq étoiles pendant le temps que je voudrai, sachant que la source surnaturelle continuera à enrichir Gilou et ses habitants. 
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