Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? Peut-être les deux. La croyance, c’est une chose qui peut nous rendre ce que nous voulons du cœur. On compte la lumière plus chère parce qu’il existe le noir et nous avons peur de ce noir. C’est la raison pourquoi on préfère les rayons de la lune pendant le noir de la nuit. C’est à nous, comment nous allons compter notre situation dans la vie. Chaque moment n’est pas le même, mais on doit se mettre debout fort devant le mauvais temps. Attends !
Pourquoi je me sens si froid en ayant un vent froid dans mon échine ? Ce n’est pas le temps de penser ces choses, c’est peut-être le dernier minute où je peux rire du cœur, peut-être ce métro va finir son tour du jour en prenant mon âme avec lui envers dans le trou noir qui est entouré par les collines. Je ne sais pas après cette heure-ci quand je pourrai avoir une raison de vivre, une raison de rire. C’est un soir plus froid et plus noir que j’ai eu dans les vingt-deux hivers derniers. Il y a plein de lumières dans cet aéroport, mais ça me semble trop sombre que j’ai peur. Ce n’est pas la peur de fantôme, ce n’est pas la peur de ne pas avoir une chose, c’est la peur de perdre la joie, un vent doux pour lequel je pourrai respire. C’est une doute qu’une personne a quand il laisse son âme au nom de Dieu sans savoir le temps où il la trouvera chez lui. C’est un endroit qui était toujours inconnu à moi jusqu’au hiver dernier, mais c’est maintenant un endroit d’où je ne veux jamais sortir seul. Cette ville est presque des milliers kilomètres loin de mon pays, ayant une culture différente, une tradition différente, des gens différents, mais c’est le lieu où je vais laisser ma joie ce soir, le métro va l’emporter loin de moi et c’est le dernier métro de ce soir, là. J’ai pensé des tas de choses en prenant les mains qui me semble trop douce et je ne veux jamais les laisser jusqu’à ce temps quand ce métro s’arrêtera dans cette gare dernière, sous ce bel aéroport. Quand on annonce que nous sommes arrivés sur notre destination, mon cœur commence à battre avec toute sa force. Je veux bien crier et pleurer, je me sens, mais je ne peux pas en faire parce que je ne veux pas la faire faible dans ce temps de départ. Peut-être c’est la plus belle chose de l’amour que nous avons la peine, mais nous ne voulons pas la lui montrer car nous savons que ça va faire faible cette personne à qui nous avons fait promesse de rester comme sa force, comme son courage.
Je suis sorti de ce métro et j’ai commencé à marcher vers l’escalier pour me monter au guichet pour prendre le billet d’avion, mais mes pieds ? Qu’est-ce qu’ils ont ? les pieds ne veulent pas en faire, même ma main ne veut pas laisser la sienne pour un moment. Je sais le même sens est avec cette femme qui m’a promis d’être sur ma côté jusqu’au dernier jour de sa vie. C’est la situation qui nous a forcé de penser de cette peine de la séparation.
Je peux voir les lumières artificielles, un monde souriant partout de cet endroit, mais pourquoi je me sens très mal à voir ? les bruits de gens sont en forme pendant le temps de soir-là, mais je ne peux rien entendre. Mes yeux veulent se fermer et penser comme c’est un cauchemar et quand je vais les ouvrir, je pourrai voir ce beau visage souriant devant le mien et m’exprimera « Je t’aime, il ne faut pas me laisser tout seul, on va rester ensemble pour toujours, on va verser notre rêve en réalité comme on en a promis ».
Soudainement, Une voix très connue m’appelle de proche « Yunfan, viens vite ! c’est 22.00h, je n’ai que 30 minutes pour prendre le dernier métro ». Nous avons monté au 4ème étage de cet aéroport où on prend mon billet de retour à mon pays et le vol est à minuit. Elle peut comprendre mon émotion peut-être c’est pourquoi elle me serre contre ses bras avec toute sa force en disant « ne perds pas ta confiance, il faut battre ce malheur et comme je t’ai promis, je vais rentrer chez toi dans un an et puis nous allons vivre ensemble pour toujours. » En l’entendant, d’un coin de mes yeux les armes ont commencé à couler. Elle se plaint en disant que sauf elle rien dans le monde ne peut pas toucher ma joue. On rit ensemble pour la dernière fois. Elle est prête pour se descendre et prendre le métro et moi, je vais l’accompagner jusqu’à la gare. On commence de parler de s’occuper d’un d’autre et arrive et attend le train. Elle m’embrasse en pleurant, moi aussi. C’est un monde inconnu pour moi, je suis un étranger qui embrasse une femme de leur pays pour la dernière fois peut-être. Personne, sauf nous les deux, ne peut pas comprendre ce qui arrive dans notre cœur. Les policiers, les employés de cette gare, les gens qui attend leur train nous regardent avec une curiosité mais comprennent rien. Cette fragrance du corps, ce sourire doux, ce soin, cet amour qui m’ont fait vivre, m’ont changé comme une personne gagnante de la vie, vont me laisser tout seul dans quelques minutes. Les larmes de nos yeux sont train de couler comme on brise le réservoir des larmes. Le train arrive et elle s’en entre ayant les yeux plein de larmes. Je me mets debout devant la porte de cette boîte, mais on ferme cette porte tout de suite et nous donne le signe de partir. Elle se met devant une fenêtre et m’appelle comme un enfant en disant qu’elle m’aime et elle va venir, il ne faut pas perdre le courage. Le train commence à partir et elle va loin de moi de plus en plus, je commence à courir vers elle pour la voir plus, mais tout de suite le train a disparu. Je suis tombé sur sol en courant et comme c’est interdit de courir derrière le train, les policiers me suivent pour m’aider. Je ne me sens jamais si seul autant que cette fois-ci. Du loin je peux seulement regarder que ce métro prend ma vie pour toujours et je dois rester sans faire rien. Je me souviens la première fois quand je suis venu dans cette ville, cette ville m’embrasse en disant de l’explorer et ce temps-là, elle n’était pas avec moi, je suis venu ici pour comprendre sa culture, son pays et je suis tombé en amoureux de cette ville et ce pays. Le vent doux des collines avec les rayons du soleil qui m’ont embrassé une fois, sont maintenant me semble trop toxique, parce que je n’ai pas envie de rester seul, sans elle, peut-être je n’ai pas d’espoir de la vie et c’est pourquoi je me sens si seul.
Une personne vit pour son rêve en ayant un espoir qu’un jour son rêve va être réel. La vie va devenir comme la cendre sauf espoir et comme je l’ai promis de l’attendre, c’est le rêve et espoir de vivre à partir de ce moment. Ce sont des choses que j’ai dans ma tête qui est devenue trop lourde avec des yeux rouges en pleurant. J’ai peur de l’avenir et je ne veux pas penser une vie sauf cette personne avec qui j’ai vu un rêve d’être toujours. Ce métro l’a pris loin et m’a mis dans le noir où je ne peux rien voir, seulement ce que j’ai comme la raison de vivre est la plus douce mémoire d’elle et l’espoir de son arrivée un jour.
Pourquoi je me sens si froid en ayant un vent froid dans mon échine ? Ce n’est pas le temps de penser ces choses, c’est peut-être le dernier minute où je peux rire du cœur, peut-être ce métro va finir son tour du jour en prenant mon âme avec lui envers dans le trou noir qui est entouré par les collines. Je ne sais pas après cette heure-ci quand je pourrai avoir une raison de vivre, une raison de rire. C’est un soir plus froid et plus noir que j’ai eu dans les vingt-deux hivers derniers. Il y a plein de lumières dans cet aéroport, mais ça me semble trop sombre que j’ai peur. Ce n’est pas la peur de fantôme, ce n’est pas la peur de ne pas avoir une chose, c’est la peur de perdre la joie, un vent doux pour lequel je pourrai respire. C’est une doute qu’une personne a quand il laisse son âme au nom de Dieu sans savoir le temps où il la trouvera chez lui. C’est un endroit qui était toujours inconnu à moi jusqu’au hiver dernier, mais c’est maintenant un endroit d’où je ne veux jamais sortir seul. Cette ville est presque des milliers kilomètres loin de mon pays, ayant une culture différente, une tradition différente, des gens différents, mais c’est le lieu où je vais laisser ma joie ce soir, le métro va l’emporter loin de moi et c’est le dernier métro de ce soir, là. J’ai pensé des tas de choses en prenant les mains qui me semble trop douce et je ne veux jamais les laisser jusqu’à ce temps quand ce métro s’arrêtera dans cette gare dernière, sous ce bel aéroport. Quand on annonce que nous sommes arrivés sur notre destination, mon cœur commence à battre avec toute sa force. Je veux bien crier et pleurer, je me sens, mais je ne peux pas en faire parce que je ne veux pas la faire faible dans ce temps de départ. Peut-être c’est la plus belle chose de l’amour que nous avons la peine, mais nous ne voulons pas la lui montrer car nous savons que ça va faire faible cette personne à qui nous avons fait promesse de rester comme sa force, comme son courage.
Je suis sorti de ce métro et j’ai commencé à marcher vers l’escalier pour me monter au guichet pour prendre le billet d’avion, mais mes pieds ? Qu’est-ce qu’ils ont ? les pieds ne veulent pas en faire, même ma main ne veut pas laisser la sienne pour un moment. Je sais le même sens est avec cette femme qui m’a promis d’être sur ma côté jusqu’au dernier jour de sa vie. C’est la situation qui nous a forcé de penser de cette peine de la séparation.
Je peux voir les lumières artificielles, un monde souriant partout de cet endroit, mais pourquoi je me sens très mal à voir ? les bruits de gens sont en forme pendant le temps de soir-là, mais je ne peux rien entendre. Mes yeux veulent se fermer et penser comme c’est un cauchemar et quand je vais les ouvrir, je pourrai voir ce beau visage souriant devant le mien et m’exprimera « Je t’aime, il ne faut pas me laisser tout seul, on va rester ensemble pour toujours, on va verser notre rêve en réalité comme on en a promis ».
Soudainement, Une voix très connue m’appelle de proche « Yunfan, viens vite ! c’est 22.00h, je n’ai que 30 minutes pour prendre le dernier métro ». Nous avons monté au 4ème étage de cet aéroport où on prend mon billet de retour à mon pays et le vol est à minuit. Elle peut comprendre mon émotion peut-être c’est pourquoi elle me serre contre ses bras avec toute sa force en disant « ne perds pas ta confiance, il faut battre ce malheur et comme je t’ai promis, je vais rentrer chez toi dans un an et puis nous allons vivre ensemble pour toujours. » En l’entendant, d’un coin de mes yeux les armes ont commencé à couler. Elle se plaint en disant que sauf elle rien dans le monde ne peut pas toucher ma joue. On rit ensemble pour la dernière fois. Elle est prête pour se descendre et prendre le métro et moi, je vais l’accompagner jusqu’à la gare. On commence de parler de s’occuper d’un d’autre et arrive et attend le train. Elle m’embrasse en pleurant, moi aussi. C’est un monde inconnu pour moi, je suis un étranger qui embrasse une femme de leur pays pour la dernière fois peut-être. Personne, sauf nous les deux, ne peut pas comprendre ce qui arrive dans notre cœur. Les policiers, les employés de cette gare, les gens qui attend leur train nous regardent avec une curiosité mais comprennent rien. Cette fragrance du corps, ce sourire doux, ce soin, cet amour qui m’ont fait vivre, m’ont changé comme une personne gagnante de la vie, vont me laisser tout seul dans quelques minutes. Les larmes de nos yeux sont train de couler comme on brise le réservoir des larmes. Le train arrive et elle s’en entre ayant les yeux plein de larmes. Je me mets debout devant la porte de cette boîte, mais on ferme cette porte tout de suite et nous donne le signe de partir. Elle se met devant une fenêtre et m’appelle comme un enfant en disant qu’elle m’aime et elle va venir, il ne faut pas perdre le courage. Le train commence à partir et elle va loin de moi de plus en plus, je commence à courir vers elle pour la voir plus, mais tout de suite le train a disparu. Je suis tombé sur sol en courant et comme c’est interdit de courir derrière le train, les policiers me suivent pour m’aider. Je ne me sens jamais si seul autant que cette fois-ci. Du loin je peux seulement regarder que ce métro prend ma vie pour toujours et je dois rester sans faire rien. Je me souviens la première fois quand je suis venu dans cette ville, cette ville m’embrasse en disant de l’explorer et ce temps-là, elle n’était pas avec moi, je suis venu ici pour comprendre sa culture, son pays et je suis tombé en amoureux de cette ville et ce pays. Le vent doux des collines avec les rayons du soleil qui m’ont embrassé une fois, sont maintenant me semble trop toxique, parce que je n’ai pas envie de rester seul, sans elle, peut-être je n’ai pas d’espoir de la vie et c’est pourquoi je me sens si seul.
Une personne vit pour son rêve en ayant un espoir qu’un jour son rêve va être réel. La vie va devenir comme la cendre sauf espoir et comme je l’ai promis de l’attendre, c’est le rêve et espoir de vivre à partir de ce moment. Ce sont des choses que j’ai dans ma tête qui est devenue trop lourde avec des yeux rouges en pleurant. J’ai peur de l’avenir et je ne veux pas penser une vie sauf cette personne avec qui j’ai vu un rêve d’être toujours. Ce métro l’a pris loin et m’a mis dans le noir où je ne peux rien voir, seulement ce que j’ai comme la raison de vivre est la plus douce mémoire d’elle et l’espoir de son arrivée un jour.