Le courage : une arme contagieuse

Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître. »Il éclatât de rire de moquerie et me dit : « T'es tout petit et tu ne m'arrive pas à la cheville. Je suis puissant que toi. Regarde ce que tu possèdes. C'est trop insignifiant par rapport à ce que j'ai, j'ai faits et ce que j'ai mis au point... »Je répondu avec vivacité et courage : « Je sais que t'es 28 fois plus grand que moi en terme de taille. T'as participé à des grandes batailles et révolutions et t'as mis au point des grandes armes. Mais je ne vous appellerai pas maître malgré votre supériorité en puissance je ne me mettrai pas à genoux devant vous et je ne vous servirai pas. »Mes paroles attirèrent l'attention des tous ceux qui était là. Ces derniers se divisèrent en deux groupes en tenant compte de soutenance des idéologies. Chacun était derrière l'idéologie qui trouvait bon ; il y avait ceux qui me soutenaient et ceux qui était du côté adverse.En réalité j'étais faible que mon adversaire mais je savais qu'un géant était de mon côté alors je n'avais pas peur de lui. Je savais aussi que le fait de lui résister et de lui tenir tête était une façon de lui lancer un défi.En écoutant tous mes propos il rétorqua : « Comme tu ne veux pas m'appeler Maître ni te soumettre à ma volonté alors tu comptes te mesurer à moi ! »Je répondu à haute voix : « Ça dépend de ce que tu penses. Je suis prêt à tout pourvu que je ne sois pas ton serviteur et toi mon Maître ».Je reçu une acclamation encourageante de la part de mon publique. Cela me rendu encore fort et motivant. Mais cette acclamation alerta ceux qui était éloignés et attira aussi leur attention.Furieux qu'il était, il dit : « Je viens te battre chez toi et prendre tous ce qui t'appartient : ta femme et tes enfants seront tous mes serviteurs. Mais je mets en garde tous celui qui va s'implique directement dans ce problème saura affaire à moi ».Je savais qu'il parlait du géant qui me supportait, qui était son redoutable adversaire. Il a toujours rêvé se mesurer à lui parce qu'il est officiellement le plus fort des tous mais il n'en a jamais eu une occasion de livrer un combat loyal.Regarda sa taille et la mienne, je me senti diminue et je ne valais rien devant lui mais il me revient ce passage des saintes écritures où le géant de la ville de Gath et champion de l'armée philistine livra un combat contre un jeune de moins de 20 ans. Goliath atteignait 2,90 mettre de taille ce qui lui permettait d'avoir une cotte de mailles en cuivre qui pesait 57 kilogramme et une lame de fer de sa lance de 6,8 kilogramme. Il était vraiment plus grand que lui de tout en taille, en grandeur et en force mais cela n'a pas empêcher le jeune David de lui tuer. Cette épisode renforça ma détermination et me donna le courage en disant : « Je suis prêt à t'affronter. Je t'attends ».Rempli de colère il me lança : « Je te mettrai à terre en une minute et si tu résiste encore en refusant de m'appeler Maitre et te soumettre à moi, je te tuerai à coup sûr ».J'écoutais les gens dire : « Boma ye ! Boma ye ! Boma ye ! »Cela me rappela les grands combats de l'histoire de boxe où les Champions ont été battu par des jeunes combattants boxeurs lors de leurs premiers combats. Et il avança vers moi d'un pas confiant et ferme. De mon côté comme fort Alamo à San Antonio, dans ces fameuses histoires à propos de voyages au Texas, je restais concentrer sur lui avec une attitude nécessaire pour faire face aux risques, aux pertes et à l'échec. Sans pitié il entra dans mon territoire et le combat commença. Dans cette histoire américaine, le fort Alamo, dans la ville historique de San Antonio (Texas), qui fut encerclé et assiégé en 1836 par 7 000 soldats mexicains. Défendu par quelques centaines d'Américains du Texas, le fort résista longtemps aux troupes assiégeantes, mais dut, après 15 jours de lutte épuisante, céder aux forces supérieures des Mexicains. Dans l'héroïque défense du fort, tous les Américains combattants se firent massacrer, non sans avoir préalablement infligé de lourdes pertes à l'ennemi mexicain.Fort Alamo est l'histoire extraordinaire de braves gens qui choisirent de se battre, tout en sachant qu'il n'avait aucun espoir de succès contre des forces supérieures écrasantes. Ils choisirent de mourir plutôt que de se rendre. C'est une histoire qui m'as trop inspiré et qui a valu la peine d'être étudiée ; néanmoins, cela a demeuré une tragique défaite militaire. Car ils s'étaient fait botter le derrière. Cela me fortifia et me donna le courage de lutter dans le combat. Ce combat causer beaucoup de dégâts pas seulement pour moi et mon adversaire mais aussi pour nos publics. Le combat qui était censé se terminer dans une minute a pris cinq minutes, dix minutes, un jour, une semaine, un mois, deux mois. Et en ce moment que je vous écris ses paragraphe la lutte continue encre tout en créant des désastres sur divers plans.Je voulais laisser une leçon à ceux que sont dans la même situation que la mienne et qui ne veulent pas lutter par maque de force et par peur de perdre. Cette leçon est la plus grande arme contre la peur car elle est contagieuse ça s'appelle le courage. Ne pas avoir peur de la mort. Tous celui qui veut vivre trouvera la mort tandis que celui qui veut mourir trouvera la vie car il y a un proverbe qui dit « Si un homme fait son devoir il peut en vaincre des milliers ». J'ai trouvé que cela s'appliquait aussi à ma situation et celui de mes contemporains.Alors étant arrivé au bout des forces après avoir encaisser plusieurs coups de mon adversaire, j'ai crié comme le Rabbi de Galilée sur le poteau de supplice « J'accepte de mourir que de t'appeler Maitre. J'y laisserai la vie mais je vivrai dans la pensée des ceux qui me soutienne dans cette lutte pour la révolution ».Et il me donna le coup de grâce en disant « Tu l'aurai voulu ! » Alors les publiques s'impliquèrent dans le combat et se fut une grande bataille entre les deux camps.