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Poèmes
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Cent cinquante violons parés pour en découdre
Un souffle qui s'arrête, au bord, et qui se tait
Dix-huit lanternes floues éclatées par la foudre
Deux cent treize badauds qui traversent l'été
Trente vitrines. Plus ? Qui s'étonnent, s'enragent
Quinze francs dans ma poche, eh oui... tout ça est loin
Un chapitre nouveau qui s'ose, sur ma page
Un article du Monde érigé avec soin
Un café bien serré, et toi tu es assise
À un mètre, ou bien cent, enfin, je ne sais pas
Est-ce moi, ou alors... Ah bon ? Tes yeux me visent ?
Dix-sept heures. Le temps sans bruit presse le pas
Cent cinquante violons, Vivaldi entre en scène
Cent et un battements de cœur en un seul trait
Mille questions et une : « Où le hasard nous mène ? »
Et puis cette minute où je t'ai rencontrée.
Un souffle qui s'arrête, au bord, et qui se tait
Dix-huit lanternes floues éclatées par la foudre
Deux cent treize badauds qui traversent l'été
Trente vitrines. Plus ? Qui s'étonnent, s'enragent
Quinze francs dans ma poche, eh oui... tout ça est loin
Un chapitre nouveau qui s'ose, sur ma page
Un article du Monde érigé avec soin
Un café bien serré, et toi tu es assise
À un mètre, ou bien cent, enfin, je ne sais pas
Est-ce moi, ou alors... Ah bon ? Tes yeux me visent ?
Dix-sept heures. Le temps sans bruit presse le pas
Cent cinquante violons, Vivaldi entre en scène
Cent et un battements de cœur en un seul trait
Mille questions et une : « Où le hasard nous mène ? »
Et puis cette minute où je t'ai rencontrée.
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