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Mon tendre amour
Je te dirai le ciel qui dort sur les nuages,
Son gris d'avril blessé qui penche sur la mer,
Les étoiles dans ses poches
Qu'il jette dans la nuit,
Les cris de joie gênée
Qu'il prête aux oiseaux,
L'orage en rage en cage par-delà les nuages,
Le vent d'avant le jour qui souffle au ciel d'été
Quatre étoiles, une lune ou un cœur à aimer, fort...
Dans les couloirs du temps, les secondes sont chères,
Précieuses...
Parce que le monde est grand
Il faut courir longtemps...
Ce soir, j'ai vu le ciel qui dort sur les nuages,
Son gris d'avril blessé qui penche sur la mer.
Dans les couloirs du temps, les secondes sont chères,
Parce que le monde est grand, il faut courir longtemps
Et moi, où que mes pas me portent,
Par les bois mystérieux,
Par les montagnes nues au cœur de reines altières,
Par les collines violines qui dominent la mer,
Sous le soleil ou sous la pluie,
Sous les flocons légers virevoltants de la neige
Qui en douceur se pose sur le pâle silence du monde,
Tous mes chemins vont jusqu'à toi.
Parce que le monde est grand, il faut courir longtemps
Et moi, où que mes pas me portent, je cours toujours vers toi,
Mon tendre amour
Jusqu'à entendre en moi battre le cœur du ciel.
Je te dirai le ciel qui dort sur les nuages,
Son gris d'avril blessé qui penche sur la mer,
Les étoiles dans ses poches
Qu'il jette dans la nuit,
Les cris de joie gênée
Qu'il prête aux oiseaux,
L'orage en rage en cage par-delà les nuages,
Le vent d'avant le jour qui souffle au ciel d'été
Quatre étoiles, une lune ou un cœur à aimer, fort...
Dans les couloirs du temps, les secondes sont chères,
Précieuses...
Parce que le monde est grand
Il faut courir longtemps...
Ce soir, j'ai vu le ciel qui dort sur les nuages,
Son gris d'avril blessé qui penche sur la mer.
Dans les couloirs du temps, les secondes sont chères,
Parce que le monde est grand, il faut courir longtemps
Et moi, où que mes pas me portent,
Par les bois mystérieux,
Par les montagnes nues au cœur de reines altières,
Par les collines violines qui dominent la mer,
Sous le soleil ou sous la pluie,
Sous les flocons légers virevoltants de la neige
Qui en douceur se pose sur le pâle silence du monde,
Tous mes chemins vont jusqu'à toi.
Parce que le monde est grand, il faut courir longtemps
Et moi, où que mes pas me portent, je cours toujours vers toi,
Mon tendre amour
Jusqu'à entendre en moi battre le cœur du ciel.
© Short Édition - Toute reproduction interdite sans autorisation
Pourquoi on a aimé ?
Criant d’amour, d’émotion et de sentiments, ce poème laisse parler le cœur et vient saisir le lecteur. Le rythme très fluide se pose parfois
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